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lundi 26 avril 2010

CN-2010-05, Le christianisme moderne, féminisé ! celui de la Tradition, non ?

Du : 26.04.2010, existe1 en PDF ici : ND. Actualisé : lun. 1 juil. 2013, 10.57.
Commencé la Saints Soter et Caïus, le jeudi 22 avril 2010 ;
achevé en la Notre Dame du Bon Conseil, le lundi 26.
Table de cette nouvelle, CN-2010-…
5 - Le christianisme moderne, féminisé ! celui de la Tradition, non ?
5.A - Cette nouvelle fait suite à…
5.A.1.a - Voyez l’obstination du site Les Intransigeants…
5.A.2 - Commençons par préciser ce qu’est la féminisation ?
5.A.2.a - Qu’est-ce donc que féminiser ?
5.A.2.b - Voici notre définition de féminiser
5.A.2.c - Qu’est-ce donc que la féminisation d’une société ?
5.A.2.d - La féminisation concernerait le christianisme moderne, pas celui de la Tradition…
5.A.2.e - La féminisation de ladite Tradition, la fornication de son clergé
5.A.2.f - Les faux témoignages, fruits fatals de la séparation-divorce
5.A.2.g - En matière Familiale, tous les témoignages contre l’Époux sont forcément des calomnies, donc faux !
5.A.2.h - Voici ce qu’encoure les acteurs des séparations-divorces
5.A.2.i - Absolument rien de l’épouse n’est recevable contre l’Époux !
5.B - Concluons
5.B.1.a - Résumons, que recherche-t-on à travers cette volonté ?
5.A - Cette nouvelle fait suite à…
un chapitre du document principal. (Re)Voyez ND : DP-4K, L’Église catholique, principal ennemi du Sacrement de Mariage ?!, point DP-4K4, Certainement par l’éviction du Chef de Famille, l’Église a reculé partout !
Où nous disions alors : L’Église, par sa féminisation intellectuelle et morale, par sa fornication : est la seule responsable de sa chute.
Au mot féminisation, nous avions mis une note disant : Recherchez sur internet : « Église féminisée », etc. ; voyez aussi (avec réserves) : [Voir la note 2 !!!]
5.A.1.a - Voyez l’obstination du site Les Intransigeants
à vouloir, de volonté certaine, ne pas voir !, cesdits Les Intransigeants ont ajouté (depuis la publication de notre chapitre ?) : NB : précisons que le texte ci-dessous concerne le christianisme moderne, pas celui de la Tradition…
5.A.2 - Commençons par préciser ce qu’est la féminisation ?
La féminisation est le résultat d’une volonté : féminiser. Qu’est-ce donc que féminiser ?, que recherche-t-on à travers cette volonté ?
5.A.2.a - Qu’est-ce donc que féminiser ?
Voici ce que dit le ‘moins mauvais’ des dictionnaires
-Féminiser : Avec une connotation dépréc. [Le compl. d’obj. désigne un homme] Faire perdre, à un homme, sa masculinité, sa virilité; l’efféminer*.3
Comme de coutume, le ‘avec connotation dépréciative’ laisse entendre que ce qualificatif serait malveillant, une insulte ; ceci est particulièrement malicieux !
Retenons simplement ‘faire perdre, à un homme, sa masculinité, sa virilité’.
5.A.2.b - Voici notre définition de féminiser
-Féminiser : action violente, coercitive, contre-naturelle, visant à détruire le caractère masculin ; et donc, conséquemment, le caractère féminin qui découle de ce premier. Déshumaniser. Faire se révolter contre la Loi naturelle.
Lorsqu’il s’agit d’une institution quelconque (État ou Église, etc.), c’est arracher aux Hommes, uniques responsables comme de Droit en ces institutions, leur pouvoir, leur sceptre !
Voyez-vous, un Homme sans son caractère masculin, sans ses attributs pouvons-nous dire, est moins qu’une femme.
En effet, la femme dérive de l’Homme, elle est humaine, elle a une Âme ordonnée à l’Homme, une intelligence ordonnée à l’Homme, un corps ordonné à l’Homme, des sentiments et désirs ordonnés à l’Homme, etc. : l’homme n’a pas été créé pour la femme, mais la femme pour l’homme*.
Mais un Homme dit féminisé, est un Homme qui a perdu tout caractère humain, et de Lui, ne peut même plus dériver un fruit pour Lui* :
→ soit comme pour Ève, par accouchement* par le côté d’Adam ;
→ ou soit par sa semence déposée dans un beau jardin fermé*.
Pas même une femme ne peut découler de Lui, donc encore moins un Homme !
De Volonté divine,
nous sommes dans une société d’Hommes,
pour les Hommes !
Pour ceux qui, ayant déjà tant perdu, seraient ‘choqués’ par ces affirmations : ordonné(e) à l’Homme, engendrée par l’Homme, etc. (Re)Voyez ND : tout DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point DP-3B, L’Homme, engendre la femme, Il est son Maître.
5.A.2.c - Qu’est-ce donc que la féminisation d’une société ?
La féminisation d’une société quelconque est la dépossession des Hommes de celle-ci ; Hommes qui, comme de Droit, seuls peuvent prétendre la posséder, la gouverner.
Par exemple, la plus petite société humaine, base et but de toutes les autres sociétés, étant la Famille, la féminisation de cette Institution divine (Sacrement de Mariage, Famille) est l’abdication pure et simple de l’Époux acculé par l’épouse, l’usurpation de cette Autorité par l’épouse !
L’Autorité n’étant pas divisible, fractionnable4, et ceux qui prétendent que l’on peut La partager sont des menteurs !, ceci se passe ainsi : l’épouse, aidée par l’extérieur (‘sa’ Famille*, ladite Justice, les commissaires du peuple*, et dans certains milieux, les prêtres en tout premier, etc.) accule l’Époux ; et Celui-ci, étant dès la nuit de ses noces déjà à sa ‘première chance*5’, et le cas échéant à sa seconde chance* dès le premier accroc, décide de s’émasculer Lui-même, de se faire hara-kiri pour ne pas aller, croit-Il, au casse-pipe, pour échapper : à l’infamie, au constat, à la procédure, à la séparation-divorce*, au vol de Ses enfants et de tous Ses autres biens, etc.
