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mercredi 5 août 2009

CN-2009-21, Pour Lubna Hussein, non pas 40 coups de fouet !, mais la peine de mort !

Du : 05.08.2009, existe1 en PDF ici : ND. Actualisé : mar. 5 févr. 2013, 11.44.
Table de cette nouvelle, CN-2009-…
21 - Pour Lubna Hussein, non pas 40 coups de fouet !, mais la peine de mort !
21.A - Une affaire bien symptomatique, l’affaire Lubna Hussein.
21.A.1.a - L’imbécile-utile soudanaise, Lubna Hussein
21.A.2 - Soudan: une journaliste risque 40 coups de fouet pour avoir porté un pantalon
21.A.3 - De fait le Soudan est bien bien timoré !
21.A.3.a - Il est dit : des policiers armés de matraque frapper l’un des avocats de la jeune femme, Manal Awad Khogali.
21.A.3.b - Ils est dit aussi : tout en maintenant à l’écart journalistes et caméras.
21.A.4 - Nous disions plus haut :
21.A - Une affaire bien symptomatique, l’affaire Lubna Hussein.
C’est chaque fois exactement le même processus qui est mis en place par ‘eux’, le même système de subversion typiquement d’‘eux’, on hurle, on fait hurler, on se lamente, on déchire ses vêtements devant le ‘scandale’, on pousse à la transgression avec des ‘imbéciles utiles’ en première ligne, des imbéciles utiles du style des 343 salopes2 , salopes qui avaient pratiqué un avortement totalement illégal, forcément selon le Droit naturel, et illégal selon la ‘loi’ de l’époque.
C’est ainsi qu’‘eux’ firent et font procéder pour arracher tout ce qui est contraire au Droit naturel : séparation-divorce* matrimoniale, contraception et avortement, incitation à l’insoumission des femmes, comportement contre-nature, travail dominical, euthanasie, etc.
C’est ainsi aussi qu’‘eux’ firent faire :
→ en Iran lors des manifestations si si ‘spontanées’ ; ou,
→ lors de ladite ‘révolution française’ ; ou,
→ lors de la révolution bolchevique ; ou,
→ infiniment pire, lors de la réclamation de la crucifixion de Notre Seigneur Jésus-Christ (NSJC) !
→ etc., etc., etc.
On pousse des gens, ou les gens, préalablement copieusement écervelés, tels des moutons de Panurge en un endroit, on les fait hurler et transgresser pour bien montrer que cela ‘se fait’ ; ce, selon le mot de Lénine : faites-le et cela se fera, dites-le et cela se dira ; et la transgression se faisant, cela devient ‘bien’, cela devient ‘bien’ de le faire, cela devient la ‘norme’…
21.A.1.a - L’imbécile-utile soudanaise, Lubna Hussein
Et maintenant, en effet il ‘leurs’ faut impérativement dévergonder toutes les femmes, et ce en tous lieux, afin de bien mettre à sape toutes les sociétés, et dans leur haine toute pavlovienne : principalement la Famille, en lançant l’épouse contre son Époux !, en lui faisant aborder la prétention monstrueuse qu’elle serait l’égale de l’Homme, et donc qu’elle aussi peut avoir un pantalon !
C’est ce qu’‘eux’ font en ce moment au Soudan, grâce à la formidable et malicieuse caisse de résonance de leurs médias-carpettes, et de leurs officines-imbéciles-utiles appelées : ‘Amnistie internationale’, ‘Ligue des ‘droits’ de l’homme’ (géniale idée du Malicieux : les ‘droits de l’homme’ !), etc.
En cette affaire de pantalon, ne confondez pas le pantalon en lui-même avec la prétention au pantalon-égalité-des-sexes. Ainsi, en des peuplades asiatiques (Japon, etc.) où la femme est du reste très souvent citée comme exemple de douceur et de soumission, de docilité, le pantalon est porté très pudiquement sous une tunique qui souvent ne le laisse même pas apercevoir ; ce, comme les panty de nos femmes voici quelques années. Autre chose est l’article et autre chose est la prétention liée à l’article.
Lisons le texte qui suit pour nous remémorer ladite ‘affaire’ :
21.A.2 - Soudan: une journaliste risque 40 coups de fouet pour avoir porté un pantalon
La police soudanaise est intervenue mardi à coups de gaz lacrymogènes et de matraques pour disperser la cinquantaine de Soudanaises, qui manifestaient devant le tribunal de Khartoum où une journaliste encourt 40 coups de fouet pour avoir porté un pantalon en public, en violation de la loi islamique en vigueur dans ce pays.
Certaines des manifestantes portaient des pantalons en signe de solidarité avec Lubna Hussein, qui risque la flagellation pour "tenue indécente". Aucun blessé n’était signalé dans l’immédiat, mais des témoins ont dit avoir vu des policiers armés de matraque frapper l’un des avocats de la jeune femme, Manal Awad Khogali, tout en maintenant à l’écart journalistes et caméras.3
Nous notons qu’il y a :
De ‘mauvaises’ dispersions :
Au Soudan, de viragos voulant renverser leur Maison de leurs propres mains*.
