Attention ! Les liens internes aux documents (tables de matières par exemple) ne fonctionnent pas (plus !), pour les atteindre, copier le texte du point et cherchez-le ensuite sur cette page ; cet inconvénient provient de modifications de Blogger ! Pour atteindre les notes (vous pouvez faire copie de la page !, et basculer de l’une à l’autre) cherchez ce ♣, et les notes suivent.

jeudi 30 juillet 2009

CN-2009-20, La force publique, en 1823, assistait l’Époux voulant récupérer Ses enfants volés par Son épouse !

La force publique, en 1823, assistait l’Époux voulant récupérer Ses enfants volés par Son épouse !

Du : 30.07.2009, existe1 en PDF ici : ND. Actualisé : sam. 5 mars 2011, 16.36.

Nous allons corroborer tout ce que dit notre étude, qui elle-même ne fait que confirmer le Droit naturel* [Lisez-moi] qui dit que les enfants n’appartiennent* qu’au Père !, avec un fait spectaculaire qui se passa en 1823, voici donc pas même deux cent ans…, ‘lorsque nous étions encore si arriérés’ selon les ‘canons’ actuels !

Ironie : Mais, heureusement, Alléluia !, depuis quelques dizaines d’années, nous sommes bien copieusement illuminés par le Malicieux en chef !

Cette nouvelle est dédiée à :

  • Xavier Fortin, Chef de Famille héroïque et chanceux, qui après avoir récupéré Ses enfants*, enfants qui n’appartiennent* qu’à Lui, Okwari et Shahi Yena volés par la mère avec la complicité de l’inJustice, ou plutôt du Ministère de l’iniquité, fut pourchassé par ceux-même qui auraient dû Lui porter main-forte ! Grâce à Dieu, il réussit à les garder cachés plus de 10 ans ! Oui bien !, en Vérité Il les a sauvés !

  • Fabrice Devaux, qui se disant Prêt à tout pour récupérer ses enfants… même à tuer son ex?2 (Et c’est nous ici qui l’ajoutons : comme de Droit* !) écopa scandaleusement de six ans de prison ferme alors qu’Il aurait dû être assisté et ‘vengé’ par cettedite Justice !

  • Jean-Michel André, le Père d’Élise qui se bat pour récupérer Son enfant, qu’à Lui !

  • Tout dernièrement ce pauvre Père3 qui abandonné par ceux qui devaient l’aider fut poursuivi par la GIPN alors qu’il ne faisait que tout ce qu’Il pouvait (certes maladroitement) pour récupérer Ses enfants, qu’à Lui !

  • Et bien bien d’autres que vous pouvez nous faire connaître par le moyen des commentaires, et nous le publierons tous (sources désirées) !

  • Et combien d’autres vaillants Pères de Famille que nous connaissons bien ici, et qui furent spoliés scandaleusement par Leurs épouses de Leurs enfants, ce avec l’aide démoniaque, malicieuse de l’inJustice et de la force publique !

Avant la corruption de Nos sociétés, en 1823, la police aidait le Père à récupérer Ses enfants volés par la mère !

Nous vous donnons dans l’encadré qui suit (les surlignés jaunes sont de nous) un extrait d’un livre que nous allons bientôt publier : Les juifs nos maîtres - Abbé E.-A. Chabauty.

Cet extrait qui est à bien lire raconte les aventures d’un pauvre Rabbin converti à qui l’épouse avec ses complices habituels avait volé Ses enfants* :

Début de l’extrait →

1823. En cette année, un Israélite des plus distingués de France, le Rabbin Paul Drach, de Strasbourg, se convertit au catholicisme. Drach avait fait de longues et sérieuses études sur tous les écrits rabbiniques, et sur le Talmud en particulier. Il était directeur de l’école juive de Strasbourg. Le titre et le diplôme de Rabbin, docteur de la loi, qui lui avait été conféré par les principaux grands Rabbins de France, les ouvrages qu’il venait de publier avec succès pour la défense du judaïsme, l’estime et l’autorité dont il jouissait auprès de ses coreligionnaires, lui donnaient « l’expectative du premier siège de grand Rabbin qui serait venu à vaquer ». Paul Drach fit le sacrifice de tous ces avantages et de toutes ces espérances : il abjura le judaïsme et entra dans l’Église catholique. Mais tout aussitôt s’élève contre lui une terrible persécution. Sa femme l’abandonne, en emmenant avec elle ses trois enfants. Le concours de bien des juifs fut nécessaire à cette entreprise audacieuse, qui était une vengeance de la synagogue contre Drach. Les ravisseurs prirent si bien leurs mesures, que les recherches les plus actives de l’autorité ne parvinrent point à découvrir la direction qu’avaient prise les fugitifs. On sut dérober aux investigations de la police jusqu’à la moindre trace du passage de quatre individus depuis Paris jusqu’à Londres, par Calais et Douvres.