Ainsi se réalisent deux crimes :
→ Le crime de lâcheté de l’Époux, Son abandon de Son Autorité ; alors que Pie XII, derrière de nombreux autres Saints et sains Hommes, Lui rappelait : N’hésitez donc point à exercer cette autorité ; ne vous soustrayez point à ces devoirs, ne fuyez point ces responsabilités. La barre de la nef domestique a été confiée à vos mains*.
→ Le crime bien plus grand, et nous pourrions dire le seul et unique crime, le crime de subversion, la révolte de l’épouse qui a acculé criminellement son pauvre Époux à capituler ; alors que Pie XII rappelait : Épouses et mères chrétiennes, que jamais ne vienne à vous saisir la soif d’usurper le sceptre familial* !
Voilà ce qu’est la féminisation en la Famille !
Reprenons : La féminisation, en matière familiale, de l’Église est :
→ avoir comme interlocuteur l’épouse pour prétendument atteindre l’Époux ; de fait pour se substituer à Lui !, jouir de Son épouse et de Ses biens, de Sa neutralisation !
→ de prendre parti pour l’épouse, bien qu’on prétende très hypocritement le contraire, contre son Époux !
5.A.2.d - La féminisation concernerait le christianisme moderne, pas celui de la Tradition…
Ben voyons Lesdits Intransigeants*, ladite Tradition* ne serait pas féminisée !, pauvres aveugles volontaires, elle, ladite Tradition, messieurs, et dames !!! (car ils ont des femmes qui pontifient* chez Lesdits Intransigeants comme en presque tous les autres sites = révolte, actes contre-nature), est bien bien pire que la moderne !, et au moins à ce titre : plus l’on prétend être intègre, pur, plus la plus petite transgression est monstrueuse !
Mais, en matière de Sacrement de Mariage, il n’y a pas de ‘petite transgression’ ! Chaque transgression n’est que crime, profanation, action anathèmisante, comme celle qui consiste à dire, n’est-ce pas les Fellay* et Tissier de Mallerais*, les Williamson* et de Galarreta* ?; n’est-ce pas les Belmont*, Guépin* et Schoonbroodt*, et lesdits Italiens*, et Cie ?; n’est-ce pas la cohorte des cloaques d’impureté de ladite Tradition*, qui dites (ou se taisent, soit complicité) à des épouses, qu’elles peuvent : se séparer de leur Époux ; Le traîner au civil pour obtenir la séparation de corps ce en violation de ce que disait Notre Seigneur Jésus-Christ : Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare point ! ; prendre à l’Époux Ses enfants et tous Ses biens ; calomnier (ce qui est toujours le cas !) l’Époux pour obtenir undit jugement favorable !; etc.
Note : Voyez ensuite ce que disent des Saints au sujet des (faux) témoignages en Justice !
Notre Dame à la Salette, a-t-Elle dit : les prêtres, du christianisme moderne, pas celui de la Tradition, sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, ces prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes* ?
Non !!!, la Très-Sainte Vierge Marie a dit : les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté*6 !, et point !
Soit, tous les prêtres, et nous pouvons affirmer, étant plus responsables, car disant être plus intègres : particulièrement ceux de ladite Tradition !
5.A.2.e - La féminisation de ladite Tradition, la fornication de son clergé
Il est manifeste que tout le clergé de ladite Tradition est féministe, féminisé7, note importante !!!, sinon, jamais un prêtre ne parlerait8, note importante !!! à une femme, ce dès la naissance de celle-ci et jusqu’à sa mort.
Regardez ce cloaque d’impureté s’approcher de votre Famille à la fin de la messe dominicale, tout droit il se dirige vers votre épouse pour la saluer en premier en lui serrant la main ! Lorsqu’il prétend vous parler, c’est le plus souvent tourné vers elle qu’il le fait ; voyeur, violeur ! Lorsque vous allez chercher Vos enfants à l’école de ladite Tradition, c’est à elle qu’il fait le rapport de la tenue et des notes de Vos enfants, adultère !
Prêche-t-il des retraites (dites de Saint Ignace) aux femmes ?, c’est un fornicateur !, un violeur !
Lui parle-t-il (ou à vos filles!) dans son bureau ou en quelque lieu que ce soit ?, en confession ou ailleurs, pour des ‘conseils’ ou direction dite spirituelle ?, en retraite spirituelle, pour l’amener vers Dieu dit-il !, lui donne-t-il des conseils (forcément fielleux ; malicieux !) pour tenir le coup au sujet des difficultés qu’elle rencontrerait, dit-elle, avec son Époux ?, alors sachez qu’il fornique avec votre épouse !
Non, la religion catholique est, comme tout ce qui est religieux du reste, une affaire d’Hommes !
L’Homme peut demander conseil, parler au prêtre !, mais l’épouse non !
Or, l’épouse a besoin d’être aidée spirituellement, intellectuellement9, elle ressent encore plus que l’Homme ce besoin d’être dirigée, conseillée, éclairée ; alors, vers qui donc doit-elle se tourner pour tout cela ?
C’est Saint Paul qui nous rappelle tout un pan de la Loi naturelle, de la Loi régissant le Sacrement de Mariage, la Famille : Soumises à qui ? Peut-être seulement à 1’Église hiérarchique, à 1’Église enseignante ? Non : « si elles veulent s’instruire sur quelque point », poursuit St Paul, « qu’elles interrogent leurs maris à la maison ; il est, en effet, inconvenant pour une femme de prendre la parole dans une assemblée »*10.
Savons-nous lire ?, oui ou non ?, Saint Paul dit-Il : si elles veulent s’instruire sur quelque point, sauf sur ceci, ou cela, qu’elles interrogent leurs maris à la maison ? Non !, sur quelque point !, dit-Il ; soit : sur quelque point que ce soit !