Etc.
Et de ‘bonnes’ dispersions :
Sur les territoires palestiniens et donc volés, dispersion à balles réelles ou avec tous autres moyens, des réclamants4 leur dû.
Etc.
De ‘mauvais’ procès :
Au Soudan, de cette criminelle transgresseuse.
De Ladite Sainte-Inquisition qui cherchait à débusquer les infiltrations des ennemis de tous les hommes5.
Etc.
Et de ‘bons’ procès :
De NSJC par le sanhédrin même pas légalement constitué6.
À Nuremberg, par les vainqueurs.
De l’Époux, en violation de Son Autorité infrangible*, par ladite justice (affaires familiales).
Etc.
De ‘mauvaises’ flagellations :
Au Soudan, de la transgresseuse.
Et surtout à l’intérieur de l’inviolable Sanctuaire familial, lorsqu’un Époux tout-Puissant en sa Maison, veut le plus légitimement possible faire rentrer quelques parcelles d’intelligence sensible, par son charmant fessier (voir ensuite), en Sa ‘tendrelette’ d’épouse obstinément récalcitrante.
Etc.
Et de ‘bonnes’ flagellations :
Après avoir fait réclamer par des hurleurs hystériques la crucifixion de NSJC reconnu innocent par Pilate :
22. Pilate leur dit : Que ferai-je donc de Jésus, qui est appelé Christ ?
23. Ils répondirent tous : Qu’il soit crucifié ! Le gouverneur leur dit : Mais quel mal a-t-Il fait ? Et ils crièrent encore plus fort, en disant : Qu’Il soit crucifié !
24. Pilate, voyant qu’il ne gagnait rien, mais que le tumulte allait croissant, prit de l’eau, et se lava les mains devant le peuple, en disant : Je suis innocent du sang de ce juste ; c’est à vous de voir.
Après avoir demandé que Son adorable Sang retombe sur leurs têtes et sur celles de leurs enfants :
25. Et tout le peuple répondit : Que Son sang retombe sur nous et sur nos enfants !
Pilate Le fit flageller pour tenter de calmer ces malicieux :
26. Alors il leur délivra Barabbas, et après avoir fait flageller Jésus, il Le leur livra pour être crucifié7.
Etc.
21.A.3 - De fait le Soudan est bien bien timoré !
Nous vous l’avons toujours bien dit !,
sans aucune, aucune langue de bois !
Voici ce que le Soudan devrait faire avec cette cinquantaine de Soudanaises, véritables salopes* ayant scandaleusement porté des vêtements d’Hommes, et en premier avec cette super pauvresse de Lubna Hussein, véritable pendant de notre Valérie Létard* hexagonale : pendues haut et court à la porte du village où s’est produite la transgression !
De fait voici la procédure8 qui aurait dû suivre le Soudan :
1. Le Tuteur, car en effet une femme ne peut qu’être sous tutelle (Père, frère, Époux, etc.) est sommé de remettre la transgresseuse au pas, de la corriger de main de Maître par tous moyens à sa disposition ; Il peut faire appel à l’autorité publique pour exécution de Sa sentence !
2. Si le Tuteur se refuse à obtempérer, c’est Lui qui devient le transgresseur, c’est Lui qui doit être puni !
3. Si la transgresseuse récidive, le Tuteur se fait effectivement fort que cette transgression ne puisse plus jamais se reproduire, Il peut faire appel à l’autorité publique pour exécution de Sa sentence, voire même capitale !
4. Si le Tuteur se fait complice de la transgresseuse, la Force publique prononce et exécute Sa peine qui peut être capitale pour les deux !
21.A.3.a - Il est dit : des policiers armés de matraque frapper l’un des avocats de la jeune femme, Manal Awad Khogali.
Où a-t-on vu qu’un complice objectif d’une telle forfaiture ne pourrait être poursuivi ? Comme de droit, le(s) complice(s) encoure(nt) la même peine que la (les) transgresseuse(s) !
21.A.3.b - Ils est dit aussi : tout en maintenant à l’écart journalistes et caméras.
Sachant que de toutes les façons les médias sont aux bottes de la subversion commanditée par ‘eux’, il est plus que normal que le Soudan les empêche de nuire, de fait ces ‘journalistes’ devraient encourir les mêmes peines que les transgresseuses, pour complicité objective !
21.A.4 - Nous disions plus haut :
Le plus légitimement possible faire rentrer quelques parcelles d’intelligence sensible par son charmant fessier.
Il est vrai que de fait ceci s’adresse à de vrais Hommes, mais en reste-t-il maintenant ?
Des hommelettes il n’y a plus que cela !, il y en a du reste à la pelle, l’on ne voit que des lavettes tapies au milieu de femelles enférocées : C’est le propre d’une femme, lorsqu’elle se dispute avec un homme, de perdre courage et de prendre la fuite, aussitôt que celui-ci lui montre un visage ferme ; l’homme, au contraire, commence-t-il à craindre et à reculer, la colère, la vengeance et la férocité de cette femme s’accroissent et n’ont plus de mesure*9.