Ce fut dans la capitale de l’Angleterre que les juifs cachèrent l’épouse et les enfants de Paul Drach. Là, sous un faux nom, Mme Drach avec ses enfants se montrait publiquement parmi les juifs de cette ville, continuellement en relation avec ceux de Paris. Ces derniers, au reste, savaient très bien où elle s’était réfugiée, sans avoir besoin de l’apprendre de leurs coreligionnaires de l’autre côté de la Manche.

Le malheureux père, au désespoir, intenta un procès pour rapt d’enfants mineurs, dans le but, non pas d’atteindre les coupables, mais de retrouver la trace de ses enfants. Plusieurs mandats de comparution furent décernés contre des Israélites que l’on savait être parfaitement instruits de la retraite de Madame Drach. On n’en put tirer aucun renseignement.

La police, continue l’infortuné Drach, pendant « près de deux ans, ne put pas découvrir ce qui était à la connaissance des plus petits enfants juifs, non seulement en Angleterre, mais encore dans tous les pays où est dispersée la race de Jacob. L’incontestable adresse de la police française échoua contre la profonde discrétion que les juifs savent observer envers les Goyim4, toutes les fois qu il y va de l’intérêt de quelque affaire nationale

Que peuvent les plus sages mesures des autorités de tous les pays contre la vaste et permanente conjuration d’un peuple qui, réseau vaste autant que solide, jeté sur tout le globe, porte ses forces partout où surgit un événement qui intéresse le nom israélite !

Après avoir appris par l’effet du hasard, ou plutôt par l’action de la divine Providence, que ses enfants se trouvaient à Londres, Drach se pose à lui-même cette objection : mais comment les obtiendra-t-il, ces petits innocents ? s’adressera-t-il à l’autorité, car la législation anglaise reconnaît, comme la nôtre, les droits du père sur ses enfants ? A sa première démarche, les juifs, maîtres de sa famille, usant des grands moyens dont ils disposent, la feront disparaître pour toujours !

C’est pourquoi Drach résolut d’employer la ruse, A son tour il réussit à reprendre ses enfants et à les enlever des mains de ses ennemis.

Il termine son long récit en assurant qu’il est fidèle, et appuyé du témoignage d’un très grand nombre de personnes recommandâmes et de plusieurs pièces d’une exacte authenticité5.

← Fin de l’extrait

Est-il vraiment nécessaire que nous vous commentions ceci ?

Oui, de Droit* !, les enfants n’appartiennent* qu’au Père !

Il est bien dit, en 1823 : La législation anglaise reconnaît, comme la nôtre [en France], les droits du père sur ses enfants !

Cette Loi en 1823 reconnaissait le Droit naturel* qui est immuable, ainsi donc maintenant la ‘loi’ est anti-naturelle, contre-nature !

Le contre-naturel est partout la ‘loi’ !, les ‘lois’ appuyant les comportements contre-nature sont l’anti-Loi de Dieu, ils sont les ‘lois’ du Malicieux !

4Non-juifs, chrétiens.

5Voir De l’harmonie entre l’Église et la Synagogue, tome 1er, p. 1 à 89. Dans son livre, M. Drach s’est approprié le récit de tous ces événements fait par un de ses amis.

lundi 27 juillet 2009

CN-2009-19, Le Salon Beige : Le rôle éducatif des grands-parents

Le Salon Beige : Le rôle éducatif des grands-parents

Du : 27.07.2009, existe1 en PDF ici : ND. Actualisé : jeu. 10 mars 2011, 15.46.

Le Salon beige vient de lancer une nouvelle sape de la Famille !

Le Salon Beige, en la Saints Joachim et Anne, le 27 juillet 2009, vient de publier un article absolument ‘scandaleux’, un pur bijou de désinformation !

Voici l’article incriminé : Le rôle éducatif des grands-parents2.

Il n’y a pas pire destructeur que celui qui fait le mal en pleine ‘sureté’ de conscience !

Dans la droite ligne de ses anciennes erreurs.