Donc, pour les conseils spirituels aussi !, pour le discernement quelconque aussi !, pour les encouragements aussi !, pour la compréhension de quoi que ce soit, aussi !
Ce qui rejoint parfaitement ce que rappelle Saint Paul ailleurs : les femmes doivent être soumises à leurs maris en toutes choses11. (Re)Voyez ND : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II) ; point DP-6C2, À tout prix !, même dans le plus déraisonnable et impossible !
5.A.2.f - Les faux témoignages, fruits fatals de la séparation-divorce
Tous les Époux traînés devant lesdits Tribunaux aux affaires familiales par leurs épouses, poussées, soutenues ou encouragées le plus souvent par les prêtres, dans le cadre de séparations-divorces*, sont emportés, gagnés, forcément et fatalement sur base de faux témoignes !
Ils sont tous, et de par ce fait au moins, nuls et non avenus !, et pire, ils doivent être retournés12, note importante !!! contre ces perverses révoltées, les épouses, et contre tous ses soutiens, principalement les prêtres !
Rappelons encore et toujours que ces séparations-divorces* sont, de toutes les façons, interdits, impossibles : ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare point*13 !
5.A.2.g - En matière Familiale, tous les témoignages contre l’Époux sont forcément des calomnies, donc faux !
En supposant qu’une telle procédure en affaire familiale puisse être engagée, séparation-divorce, voici que tout ce qui sera dit contre l’Époux est forcément, non pas médisance, mais pire, calomnie, et donc faux témoignage.
Voici que quelques exemples :
→ Affirmation classique : l’Époux a fait des violences psychologiques à l’encontre son épouse !
Faux témoignage !, Il n’a fait que son Devoir de contrainte : Enfin il doit régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous ceux qui la composent, et contenir chacun dans son devoir*.
→ Affirmation classique : l’Époux a interdit à son épouse de voir, ou écrire ou téléphoner, à sesdits parents, de fréquenter telle ou telle personne, d’utiliser le téléphone (quel moyen faramineux pour le démon qu’un téléphone entre les mains d’une épouse, même ‘innocente’ et amoureusement ‘docile’ !), etc. !
Faux témoignage !, car téléphoner, c’est bien sortir de chez son Époux pour rentrer ailleurs, n’est-ce pas ?, le fil passe bien la porte de la Maison de Son Époux, court bien loin, puis passe une autre porte, n’est-ce pas ; alors qu’elle ne peut ni sortir ni rien faire sans la permission de son Époux : Elles aimeront aussi à rester chez elles, à moins que la nécessité ne les oblige à sortir, et même alors elles devront avoir l’autorisation de leurs maris*.
→ Affirmation classique : l’Époux a interdit à son épouse de sortir, Il l’aurait enfermée, séquestrée, enlevé ses papiers d’identité, etc. !
Faux témoignage !, idem ci-dessus. Au sujet de l’enlèvement des papiers d’identité, du viol conjugal, etc. (Re)Voyez ND : CN-2009-10, Valérie Létard veut briser le silence ?, alors secourons cette insondable insensée !
→ Affirmation classique : l’Époux a violé son épouse !
Faux témoignage !, car impossible, son corps Lui appartient et doit être à sa disposition* pour cela aussi !, elle doit se donner, et Il a le Droit et donc le Devoir de l’y forcer ! Saint Saint Jean Chrysostome rappelle que : c’est pour la consolation de l’homme que la femme a été formée14 !
→ Affirmation classique : l’Époux a battu son épouse, ou ladite violence conjugale !
Faux témoignage !, l’Époux a le Pouvoir, parce que le Devoir, de corriger comme bon Lui semble son épouse, et c’est Saint Thomas d’Aquin, Docteur de l’Église, parmi tant d’autres, qui le reconnaît ici : Le renvoi n’est pas le seul moyen de corriger l’épouse coupable de fornication on peut user aussi des réprimandes et des coups. Si la femme est disposée à se corriger sans cela, le mari n’est donc pas obligé d’user du renvoi pour obtenir son amendement.
Attention !, il y a de très nombreuses formes de fornication ; de fait, tout ce qui tend à faire échapper peu ou prou l’épouse à l’Autorité, à la surveillance* de son Époux est fornication !
(Re)Voyez ND : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II) ; point DP-6C9a, L’épouse coupable de fornication ou de fornication doit être réprimandée, recevoir des coups !
→ Affirmation classique : mon Époux me prend pour une servante, Il me considère comme une sous-espèce, Il veut que je Lui obéisse en tout !
Faux témoignage !, l’épouse est la servante de son Époux, et c’est Pie XI qui le reconnaît ici : Nombre d’entre eux poussent l’audace jusqu’à parler d’une indigne servitude d’un des deux époux à l’autre ; ils proclament que tous les droits sont égaux entre époux ; estimant ces droits violés par la « servitude » qu’on vient de dire, ils prêchent orgueilleusement une émancipation de la femme, déjà accomplie ou qui doit l’être*.15
→ Affirmation classique : mon Époux ceci, mon Époux cela, mon Époux etc. !, quoi qu’elle dise et de quoi qu’elle se plaigne !
Faux témoignage !, et c’est le Concile de Trente qui le reconnaît ici : Enfin, – et ceci est le point capital dans le mariage – elles se souviendront que, selon Dieu, elles ne doivent ni aimer ni estimer personne plus que leurs maris*. Sachant que ce n’est pas Adam qui a été séduit, mais c’est la femme qui, séduite, est tombée dans la transgression*16.
Et, la femme doit être soumise à l’homme comme à son chef naturel, elle lui est assujettie plus strictement encore, en ce que, séduite et l’ayant entraîné au mal, elle a une réparation à lui faire et une punition de son péché à subir*17.
→ Etc., etc., etc.
