Du
16.12.2013. Version PDF.
Actualisé : ven. 28 août 2015,
22.18.
Table
de ce document, RH-2013-…
9
- Sieur Luryio, les
Trahitionalistes gèrent la « Bibliothèque de combat »
de Luciabel !
9.A.1.a
- Et alors que
nous rédigeons l’ossature de cet article…
9.B
- Décortiquons
maintenant cet immonde article…
9.B.1
- La Volonté
divine serait que la femme domine l’Homme !
9.B.2
- Fausse formule ?,
que : la force prime le Droit !
9.B.2.a
- Pire !,
ce pervers de prêtre a introduit une dualité, une confrontation,
une révolte !
9.B.2.b
- Comme
Luciabel, l’abbé prône le reversement de : La force prime
le droit !
9.B.3
- Inaccoutumément,
nous n’éplucherons pas plus loin cet immonde torchon !
9.C
- Concluons, sauf
question(s), cette réponse.
9.D.1.a
- La mission de
la femme est de sanctifier son mari
Commencé
en la Notre-Dame de Lorette,
le
mercredi 10 décembre 2013 ;
publié en la Saint Eusèbe,
Évêque et Martyr,
le lundi 16 suivant ;
ce document
Leur est confié.
Chers
Sieur Luryio, Chefs et futurs Chefs de Famille,
Et
en lisant la page, juste au dessus de l’article et vers sa droite,
nous avons eu notre œil accroché par un bijou de désinformation
déjà tout contenu dans le titre ; nous nous sommes alors
empressés de suivre le lien, et, c’est de cet article, tellement
symptomatique de la décomposition de l’Église Catholique réalisée
par les Ecclésiastiques de l’Église Catholique (EÉc) et qui
seule entraîna dans sa chute le monde dit moderne, dont nous voulons
vous parler ici ; nous vous proposons de le lire au moins en
diagonale au préalable : La
mission de la femme est de sanctifier son mari.
Cet
article, dont nous conservons copie en les Annexes diverses,
de ce document point La mission de la femme est de sanctifier son mari,
n’est qu’une suite de mensonges si grossièrement emballés.
Et
ces monstrueux mensonges viennent que de prêtres :
→ l’auteur,
prêtre de l’Église Catholique (EC) l’écrit en 1885.
→ les
prêtres qui le relais en 2013 se disent Traditionalistes,
mais étant de fait au service de Luciabel, sont bien effectivement
Trahitionalistes
pour tout Catholique aimant l’Église fondée par Notre-Seigneur
Jésus-Christ (NSJC) !
Et,
pas n’importe lesquels, ces Trahitionalistes,
mais dedits purs de purs, dedits durs de durs !, des
sédévacantistes grand teint comme : les abbés de Sodalitium,
lesdits ‛italiens’ ; les abbés Paul Schoonbroodt &
Cie ; les abbés Hervé Belmont et Philippe Guépin & Cie ;
l’abbé Roger et l’abbé Xavier Grossin & Cie, et l’abbé
Joseph Vérité, et etc. ; et ici plus particulièrement l’abbé
Jean-Luc Lafitte !
Oui !,
comme vous le dites l’abbé Lafitte en Égypte ! (seul ceux
ayant côtoyé par nécessité ou pas ces pervers peuvent comprendre
l’allusion : Égypte) : À
force de fréquenter les poubelles, on finit par puer !,
ou, comme la Très-Sainte Vierge Marie (TSVM) aurait pu le dire très
justement à La Salette : À
force de fréquenter les impuretés, on finit par être cloaque !
Gardez-vous
des faux prophètes, qui viennent à vous sous des vêtements
de brebis, et qui au dedans sont
des loups ravisseurs. (Mat 7, 15)
Au
plus qu’ils se bêlent éraillement
Traditionalistes,
au plus ils sont vraiment Trahitionalistes,
hautement dangereux ; car, ne sortant et ne se montrant qu’avec
le parfait attirail du loup caché sous une peau de brebis, soit :
soutane très classique, barrette bien campée sur la tête,
goupillon et rituel en mains ! Tous sans aucune exceptionnelle
exception : de parfaits Raminagrobis !
9.A.1.a - Et
alors que nous rédigeons l’ossature de cet article…
… nous
arrive un message privé de notre Sieur Luryio, et c’est ce
message, la partie concernant cette affaire, que nous Lui avons
demandé de mettre en commentaire que vous verrez recopié en nos Annexes diverses,
point Luryio13 décembre 2013 20:16…
Nous
Lui avions transmis rien que le lien concernant l’origine des races
et des langues, sans rien y ajouter !, nous voulions connaître
sa sagacité, sa pugnacité… Ce message nous réconforta bien.