Nous avons déjà épinglé de graves ‘dérives’, mensonges ‘pieux’ de fait, ceux qui emballés dans de ‘bonnes intentions’, sont les pires, les voici ; (Re)Voyez ND : CN-2009-08, Le Salon Beige : De la démocratie en Afghanistan ; et CN-2009-07, Le Salon Beige : Favoriser le Bien Commun au niveau local.

Bien qu’ayant bien parlé du Père une autre fois :

Voici l’étude du dernier article incriminé

Voici les très graves désinformations contenues dans cet article :

Mensonge : Le rôle éducatif des grands-parents !

Le titre, car c’est lui qui est cité ci-avant, est complètement mensonger, et avec ce qui va suivre nous allons nous en bien apercevoir !

Retenez bien, pour bien comprendre, que Saints Joachim et Anne ne sont nullement les grands-parents de Jésus, mais uniquement les parents de Sainte Anne ! Vous allez devoir en convenir avec ce qui suit !

Mensonge : La mémoire des saints Anne et Joachim…

Et dès le début l’on commence par un des pires ‘mensonges’ !

Évidemment, lorsque l’on suit « Notre Très Saint Raminagrobis* » [Lisez-moi], le ‘squatter’ du siège Romain, le maître cloaque d’impureté*, le chef loup déguisé en brebis3 ayant aidé à éclipser* la véritable Église : l’on ne peut que dériver !

De tous temps, la véritable Église romaine citait les Hommes en premier ! Toujours !, Elle citait ainsi : saints et saintes* !

(Re)Voyez, ND : DP-08, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (II) ; point DP-8F1c, L’Église, mit toujours l’Homme et la femme à leur place.

Voici le premier § du chapitre précité : Comme vous allez le voir, l’Église, la vraie !, mit toujours l’Homme à sa place ; et la femme toujours à la sienne : derrière les hommes, dans leur ombre et dépendance.

De plus, Sainte Anne que nous aimons particulièrement ici, pour une raison qui ne peut être exposée, était un modèle de soumission !; ainsi donc, jamais alors, elle n’aurait voulu être citée avant son Maître et Seigneur* !

De plus, ce jour, c’est non la fête de la Saints Joachim et Anne, mais uniquement de Sainte Anne ! Par contre dans certains rituels monastique (bénédictin…) on les fête ensemble, et ils sont inscrits ainsi : Saints Joachim et Anne*.

Mensonge : … et donc grands-parents de Jésus…

Nous ne pouvons sans cesse réécrire tout, aussi pour comprendre notre accusation de mensonge, nous vous en prions, (Re)Voyez, ND :

  • en entier DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point DP-3D7, Des ‘aberrations’ incroyables, inouïes, en la Très-Sainte Famille.

  • plus particulièrement le point : DP-3D7a, Généalogie de Notre-Seigneur Jésus-Christ, ou, à qui appartient l’enfant ?

La ‘généalogie’ par les femmes, ou, aussi par les femmes, est un mensonge très très récent ! Et ayant des conséquences désastreuses, dramatiques en la Famille ; c’est l’introduction d’une dualité purement luciférienne. Pour vous en convaincre, (Re)Voyez ND : DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point DP-4J, Exclusivité du lien du Mariage, surtout pour l’épouse.

Recherchez dans ce même document : généalogie*, appartient*, Paternité*, de laquelle est né Jésus*, etc.

Mensonge : les grands-parents, qui dans la famille sont les dépositaires et souvent les témoins des valeurs fondamentales de la vie.

Premièrement : Michel Janva, pour comprendre vraiment, il faut savoir et vouloir lire notre étude : il n’y a qu’une lignée, il n’y a qu’un seul fil conducteur pouvant être appelé ‘grands-parents’, c’est les parents du Père de Famille !

Recherchez aussi dans notre étude : descendance*, appartient*, MA famille*, quitter*, etc.

Deuxièmement : Ce bout d’article comporte une autre grave ‘erreur’, bien flagrante :

La tâche éducative des grands-parents est toujours très importante, et elle le devient encore davantage quand […] les parents ne sont pas en mesure d’assurer…

Notez : veuillez être attentifs aux termes de distinction des générations : grand-parent (G1) → parent (G2) → enfant (G3).

Qui a éduqué les parents (G2), si ce n’est les grands-parents (G1) ?

Comment ceux-ci (G1) seraient-ils capables de faire auprès des enfants (G3) ce qu’ils furent incapables de faire avec les parents (G2) ? : les éduquer !