5.A.2.h - Voici ce qu’encoure les acteurs des séparations-divorces
Il convient de considérer tous les acteurs directs ou indirects de ces séparations-divorces :
→ tous ceux qui demandent cesdits témoignages : épouse, amis, etc. ;
→ tous ceux qui donnent cesdits témoignages : amis, ‘témoins’, assistants sociaux divers, etc. ;
→ tous ceux qui transmettent ou reçoivent, utilisent cesdits témoignages : police (dépôt de plainte), avocats ou avoués de l’épouse, juges, etc. ;
Voici divers textes dénonçant les faux témoignages, ce qui est forcément le cas en lesdites procédures pour demander la séparation-divorce, procédures demandées ou instiguées, rappelons-le, uniquement par l’épouse :
→ le Saint Curé d’Ars au sujet de la calomnie, du faux témoignage en Justice, du jurement à faux en Justice, ce qui est forcément toujours le cas en matière de Mariage comme nous l’avons vu au point précédent (En matière Familiale, tous les témoignages contre l’Époux sont forcément des calomnies, donc faux !) :
Non seulement, M.F., il est mal fait de jurer mais encore de faire jurer les autres. Saint Augustin nous dit que celui qui est cause qu’une autre personne a juré faussement en justice [ou validé ce jurement en l’utilisant, en le transmettant, en taisant la connaissance que l’on a qu’il va être porté, en appuyant une pauvresse que l’on sait pertinemment qu’elle le fera, etc., donc tous ces prêtres !] est plus coupable que celui qui commet un homicide, « parce que, nous dit-il, qui tue un homme ne tue que le corps, au lieu que celui qui fait jurer faussement un autre en justice, tue son âme. » Pour vous donner une idée de la grandeur de ce péché, je vais vous montrer combien l’on est coupable, lorsque l’on prévoit que les personnes que l’on appelle en justice jureront faussement. Nous lisons dans l’histoire, qu’il y avait dans la ville d’Hippone, un bourgeois qui était un homme de bien, mais un peu trop attaché à la terre. Il voulut contraindre un homme qui lui devait quelque chose d’aller en justice. Ce misérable jura faussement, c’est-à-dire, assura qu’il ne devait rien. La nuit suivante, celui qui avait fait conduire l’autre en justice pour être payé, fut présenté lui-même devant un tribunal, où il vit un juge qui lui parla d’une voix terrible et menaçante, en lui demandant pourquoi il avait fait parjurer cet homme ; s’il ne fallait pas plutôt perdre sa dette que de damner cette âme ; qu’il lui faisait grâce pour cette fois à cause de ses œuvres ; mais il le condamna à être fouetté avec des verges. En effet, le lendemain, il vit son corps tout en sang. – Mais, me direz-vous, si je ne fais pas jurer, je perdrai ce qu’il me doit. – Mais vous aimez donc mieux perdre son âme et la vôtre que de perdre votre argent ? D’ailleurs, M.F., soyez bien sûrs que si vous faites un sacrifice pour ne pas faire offenser le bon Dieu, vous verrez que le bon Dieu ne manquera pas de vous récompenser d’un autre côté. Cependant ceci n’arrive pas bien souvent ; mais il faut bien prendre garde de ne jamais donner des cadeaux, ni solliciter ceux qui doivent déposer contre vous en justice de ne pas dire la vérité : vous les damneriez et vous aussi. Si vous aviez fait cela, et que l’on eût condamné quelqu’un qui ne le méritât pas, parce que vous avez dit un mensonge, vous seriez obligés de réparer tout le mal que cela a fait et de dédommager la personne, soit dans son bien, soit dans sa réputation, et autant que vous le pourrez, sans quoi vous serez damnés. Il faut encore voir si vous n’avez pas eu la pensée de jurer à faux, et combien de temps cette pensée vous est restée dans l’esprit. Il y en a qui croient que parce qu’ils ne l’ont pas dit, il n’y a point de mal. Mon ami, quoique vous ne l’ayez pas dit, votre péché est commis, puisque vous êtes dans la disposition de le faire. Voyez encore si vous n’avez pas donné des demi-conseils. Une personne vous dira : « Je crois que je vais être appelée en justice pour un tel ; qu’en penses-tu ? J’ai envie de ne pas dire ce que j’ai vu, pour ne pas le faire condamner : l’autre a bien plus de quoi payer ; cependant je vois que je vais faire mal. » Vous lui direz : « Ah ! le mal n’est pas bien grand… Tu vas trop lui porter perte… » Si d’après cela il jure à faux, vous êtes obligé, si celui à qui vous avez conseillé n’a pas de quoi dédommager l’autre, de le faire vous-même. Voulez-vous, M.F., savoir ce qu’il vous faut faire en justice et ailleurs ? Écoutez Jésus-Christ lui-même, qui nous dit : « Plutôt que de plaider, si l’on vous demande votre robe de dessus, donnez celle de dessous1, parce que cela vous est beaucoup plus avantageux que de plaider. » Hélas ! qu’un procès [tous, en matière de Mariage, intentés par l’épouse] fait commettre de péchés ! que d’âmes les procès damnent par ces serments faux, ces haines, ces tromperies et ces vengeances !18
→ La Cité mystique de Dieu, IIè partie, 1. IV, ch. IV, 416. Tiré de « Les instruments de la perfection », Dom Jean De Monléon :
Saint Augustin nous dit que, si nous prévoyons que ceux que nous faisons appeler en justice jureront à faux, nous ne devons pas le faire ; nous sommes aussi coupables et même plus coupables que si nous leur ôtions la vie. En effet, en les égorgeant nous ne faisons que donner la mort à leur corps, s’ils ont le bonheur d’être en état de grâce ; le seul mal est pour nous : au lieu qu’en les faisant jurer, nous perdons leur pauvre âme, et nous les perdons pour l’éternité. Il est rapporté qu’un bourgeois de la ville d’Hippone, homme de bien, mais fort attaché à la terre, contraignit un homme à qui il avait prêté de l’argent de jurer en justice ; celui-ci jura faussement. La même nuit, il fut présenté au tribunal de Dieu. Ne devais-tu pas plutôt perdre ce qu’il te devait que de perdre son âme ? Jésus-Christ lui dit qu’il lui pardonnait, pour cette fois, mais qu’il le condamnait à être fouetté ; ce qui fut exécuté sur le champ par les anges ; car le lendemain, il se trouva tout couvert de plaies. […] Prenez bien garde, lorsque vous serez appelés en justice, de ne jamais jurer à faux. Quoique vous n’ayez pas juré, il faut même examiner si vous n’en avez pas eu la pensée dans vous-même, et combien de fois vous avez eu cette pensée ; si vous avez conseillé à d’autres de jurer à faux, sous prétexte que, s’ils disent la vérité, ils seront condamnés. Vous êtes obligé de dire cela. Accusez-vous encore si vous avez pris quelques détours pour dire autrement que vous ne pensiez ; car vous êtes obligé de dire tel que vous le pensez ou tel que vous l’avez vu et entendu ; sans quoi, vous commettez un gros péché. […] Le saint-Esprit nous dit que le faux témoin sera puni rigoureusement.