Il n’y a que cela, de plus en plus de sous-femmes appelés aussi sodomites ou pédérastes, sachant hurler du reste encore plus aiguëment10 que les viragos !
Mais de ces Vrais et rudes pères de famille à l’autorité absolue et incontestée, gardiens fidèles de leur gens*, en reste-t-il ?
Mais de ces Vrais Époux ne craignant nullement de tenir énergiquement La barre de la nef domestique [qui] a été confiée à vos mains* comme le leurs rappelait Pie XII, en reste-t-il ?
De vrais Hommes exerçant l’Autorité de la manière dont Pie XII le leurs rappelait : N’hésitez donc point à exercer cette autorité ; ne vous soustrayez point à ces devoirs, ne fuyez point ces responsabilités, en reste-t-il ?
De ces bons et charitables Époux écoutant leur Devoir, et non les sirènes lucifériennes hurlant à travers ‘leurs’ médias, et donc n’ayant pas peur de retrousser les manches afin d’apprendre quelques pas de Polka*11 à leurs égarées, histoire de les dégourdir quelque peu !, en reste-t-il ?
Ci-contre, détails d’une miséricorde de stalle est visible en l’église de Brou12, dans l’Ain, France.
Source : photo privée faite par une personne bien complaisante.
De ces Vrais Hommes n’ayant point peur de mettre la main à la pâte, comme nous le voyons sur cette photo (Correction maritale13) ci-contre, afin de ramener l’épouse récalcitrante à la raison comme le Doit naturel le commande, comme l’Église et de nombreux Saints et des sains auteurs le rappellent : on peut user aussi des réprimandes et des coups*. (Saint Augustin, Père de l’Église) ; lorsque, après avoir été plusieurs fois avertie, votre femme ne s’est pas corrigée ; seulement alors vous pouvez la châtier*(Saint Alphonse de Liguori), en reste-t-il ?
Compléments :
→ le point : Nous, dans la Vérité, nous allons Vous dire que Vous devez la battre, lui donner des coups, si elle ne veut pas se corriger, être dominée, obéir !
→ DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II) ; point DP-6C13, L’Homme tranquille, bon… bat Sa femme s’il le faut !
Heureux temps où paisiblement…,
l’Époux soulageait Son épouse de ses errances…
Oui !, heureux temps où l’Église et l’État ne trahissaient pas les Hommes, les Époux, les Chefs de Famille.
Oui !, Heureux temps, où la chose était réglée vite fait, bien fait, et en Famille et sans scandale toujours très hypocrite. Et l’épouse tout à son bonheur d’être soulagée de son errance, voyant enfin clair, venait amoureusement vous embrasser la main et vous bénir14 !
* - Pour connaître la raison de cet astérisque et des suivants, veuillez lire : Nos documents comportent des astérisques ‘*’…
5Nous vous engageons très chaudement à bien lire tout le livre 2000 ans de complots contre l’Église que vous trouverez à notre page Livres & sources, et dont l’extrait suivant est tiré :
Saint Paul, dans sa Première Epitre aux Thessaloniciens chapitre II, dit à propos des juifs :
15. Eux qui ont mis à mort le Seigneur Jésus et les prophètes et qui nous ont persécuté, eux qui n’ont pas souci de plaire à Dieu et qui sont les ennemis de tous les hommes.
Chapitre 3.VIII - Les Apôtres condamnent les juifs pour le meurtre du Christ. 2000 ans de complots contre l’Église – 1962-63 – Maurice Pinay, à notre page : ).
6Lire : Valeur de l’Assemblée qui prononça la peine de mort contre Jésus-Christ - Mgrs Augustin et Joseph Lemann. Nous le publierons ultérieurement.
7Evangile selon Saint Matthieu ~ Chapitre 27.
8Voici ce que nous écrivions dans notre étude :
Ainsi, si une femme devait être répréhensible (vol dans l’épicerie du village) c’est forcément vers l’Époux que l’épicier portera sa plainte, il reviendra à l’Époux de rembourser puis de corriger de main de Maître son épouse. En cas de contestation, c’est à l’Époux, assisté d’un avocat s’Il le doit, de se défendre en Justice, pour laver l’honneur de son épouse.
(Re)Voyez, ND : DP-5B4, L’Homme juge, jure, atteste, certifie, témoigne…
9(Re)Voyez ND : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II) ; point DP-6F2a, Notre ennemi ressemble à une femme.
11Polka :
s. f. Correction, danse, dans l’argot des faubouriens. Faire danser la polka à quelqu’un. Le batte. (Page 360 du ‘Dictionnaire de la langue verte’ d’Alfred Delvau.)
12(Re)Voyez : une bonne description et de belles photos à :
14(Re)Voyez ND : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II) ; point DP-6C12, Église de Brou : correction maritale, ou la ‘femme battue’.