Lisons aussi ce que nous disait en 1598 le Cardinal Silvio Antoniano : Le père de famille (G2), gardien vigilant et soigneux du dépôt (G3) que Dieu lui a confié, c’est-à-dire de l’âme et de la pureté de ses enfants, éloignera toutes les occasions [de chutes] qui pourraient se présenter dans sa maison ou au dehors. Il ne se fiera pas aveuglément aux serviteurs, aux nourrices, pas même à ses propres parents (G1), parce que les ruses du démon sont nombreuses, et qu’il tend ses filets précisément là où les soupçons paraissent le moins fondés4.

Seul le Père (G2) est responsable, Il est le gardien vigilant et soigneux, de Ses enfants (G3). Il (G2) doit éloigner, s’ils sont une occasion de chute, jusqu’à Ses propres parents (G1) !

Au passage, vous remarquez que le Cardinal ne parle pas des ‘parents’ [(G0 !) en effet ils ne sont rien !] de l’épouse !

Ce, parce qu’ils (G0 !) ne risquent pas d’être dangereux ? Non !, tout simplement qu’ils (G0 !) n’existent pas dans le champ de cette Famille !

Deux commentaires bien sagaces à la suite de cet article

Lisons au passage deux commentaires qui suivent cet article surréaliste, ils sont pleins de bon sens :

Début de l’extrait →

Et Dieu sait les dégâts qu’ont fait les grand-parents qui avaient des étudiants en 68 et ne leur ont transmis aucune valeur… leurs enfants se sont comportés comme des vauriens, leurs petits-enfants sont tous ou presque sont divorcés, multi-remariés, drogués, gays, etc.

Et à présent que les grands-parents sont de la génération qui était étudiante 68 cela va empirer… (Rédigé par: Amédée | 27 juil 2009 10:51:19)

Fin de l’extrait ~ Début de l’extrait →

Un problème est que beaucoup de grands parents prennent plaisir ou se font un devoir de prendre le contre-pied des parents de leurs petits-enfants… et s’étonnent qu’ils ne voient pas ceux-ci plus souvent !

Et beaucoup de prètres de la même génération, qui s’obstinent à "célébrer" comme dans les années 70 ne comprennent toujours pas pourquoi il n’y a plus personne à leur "KT" et à la "messe" (Rédigé par: Oktavius | 27 juil 2009 11:39:00 )

← Fin de l’extrait

Michel Janva, auteur de ce triste article, est bien tordu !

Les parents de l’épouse ?, fossoyeurs de la Famille !

Pour finir, revenons aux fameux dits parents (G0 !) de madame, voici ce que nous avions écrit ; (Re)Voyez ND : DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point Oublie ton peuple et la maison de ton père :

Début de l’extrait →

Un triste travers existe en l’épouse, la mauvaise il s’entend, mais la plus courante ‘évidemment’, c’est de parler de la Famille dont elle fut tirée avec son propre consentement, et donc de par sa propre volonté, et par la volonté de son Père, en disant ma famille.

← Fin de l’extrait

Tous les divorces ont comme cause première ‘la famille’ (G0 !) de l’épouse !

Et les meilleurs mais non exclusifs promoteurs de la zizanie dans les couples sont les ‘parents’ (G0 !) de l’épouse !, parents (G0 !) qu’elle voulu bien effectivement quitter lors de son OUI* !

3Notre-Seigneur Jésus-Christ - Évangile selon Saint Mathieu, chapitre 7, verset 15-16.

4« Traité d’éducation - 1598 - Cardinal Silvio Antoniano. », p. 289 §3.

Traité de l’éducation chrétienne des enfants.

Le livre du cardinal Antoniano a été traduit en français par M. Guillan !, qui a mis en tète du volume une Vie de ce savant cardinal. La traduction est intitulée : Traité de l’éducation chrétienne, composé à ta demande de saint Charles Borromée par le cardinal Silvio Antoniano.

Mgr l’évêque de Poitiers a adressé à l’auteur la pièce suivante, qui trouve ici naturellement sa place. « Le cardinal Silvio Antoniano a été l’une des plus grandes figures de la régénération catholique qui s’est opérée au XVI siècle. Son traité De l’éducation chrétienne des enfants composé à la demande de saint Charles Borromée, est d’une beauté antique quant à la forme ; et quant au fond, c’est tout dire que de rappeler qu’il est sorti de la plume d’un des principaux rédacteurs du Catéchisme du Concile de Trente… »