→ Œuvres morales. Instruction au peuple sur les préceptes du décalogue pour les bien observer, et sur les sacrements pour les bien recevoir. Courte dissertation sur l’usage modéré de l’opinion probable. Apologie de Saint Alphonse de Liguori :
XX. Il faut remarquer que celui qui fait un faux serment en présence d’un juge pèche doublement, et que c’est un péché réservé avec excommunication, et celui qui rend [reçoit, ou utilise, ou couvre (n’est-ce pas les cloaques d’impureté de ladite Tradition !), etc.] un faux témoignage préjudiciable à son prochain, est de plus tenu de réparer ce dommage. […]
II. L’on commet encore un perché, et un péché plus grave, lorsqu’on fait en justice un faux témoignage qui cause un préjudice au prochain. Le mensonge est toujours un péché, lors même qu’on le fait en badinant ou pour être utile à quelqu’un ; il n’est même pas permis de dire un mensonge pour éviter la mort.…
III. Le mensonge est donc toujours un péché. Lorsqu’il ne cause aucun préjudice au prochain, c’est seulement un péché véniel ; mais c’est un péché mortel lorsqu’il cause au prochain un préjudice grave ; et c’est dans ce sens qu’il faut entendre les paroles suivantes de l’Écriture : « Os quod mentitur occidit animam. » (Sap., 1, 11.) Mais lorsque le mensonge est fait en justice, c’est un double péché mortel. Et lorsqu’il est attesté par serment [Maintenant nous ne jurons plus sur la bible. Ce serment est implicite, comme l’auteur le dit ensuite, puisque les témoignages, dépositions et documents présentés en justice doivent être accompagnés d’une formule « Je sais que ce document doit être produit en justice… etc. » Et aussi, la Justice poursuit (en réalité, selon son intérêt) les faussaires !], ainsi que cela a toujours lieu en justice, ce serment faux constitue un sacrilège qui est un péché des plus graves et un péché réservé. Un législateur de l’antiquité ordonna que le bourreau se tînt toujours à côté du juge avec la hache pour trancher la tête à celui qui ferait un faux témoignage. (Tome 28ème, Œuvres morales, chapitre VIII)
→ Etc., etc., etc. !
Tous ces cloaques d’impureté*, et surtout ceux de ladite Tradition, n’est-ce pas Les Intransigeants, sont complices de faux témoignages, ce en plus de la profanation de nombreux Sacrements de Mariages*, et en opposition frontale à l’ordre de NSJC, Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare donc pas, ont, et pour le moins en se taisant (silence coupable, complicité), commis un double péché mortel, et ne peuvent aucunement recevoir l’absolution de ce péché réservé19, à moins d’avoir fait publiquement, et fait faire à l’épouse, réparation, car ils sont obligés de réparer tout le mal que cela a fait et de dédommager la personne, soit dans son bien, soit dans sa réputation, et autant que vous le pourrez, sans quoi vous serez damnés.
5.A.2.i - Absolument rien de l’épouse n’est recevable contre l’Époux !
Veuillez noter que ce point est ajouté le dimanche 30 juin 2013, alors que nous travaillons sur une réponse à notre commenteur Luryio...
Une épouse ne peut jamais au grand jamais témoigner contre son Époux (ni du reste une fille contre son Père, une mère contre son fils ou une sœur contre son Frère), toute procédure quelle qu’elle soit, basée sur ou utilisant un telle déposition est de fait ipso-facto et irrémédiablement nulle et non avenue !, pire, la procédure engagée doit être radicalement retournée point par point contre la partie demanderesse, comme le dit Saint Thomas d’Aquin : Article 4 : Comment doit-on punir ceux qui portent une accusation fausse ? [Ce qui est forcément le cas lorsque l’épouse dépose à l’encontre de son Époux !] Nous avons établit qu’en procédure criminelle l’accusateur se constitue partie pour obtenir la condamnation de l’accusé. Le rôle du juge est d’établir entre les parties adverses l’égalité requise par la justice ; or cette égalité se réalisera en faisant souffrir à l’un ce qu’il avait l’intention de faire subir à l’autre : « Œil pour œil, dent pour dent », est-il écrit (Ex 21, 24). Il est donc juste que celui qui, par son accusation, expose son prochain à un grave châtiment, soit passible de ce même châtiment.20
Par exemple, dans le film Témoin à charge (Witness for the Prosecution) - 1957 - de Billy Wilder, l’avocat Sir Wilfrid Robarts dit textuellement (34 minutes 30 secondes) : Misse Vole [l’épouse du prévenu], quelque soient vos mobiles, savez-vous qu’aux termes de notre loi vous ne pouvez être citée pour faire une déposition qui puisse nuire à votre mari !
Ceci, et rien que ce point, et ce conformément à tout ce que rapporte notre étude, invalide radicalement toutes les procédures de séparation-divorce, de fait de toutes les façons forcément illégales ou non avenues, où l’épouse est bien interrogée à l’encontre de son Époux !, et ce devant n’importe quel Tribunal, qu’il soit d’Église ou d’État !