Lecteurs,
pensez que Sieur Luryio n’a qu’une vingtaine d’années tout
juste révolue, et qu’auparavant Il ne connaissait pour ainsi dire
rien à toutes ces questions ! ; honte à ceux qui ont (ou
devraient avoir) les facultés pour réagir et qui lâchement ne
disent rien !
Oui !,
la nuit n’avance que parce que le jour s’efface !
Oui !,
le mal gagne que le terrain que lui cède le Bien !
Oui !,
le silence est coupable et sera rémunéré très durement, notre
devoir est de témoigner : C’est
pourquoi, quiconque Me confessera
(témoignera) devant
les hommes, Je le confesserai aussi Moi-même devant Mon Père qui
est dans les Cieux. Mais quiconque Me reniera
(se taira) devant
les hommes, Je le renierai aussi Moi-même devant Mon Père qui est
dans les Cieux. (Mat 10, 32-33)
9.B - Décortiquons
maintenant cet immonde article…
Ainsi
vous allez vous apercevoir que ces gents qui se disent d’un
Collectif
Contre-Révolutionnaire (voir en haut à
droite de la page précitée), et tenant unedite Bibliothèque
de combat, sont bien réellement des
subversifs travaillant rampément
pour Luciabel l’éternel androgyne à la destruction de toutes les
sociétés humaines par la destruction de leur base infrangible
qu’est la Famille, et cette dernière par Sa base unique et son Âme
qu’est l’Homme, l’Époux et Père, Chef absolu de celle-ci !
Pour :
Luciabel l’éternel androgyne :
Lucifer
dit de Lui-même : [Je
suis]
Luciabel, que vous nommez Lucifer !, Je suis l’éternel
androgyne !
Pour :
Sa base unique et son Âme qu’est l’Homme :
Tartuffes
pour le moins, pervers pour le Vrai !
Voici
ce que dit ce cloaque d’impureté, eh oui !, toujours eux en
première ligne !, l’abbé Eugène Galais en son Influence
de la femme chrétienne sur la vie morale de l’homme
(1885), comme relaté par cet article…
9.B.1 - La
Volonté divine serait que la femme domine l’Homme !
C’est
exactement ce qu’écrit ce pervers d’abbé Eugène Galais :
Soumise
à l’homme, la
femme domine l’homme
: telle
est la volonté de Dieu.
Ils
sont, ces pervers, tellement obsédés par la Puissance de
l’Époux-Père qu’ils exècrent au plus au point parce-qu’Elle
les empêche de forniquer tranquillement avec nos femmes, qu’ils ne
se rendent même plus compte de la grossièreté du trait !
Où,
le oui
mais non dans toute son horreur :
soumise, la
femme dominerait !
C’est
exactement comme de dire :
→ Soumis
à Dieu, l’Homme Le domine !
→ Soumis
à ses parents, l’enfant les domine !
→ Soumis
à la loi de la pesanteur, l’Homme la domine !, eh bien !,
qu’ils le vérifient bien vitement du haut de la falaise !,
ceci nous épargnera la fatigue de devoir bientôt les poursuivre
pour les pourfendre !
La
réponse à cette monstrueuse ânerie, que la femme dominerait
l’Homme, se trouve en tous nos documents !
Rappelons
rien quelques paroles bien Saintes :
→ Le
Seigneur Dieu à la transgresseuse de femme : Je
multiplierai vos maux et vos grossesses. Vous enfanterez dans la
douleur : vous serez sous la puissance de votre mari, et il
vous dominera.
(Gn 3,16)
→ Saint
Paul, à la pécheresse de femme : Je
ne permets point à la femme d’enseigner ni
de dominer sur l’homme
(I Tim. II, 12).
→ Dom
Bernard Maréchaux OSB, à la responsable de tous nos malheurs :
elle,
la femme,
lui est
assujettie plus strictement encore,
en ce que, séduite et l’ayant entraîné au mal, elle a une
réparation à lui faire et une punition de son péché à subir…
Ainsi
donc, comme Luciabel leur maîtresse, ils, ces pervers d’EÉc,
poussent nos femmes à la révolte !, ils leur susurrent du haut
de leur arbre, qu’ils appellent très scandaleusement chaire
de Vérité,
qu’il faut qu’elles dominent leurs Époux !, ils leur
prônent la révolte !, comme de fait ils le font depuis au
moins ledit Concile de Trente !