5.B - Concluons
Oui !, Lesdits Intransigeants,
plus criminellement
que le christianisme moderne,
ladite Tradition est féminisé !
Au début de cette nouvelle nous disions : Qu’est-ce donc que féminiser ?, que recherche-t-on à travers cette volonté ?
Nous avons répondu copieusement à : Qu’est-ce donc que féminiser ?
Nous avons aussi répondu indirectement à : Que recherche-t-on à travers cette volonté ?
5.B.1.a - Résumons, que recherche-t-on à travers cette volonté ?
La féminisation est l’œuvre du Malicieux en chef pour détruire toutes les sociétés humaines, sociétés d’Hommes et pour les Hommes ; et en premier, la Famille !
Et, au premier rang des ennemis de toutes les sociétés humaines et principalement de la Famille, se trouve l’Église féminisée, et de fait encore devant, la ‘Tradition’ féminisée !, sans qui les ennemis de tous les Hommes*21 n’auraient rien pu !
2Nous avions mis un lien internet, mais comme le site Les Intransigeants [http://intransigeants.wordpress.com/2009/10/15/reflexion-le-christianisme-est-il-feminise/#comments.] a été censuré, nous recopions ensuite l’article que nous avions sauvegardé :
Réflexion : Le christianisme est-il féminisé ?
[ Thursday, Oct 15 2009 – Uncategorized christianisme, Ethnocide, féminisation avouedusaintsepulcre 8:11 am – christ-pantocrator ]
Un Christ viril, le Christ Pantocrator très représenté dans le monde Byzantin ou dans l'iconographie médiévale
À cette question, le Dr. Leon J. Podles répond oui sans ambiguité aucune dans son ouvrage The Church Impotent: The Feminization of Christianity (”l’Eglise impuissante: la féminisation du christianisme”). L’auteur observe que dans toutes les églises occidentales (catholiques et protestantes) les paroissiens sont majoritairement…des paroissiennes. En règle générale en Europe et en Amérique, les hommes vont à l’église parce que leur femme, leur mère ou leur petite amie les y a obligés. En Occident, parmi les fidèles se rendant à la messe, le rapport femmes/hommes est environ de 3 pour 1, et ce malgré la correction liée à l’âge! Plus l’église est considérée comme liberal (i.e. de gauche) et plus les hommes y sont minoritaires. Inversement, l’auteur note que le sex ratio est plus équilibré dans les églises orthodoxes (”les seuls chrétiens à encore porter la barbe”) voire même devient majoritairement masculin chez les musulmans et les juifs. Podles cite également plusieurs études démontrant que les hommes les plus attirés par le sacerdoce chrétien sont ceux présentant les personnalités les plus féminines:
Parce que le christianisme est désormais vu comme partie liée à la sphère féminine plutôt que masculine, il attire parfois des hommes dont la masculinité est plutôt douteuse. Par hommes à la masculinité “douteuse”, je ne sous-entend pas des homosexuels, bien qu’un certain type d’homosexuel puisse y être inclus. Je veux plutôt dire que la religion est vue comme un lieu sûr, un refuge contre les défis de la vie, et que donc elle attire les hommes effrayés à l’idée de se séparer du monde protégé de l’enfance, monde dominé par les femmes. Ces hommes ont des problèmes à suivre le chemin du développement masculin. Chez les catholiques, c’est d’ailleurs un truisme que de dire que les prêtres choisissent le sacerdoce à cause de l’influence de leur mère, et que beaucoup de prêtres sont très proches émotionnellement de leur mère, plus que des hommes, y compris leur père.” (Traduction de Vertumne)
Nous sommes bien loin des Croisés et des inquisiteurs du Moyen-Âge ! Mais pourquoi les hommes européens, en particulier les plus masculins, ne sont-ils pas attirés par la religion ? Cette tendance procède-t-elle du christianisme ou est-elle apparue au cours de l’histoire ? L’auteur penche vers la deuxième hypothèse.
Vierge à l'enfant. Une représentation qui plaît davantage aux femmes. Doit-on s'en plaindre à l'heure où l'Europe ne fait plus d'enfants ?
Selon lui, c’est l’idée d’union individuelle avec le Christ, popularisée par Bernard de Clairvaux (d’après Origène) et les mystiques comme Thérèse d’Avila qui serait la responsable. Contrairement au judaïsme et à l’islam où Dieu est un père sévère qui veut et doit être obéi, le dieu des chrétiens à partir du deuxième millénaire souhaite l’union, la fusion de la « fiancée de Dieu » (l’Église) et du Christ. De père fouettard, Dieu se mue en mère consolatrice, avec en parallèle une montée en puissance du culte de Marie. Du Christ Pantocrator (”Tout-Puissant”) environné de gloire ouranienne dans les premières mosaïques d’inspiration byzantine, le Christ est de plus en plus subordonné à Sa mère dans l’iconographie occidentale, devenant le fameux “petit” Jésus, nourrisson joufflu et inoffensif, réchauffé entre les bras de Marie. Le développement de cet aspect a particulièrement plu aux femmes, et l’on assiste selon l’auteur à une explosion des ordres féminins durant cette période. A contrario, cet aspect serait particulièrement repoussant pour la mentalité masculine, dont la nature première est de se séparer de la matrice féminine pour acquérir son existence propre.
L’esprit masculin rêve de gloires, de conquêtes (dans tous les sens du terme), de luttes, d’une vie éternelle de plaisirs et de ripailles à festoyer aux Champs-Élyséens ou au Valhalla, pas d’une fusion quasi-utérine avec le Grand-Tout, la matrice, la mère-nourricière ou l’Église. Symboliquement, Cronos, le mâle par excellence, père des dieux olympiens rompt (à coup de faucille d’obsidienne) la fusion de son Père Ouranos et de sa mère Gaïa afin que le monde puisse exister. C’est peut-être pour cela que d’autres dénominations chrétiennes récentes, comme les Mormons mettent l’emphase sur une vie après la mort plus prosaïque, l’homme immortel disposant de ses propres mondes à coloniser et à mettre en valeur, à une échelle infiniment supérieure à la nôtre. La simple idée d’être étouffé pour l’éternité entre les bras sucrés d’un Dieu de Pur Amour ne provoque qu’un enthousiasme très modéré chez de nombreux hommes, et seule une véritable révolution théologique pourra ramener les boucs égarés à la bergerie.
Cette réflexion est tirée du site ETHNOCIDE.
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Notre commentaire : chevalier du Christ
Le christianisme viril ne demande qu'à renaître pour rééquilibrer l'hyperféminisation actuelle dont la consécration ultime fut le funeste concile de Vatican II
Cette réflexion est très juste et très saine mais nous pensons qu’il faut y apporter certaines précisions car nous savons que les païens identitaires s’en délecteront pour condamner le christianisme dans son intégralité. En réalité, tout est une question d’équilibre. L’excès nuit en tout ! C’est le déséquilibre au profit de la féminisation qui a provoqué dans l’Eglise les errements que l’on connaît aujourd’hui. Et non ! cette féminisation n’était pas “inéluctable” car ce serait prétendre que les “Templiers” sont un “accident” du christianisme alors que ce phénomène religieux et guerrier fait partie intégrante de notre belle religion. Relisez les Evangiles, les passages où le Christ condamne les pharisiens, par exemple, ou celui où il chasse les marchands du Temple. De même ce passage où il déclare qu’à cause de la défense de son nom, nous souffrirons la persécution. “Je ne suis pas venu apporter la paix mais le glaive”. Le Christ est tout sauf un “personnage féminin” ! Vatican II a été le sommum de la féminisation dans l’Eglise : “Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil”. C’est la raison pour laquelle l’héritage spirituel de ce concile doit être détruit. Mais nous n’avons pas peur d’affirmer qu’inversement, un christianisme entièrement masculin produirait un dévoiement tout aussi funeste pour notre religion. L’établissement de la “Trêve de Dieu” au Moyen Age était une réaction de l’Eglise au bellicisme de certains fiers à bras qui se battaient pour un oui ou pour un non, parfois pour de bonnes raisons mais aussi parfois par simple orgueil masculin. Il y a un temps pour la guerre et un temps pour la paix. Le temps de la paix est consacré à faire des enfants et à les éduquer aux côtés des femmes. Rien de mauvais là-dedans. Attention, que l’on ne m’accuse pas ici de faire le jeu des modernistes. Ceux qui lisent régulièrement les Intransigeants ont bien compris que nous étions loin de prôner sur ce site un christianisme féminin. Notre priorité aujourd’hui est effectivement de remasculiniser le christianisme. Toutefois par sagesse, évitons de tomber dans la religion caricaturale des guerriers à la croix de Malte, nos femmes ne s’y retrouveraient pas. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si le catéchisme et l’enseignement chrétiens étaient auparavant strictement non mixtes. A chaque sexe son catéchisme ! En vérité, le Christ est l’alpha et l’omega, le début et la fin de toute chose. En lui sont réunis tous les caractères nobles de l’humanité, qu’ils soient féminins ou masculins ! Une raison supplémentaire de se convertir à la seule vraie religion ! Païens, CONVERTISSEZ-VOUS !
Le Christ est l'alpha et l'omega. "Par lui, avec lui et en lui" tout a été fait. Il ne s'agit pas de "fusion féminine" mais d'omnipotence divine. Les mots et le vocabulaire employés sont importants !
* - Pour connaître la raison de cet astérisque et des suivants, veuillez lire : Nos documents comportent des astérisques ‘*’…
5(Re)Voyez ND : DP-4K, L’Église catholique, principal ennemi du Sacrement de Mariage ?!; point DP-4K4a, La GFGM, avec plus d’acharnement, détruit malicieusement des Mariages ? Voyez bien les notes !
6Texte non modifié : … les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes. Malheur aux prêtres et aux personnes consacrées à Dieu lesquelles par leurs infidélités et leur mauvaise vie crucifient de nouveau mon Fils !
7Cette féminisation, cette subversion, remonte à il y a déjà bien longtemps, elle était bien évidente, bien avant ledit Concile Vatican II ; depuis, dans ladite Église catholique, l’apparente, car la Vraie est éclipsée*, cette féminisation devient furibonde !
Voici, hier, le 25 avril, en la Saint Marc, sur le site François Desouche, nous sommes tombés sur une vidéo que nous avons écouté : Caroline Fourest vs Zemmour et Naulleau.
[ Note du lundi 6 aout 2012 : le lien a été supprimé, voyez celui-ci : Caroline Fourest vs Zemmour & Naulleau 1 [ITV] Onpc 240410 … ]
Éric Zemmour n’est nullement notre tasse de thé !, mais ce qu’il a dit fait bien partie de notre étude : la féminisation de l’Église catholique.
Éric Zemmour :
→ Il y a deux religions patriarcales, le Judaïsme et l’Islam, il y a une religion féminine, le christianisme ! [vers 7.50]
→ Le christianisme est la seule religion qui ait porté au pouvoir des femmes…, ce donc en opposition frontale, violente, à la Loi naturelle dont l’Église se devait d’être le Champion de Sa défense. Loi naturelle rappelée, défendue ainsi par Saint Paul : Je ne permets point à la femme d’enseigner ni de dominer sur l’homme (I Tim. II, 12).
→ À partir du moment où la Famille n’est plus patriarcale, il n’y a plus de Famille, elle a éclaté, c’est le divorce qui suit [vers 17.06]
Bien loin de nous de dire qu’il faille apostasier, puis se dire Juif ou Musulman, bien au contraire !, ce que nous devons faire, c’est lutter à notre échelle, en nos Familles, pour restaurer l’Ordre divin (Loi naturelle) que l’Église abandonna dans un domaine qui ne Lui appartient (appartenait) pas en propre, mais qu’il Lui appartient (appartenait) de bien défendre ! (cf. toute notre étude) : le Sacrement de Mariage, la Famille ; et ce, par la défense opiniâtre, sans aucune concession, ni exceptionnelle exception : la seule et unique Autorité en la Famille, tout aussi infrangible* qu’inaliénable*, inamissible* qu’inabdicable* : l’Époux-Père* !