9.B.2 - Fausse
formule ?, que : la
force prime le Droit !
C’est
ce qu’écrit ce pervers d’abbé Eugène Galais : Ce
contraste, vu précédemment,
est singulier,
c’est le renversement de cette formule fausse : La force prime le
droit.
Rappelons
que prime
veut dire : Tenir la première place, passer avant.
Que
nous dit le Je crois en
Dieu : Je
crois en Dieu, le Père tout-puissant…,
tout-puissant soit tout-fort !, pouvant de par cette force
tout faire !, et donc ainsi de par cette force
être : créateur
du ciel et de la terre !
Et
cette force
créatrice Lui ouvre Droit !, ce qui Lui permit (il est Droit
que) donc de :
→ donner
à Ses créatures cet ordre : Un
seul Dieu tu adoreras et aimeras parfaitement ! (Décalogue, 1)
→ menacer
Ses créatures ainsi : Je
suis le Seigneur votre Dieu, fort
et jaloux ! (Ex 20,5)
Ce
n’est que la Force
du Seigneur Dieu, Sa toute-puissance, qui Lui permit (pouvoir,
capacité) de créer ; et cette Force
Lui a ouvert un Droit : c’est d’être exclusivement adoré !
Ainsi
donc : La
force prime le droit !, bien réellement…
Ainsi
donc, disant que cette formule est fausse, l’Auteur blasphème !,
en effet, Saint Augustin nous dit que : Nous
blasphémons lorsque nous attribuons au bon Dieu quelque chose qu’il
n’a pas ou qui ne lui convient pas, ou bien qu’on lui ôte ce qui
lui convient, ou enfin, quand on s’attribue, à soi-même ce qui
convient à Dieu, et qui n’est dû qu’à lui seul.
Le
blasphémateur d’abbé Eugène Galais dans sa révolte contre
l’Ordre divin prône le
renversement de cette formule qu’il déclare
péremptoirement fausse !
Toute
force
dans la création découle de la force
de Dieu, et pour l’humain de Son souffle
de vie* qu’Il fit sur Adam seul, et donc
point sur la femme !, et cette force
procréatrice
ouvre le Droit de l’Époux-Père sur Son épouse et Ses enfants,
comme la force
créatrice de
Dieu Lui a ouvert ce Droit sur Ses créatures !
Oui !,
la
force prime le droit qu’elle lui ouvre !
9.B.2.a - Pire !,
ce pervers de prêtre a introduit une dualité, une confrontation,
une révolte !
En
effet, dans la formule la
force prime le droit il y a non
confrontation, mais découlement : la
force prime, elle est première, elle est
fontale, et le
droit découle de cette force,
elle en est le résultat !, la conséquence, elle en est
l’enfant !
Or,
l’auteur a sciemment introduit une dualité, une confrontation, une
séparation-divorce entre la
force et le
droit !, entre :
→ la
Source ou Père, la Force,
→ et,
la résultante ou enfant, le droit !
Comme
tout son torchon nous le prouve, ce pervers d’abbé Eugène Galais
oppose sciemment et mensongèrement ladite grâce de la femme à
ladite grossièreté de l’Homme inefféminé,
pas encore efféminisé !,
soit à ces rudes
pères de famille à l’autorité absolue et incontestée, gardiens
fidèles de leur gens…
(Pie XII)
9.B.2.b - Comme
Luciabel, l’abbé prône le reversement de : La
force prime le droit !
Oui,
La
Force prime le Droit qu’Elle génère !
Et
cet abbé Eugène Galais prêche, prône, annonce le
renversement de cette formule dite fausse :
La force prime le droit.
L’abbé
Eugène Galais prône son renversement, ainsi :
Alors
que le Force de Dieu Tout-Puissant impose à l’Homme l’adoration
et la servitude, cet abbé prône le renversement de Dieu au nom
desdits droits de l’homme !
Alors
que la Force de l’Époux tout-puissant impose à Son épouse la
vénération et
la servitude, cet abbé lui bêle éraillement le renversement de
l’Époux au nom desdits droits de la femme !
Quant-au
Sacrement de Mariage :
C’est
le Concile de Trente qui mit ce germe de révolte en terre :
séparabilité des époux, ou dite permission de se séparer de
corps, opposition frontale à NSJC.
C’est
cet abbé Eugène Galais qui en 1885 inaugura un arbre de la liberté
pour la femme en lui susurrant notamment que la femme dominerait
l’Homme.
C’est
ces pervers de prêtres Trahitionalistes
qui en 2013 font cette magistrale piqûre de rappel en leur
Bibliothèque
de Combat de Luciabel, en relayant ce
monstrueux article.
Tous
hurlent bien effectivement Non
Serviam !, je ne veux pas servir !
Eux, Dieu !, elles, leurs Époux !
Et,
si nous refusons, donc aussi pour l’Éternité, la Force et le
Droit de ce Dieu d’Amour, alors, la nature ayant horreur du vide,
c’est la force et le droit de Luciabel que nous subirons
affreusement, éternellement !
9.B.3 - Inaccoutumément,
nous n’éplucherons pas plus loin cet immonde torchon !
Cher
Sieur Luryio, inaccoutumément
nous vous cédons le pas, nous vous laissons la parole en
retranscrivant votre sagace analyse, que nos Lecteurs veuillent bien
bien la lire :
Cher
QJSIOJC,
[…]
Malheureusement, comme vous avez dû le remarquer, on trouve beaucoup
de ce genre de site (comme celui-ci [le Site
Bibliothèque de combat])
qui disent bien des choses édifiantes sur presque tout les sujets,
sauf évidemment quand il s’agit de parler de la nature de l’Homme
et de la femme.
Ce
que je n’aime pas surtout, c’est qu’il détourne vicieusement
de bons et même saints exemples. Il renverse tout, mais la première
phrase montre pourtant clairement l’absurdité de tels propos :
"Soumise à l’Homme, la femme domine l’Homme", soit cet
Abbé à un humour pitoyable, soit… eh bien on comprend qu’à
l’époque ils étaient déjà bien féminisés. Pourtant n’importe
qui raisonnant un minimum et ne se laissant pas berner par des
émotions aurait pu le reprendre…
Avec
lui, la femme s’apparente à la moral, au droit, à la raison
presque, alors que l’Homme n’est que force physique, une brute
sans esprit qui ne pourrait pas bien se diriger sans les
enseignements de sa bonne femme. Et là il confond gravement
enseignement et influence, il oublie surtout que c’est les Hommes,
Pères, qui seuls peuvent engendrer des filles chastes et pieuses qui
feront le plus grand bonheur de leur futur Mari. Il oublie simplement
la Genèse.
Voilà
donc ce que je pense.
Que
le Bon Dieu vous garde.
Oui !,
Sieur Luryio, et contrairement à ce que dit ce pervers parce que
prêtre comme l’on peut le dire maintenant, comme nous vous le
disions précédemment : la
femme est le problème, pas la solution !
9.C - Concluons,
sauf question(s), cette réponse.
Chers
Sieur Luryio, Chefs et futurs Chefs de Famille, nous espérons
sincèrement Vous avoir aidé et (ré)conforté par ce texte que nous
pouvons développer selon votre honnête demande.
Cher
Sieur Luryio, nous Vous remercions encore
pour votre bonne aide, que le Bon Dieu vous le rende au centuple
comme Il l’a promis !
Cette
Parole vue plus haut est bien pour Vous : quiconque
Me confessera
devant
les hommes, Je le confesserai aussi Moi-même devant Mon Père qui
est dans les Cieux !
Et
celle-ci est bien pour
ces cloaques
d’impureté parce
que prêtres (Cf. la Très-Sainte Vierge
Marie à La Salette) : quiconque
Me reniera
devant
les hommes, Je le renierai aussi Moi-même devant Mon Père qui est
dans les Cieux !
Chers
Sieur Luryio, Chefs et futurs Chefs de Famille, que le Bon Dieu Vous
bénisse tous, Vous et Vos Maisons !
Pour
la Vérité,
QJSIOJC
Soumise
à l’homme, la femme domine l’homme : telle est la volonté de
Dieu. Ce contraste est singulier, c’est le renversement de cette
formule fausse : La force prime le droit.
C’est,
en effet, la force morale ou le droit qui prime la force physique ou
l’injustice. Or, la femme exerce sur l’homme cette influence
morale. Cette domination de la femme, si elle est bonne, c’est la
vie, le salut ; au contraire, si elle est mauvaise, c’est le pire
des malheurs, c’est la mort.