8Plus personne ne sait rien, mais pire, plus personne ne veut savoir ! Nous serions des obsédés !, en disant qu’un prêtre ne peut toucher ne serait-ce que du bout d’un doigt une femme !, affirmations que beaucoup vont appeler : délire, folie !
Alors, lisez ces affirmations dont nous pourrons donner les sources, preuves ensuite (ici nous manquons de temps) :
1) Lors de la distribution des cendres (Mercredi des cendres, premier jour de carême), les rubriques ecclésiastiques stipulaient clairement et énergiquement que le prêtre mettait les cendres en touchant le front des Hommes, mais qu’il lui était rigoureusement interdit de toucher les femmes, il devait saupoudrer le dessus de la tête en faisant bien attention de ne pas les toucher.
2) Les mêmes rubriques interdisent tout aussi énergiquement qu’une femme entre dans le cœur de l’église, touche aux vases sacrés, entre dans la sacristie, etc. !, voyez-vous les crimes de ces prêtres maintenant !
3) Les femmes ne peuvent aucunement jouer des instruments quelconques en l’église, ni chanter dans les chorales, ni lire ou prendre la parole, comme Saint Pie X le rappelle très énergiquement : En vertu du même principe, les chants remplissent dans l’église un véritable office liturgique; partant, les femmes étant incapables de cet office, ne peuvent être admises à faire partie du choeur ou de la maîtrise. Si donc on veut employer les vois aigües de soprani; ou de contralti, on devra les demander à des enfants, suivant le très antique usage de l’Église.
Le 22 novembre 1903, jour de la fête de Sainte Cécile, le Pape Pie X signait le « Motus proprio sur la musique sacrée », qu’Il appelait lui-même « le code juridique de la musique sacrée ».
Nous allons vous donner une source (parmi d’autres), qui vient d’Una Voce, groupe promouvant la musique sacrée, or, le plus triste en l’affaire, et voyez la féminisation en marche, c’est que ce groupement fait chanter des femmes dans les églises !, ils font bien fi de l’ordre de Saint Pie X !, ce comme toute ladite Tradition !, ouvrez donc les yeux !
4) Les prêtres ne peuvent serrer la main aux femmes, ni les toucher, ni en l’église, ni hors l’église !, ils ne peuvent toucher aux enfants, aucunement, ni les petits garçons ni les filles, ni lors du Baptême ni lors de l’Extrême onction, ni donc les embrasser !, pervers !; ils ne peuvent prendre en voiture des filles ou femmes, ni être pris par elles ! Il existe une belle histoire au sujet de Saint Pie X, nous allons la rechercher.
Etc., etc., etc., nous en avons tellement d’autres à raconter, à rapporter !
Oui, tous les prêtres sont des cloaques d’impureté, des féminisés, des efféminés, des féministes, tous transgressent allégrement la Loi naturelle et les codes de l’Église !, tous commettent des impuretés avec nos femmes (épouse et filles), à nous Chefs de Famille !, impuretés qui sont souvent presque toujours des viols ou adultères.
9(Re)Voyez ND : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point DP-7B3b, La dépendance infrangible de la femme, une jouissance pour elle et pour Lui !; et DP-9b3a, Où nous en revenons à parler de la direction spirituelle de la femme !
11Épître de Saint aux Éphésiens, chapitre 5, 24.
12Saint Thomas d’Aquin : au sujet des faux témoignages.
Article 4 : Comment doit-on punir ceux qui portent une accusation fausse ?
Nous avons établit qu’en procédure criminelle l’accusateur se constitue partie pour obtenir la condamnation de l’accusé. Le rôle du juge est d’établir entre les parties adverses l’égalité requise par la justice ; or cette égalité se réalisera en faisant souffrir à l’un ce qu’il avait l’intention de faire subir à l’autre : « Œil pour œil, dent pour dent », est-il écrit (Ex 21, 24). Il est donc juste que celui qui, par son accusation, expose son prochain à un grave châtiment, soit passible de ce même châtiment.
Saint Thomas d’Aquin, Docteur de l’Église, Somme théologique, chapitre 68.
13(Re)Voyez ND : DP-10, Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (I) ; point DP-10B, Non non, je ne divorce pas, je me sépare !, et DP-10C, L’Église catholique et ladite séparation matrimoniale…
14(Re)Voyez ND :
→ DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point 3B10, Homélies sur la Genèse de Saint Jean Chrysostome.
→ DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point 45f, Revenons sur la consolation de l’Homme :
15(Re)Voyez ND : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point 7D6, Pie XI confirme : la dignité de la servitude de l’épouse.
16(Re)Voyez ND : DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point DP-3C4a, Parce que vous avez écouté la voix de votre femme…
17(Re)Voyez ND : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point DP-7E9, Allez, une petite dernière pour la route…
185ème dimanche après la Pentecôte, sur le deuxième Commandement de Dieu. Tome deuxième, du dimanche de Quasimodo, au 11e dimanche après la Pentecôte.
19Le péché réservé est un péché qui peut être remis que par l’évêque, et même souvent que par le Pape !, ce, sous couvert de réparation préalable et effective, ce qui en matière de calomnie (faux témoignage en justice) est extrêmement difficile à établir !, que tous les tords soient réparés, que l’Époux soit entièrement et très largement restauré !, etc.
20Saint Thomas d’Aquin, Docteur de l’Église, Somme théologique, chapitre 68.
21Nous vous engageons très chaudement à bien lire tout le livre 2000 ans de complots contre l’Église que vous trouverez à notre page Livres & sources, et dont l’extrait suivant est tiré :
Saint Paul, dans sa Première Epitre aux Thessaloniciens chapitre II, dit à propos des juifs :
15. Eux qui ont mis à mort le Seigneur Jésus et les prophètes et qui nous ont persécuté, eux qui n’ont pas souci de plaire à Dieu et qui sont les ennemis de tous les hommes.