Que
cette domination ait été funeste et néfaste, l’histoire même
des enfants d’Israël en fournit la preuve. D’une parole, Eve a
fait d’Adam un complice et un grand coupable. La force de Samson et
la sagesse de Salomon n’ont pas même trouvé grâce devant la
femme. «Et David, le malheureux David, dit Bossuet, qui ne connaît
sa lamentable histoire ?»
Nous
n’avons point à parler ici de l’influence mauvaise d’une Agnès
Sorel, d’une Gabrielle d’Estrées, mais de cette douce et
bienfaisante influence d’une sainte Clotilde, d’une sainte
Bathilde, d’une Blanche de Castille, d’une sainte Geneviève,
d’une Jeanne d’Arc.
Un
homme des plus célèbres, un des savants contemporains les plus
versés dans les sciences d’économie progressiste et sociale, un
philosophe, qui établissait sa doctrine sur des fondements solides,
M. le Play, dont les profonds et utiles ouvrages, trop peu connus,
devraient être aux mains de tous les vrais économistes, M. le Play
écrit : «Les hommes qui se distinguent par leur talent et leurs
vertus doivent, pour la plupart, leur supériorité aux premiers
enseignements de leurs mères et aux conseils de leurs femmes».
Qui
fait une nation florissante?
«C’est
le cœur des mères, des sœurs, des épouses. Donnez à un peuple de
fortes et courageuses mères, et l’on répond de ce peuple !
L’antiquité même le savait et voilà pourquoi les plus célèbres
cités, très attachées à leur gloire, très jalouses de posséder
dans leur sein d’intrépides héros, mettaient tous leurs soins à
former le courage des femmes, persuadées que c’était le seul
moyen de voir grandir l’âme des guerriers.
Si
Sparte le pensait ainsi, combien plus doivent le penser les
chrétiens. Jésus-Christ venu pour tout relever dans le monde, a
relevé d’une manière divine l’empire spirituel des femmes et Il
leur a donné la puissance de former vraiment les âmes, de leur
transmettre les premiers trésors nécessaires : Dieu, la loi morale,
la justice, la pureté, l’honneur. Oui, c’est sur l’influence
des épouses et des mères que nous comptons pour que la France soit
forte et respectée, pour que la chaîne de ses gloires se continue
par l’accomplissement des grands devoirs».
Eh
bien ! mes frères, c’est cette influence religieuse et morale de
la femme sur la vie publique des hommes, que nous allons constater ce
soir à l’aide de l’histoire. Dans une seconde conférence, nous
verrons cette influence de la femme s’exerçant sur la vie privée
et publique de l’homme, à l’aide d’une triple puissance : la
charité patiente, la lumière prudente de l’apostolat, la force.
Sanctifier son mari, telle est la mission de la femme chrétienne.
Abbé
Eugène GALAIS – Influence de la femme chrétienne sur la vie
morale de l’homme (1885)
Cher
QJSIOJC,
Je
prends l’occasion de commenter cet article, et de vous dire que
j’ai aimé ces répliques, cela nous donne un bon aperçu de notre
dégradation, rien qu’en l’espace de ces cinquante ans.
D’ailleurs, les films montrent bien l’état de la société, il
n’y a qu’à voir ceux d’aujourd’hui, prônant rien que par
exemple l’homosexualité.
Malheureusement,
comme vous avez dû le remarquer, on trouve beaucoup de ce genre de
site (comme celui-ci) qui disent bien des choses édifiantes sur
presque tout les sujets, sauf évidemment quand il s’agit de parler
de la nature de l’Homme et de la femme.
Ce
que je n’aime pas surtout, c’est qu’il détourne vicieusement
de bons et même saints exemples. Il renverse tout, mais la première
phrase montre pourtant clairement l’absurdité de tels propos :
"Soumise à l’Homme, la femme domine l’Homme", soit cet
Abbé à un humour pitoyable, soit… eh bien on comprend qu’à
l’époque ils étaient déjà bien féminisés. Pourtant n’importe
qui raisonnant un minimum et ne se laissant pas berner par des
émotions aurait pu le reprendre…
Avec
lui, la femme s’apparente à la moral, au droit, à la raison
presque, alors que l’Homme n’est que force physique, une brute
sans esprit qui ne pourrait pas bien se diriger sans les
enseignements de sa bonne femme. Et là il confond gravement
enseignement et influence, il oublie surtout que c’est les Hommes,
Pères, qui seuls peuvent engendrer des filles chastes et pieuses qui
feront le plus grand bonheur de leur futur Mari. Il oublie simplement
la Genèse.
Voilà
donc ce que je pense.
Que
le Bon Dieu vous garde.
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