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jeudi 24 juillet 2008

DP-06C11, Un Seigneur justifie ses garçons qui ont mis leur mère au cachot.

6.C.11 - Un Seigneur justifie ses garçons qui ont mis leur mère au cachot.

Du : 24.07.2008, existe1 en PDF ici : ND. Actualisé : dim. 11 déc. 2011, 17.42.

La source de l’histoire que nous allons raconter manque, et donc le texte est donné ici de mémoire, il est bien fidèle à l’esprit. Lorsque nous retomberons sur ce texte tiré d’un livre sur les croisades nous donnerons la source exacte. Voici donc l’histoire qui nous intéresse et qui est le contre-pied magistral du bassinage mensonger et sidérant, incapacitant que l’on nous fait encore plus ces derniers jours (juillet 2008) quant à ladite violence faite aux femmes.

Réflexions préliminaires ré-apprenant à raisonner :

Comment se fait-il qu’un Homme puisse être ‘violent’ avec une femme étant donné que nous serions ‘égaux’ selon eux ? En effet, une violence physique et/ou psychologique ne peut exister que venant d’une personne plus forte sur une personne plus faible, physiquement et/ou psychologiquement parlant ! Et donc, où le serpent se mord la queue, soit nous sommes égaux et il ne peut y avoir violence contre la femme, ou soit il y a violence et donc nous sommes inégaux ; il faut choisir une bonne fois pour toutes !

Pourquoi ne fait-on pas une distinction entre un ordre ‘femme, fait ceci’ et une punition : réprimande, claque, martinet, etc. ? Parce que ce n’est pas la ‘violence’ qui est visée, mais l’autorité :

Il leur faut détruire la Famille selon le mot bien connu : Famille, je vous hais.

Pour détruire cette Famille, il faut y semer l’anarchie afin d’y amener la révolte, et donc faire croire aux femmes qu’elles ne doivent pas être ‘asservies’ étant ‘égales’ à l’Homme.

Une fois la révolte installée, l’Homme n’a plus d’issue que de discipliner son épouse soit en la sermonnant, soit en la contraignant, et c’est ceci que les ennemis de cette Famille appellent ‘violences’.

Puis, ensuite, d’amener l’épouse à porter plainte contre son Époux ! Et eux se réjouissent car ils disent : qu’enfin, les femmes osent de plus en plus porter plainte contre les ‘violences conjugales’ !

Car, enfin, et du reste on y arrive, on y est même déjà, un Père qui dit à son fils ‘ne fait pas ceci’ est ‘violent’ maintenant ! Alors qu’Il a le Devoir, et donc le Pouvoir, de corriger intellectuellement et ensuite s’Il le juge nécessaire physiquement son enfant.

Comment cela se fait-il que l’Autorité dans la Famille ne peut utiliser la ‘violence’ pour faire régner l’ordre, alors qu’Elle est de Droit divin et donc qu’Elle le Doit ; et que dans le même temps, l’État utilise une violence bien plus grande et bien infernale en poursuivant et enfermant ces Chefs de Famille, et ainsi en laissant errer ces femmes et en rendant ‘orphelins’ ces enfants, alors que Lui, l’État, est forcément illégal dans ce cas ?

Revenons à notre titre : Un Seigneur justifie ses garçons qui ont mis leur mère au cachot.

-- Justifier : 2. a) Déclarer juste ; disculper, innocenter.

Voici l’histoire :

Au temps des Croisades, un Seigneur part et laisse Ses biens à la garde de Son épouse. S’étant absenté plusieurs années, Il revient en Son domaine où Il est accueilli par les Siens. Ne voyant pas Son épouse, le Seigneur interroge Ses gens qui Lui disent que Son épouse est au cachot et que c’est Ses deux fils aînés qui l’y ont mise. Sans se départir de Son calme, le Seigneur convoque ses fils, qui maintenant ont 13 et 15 ans2, en audience publique de même que son épouse qu’Il a fait extraire. Puis devant tous ses gens, Il demande à Ses fils pourquoi ils ont mis leur mère au cachot. Ceux-ci Lui expose les désordres de leur mère quant à la gestion du domaine. Le Seigneur en interrogeant Son épouse à la confirmation des dires de Ses fils. Et devant Sa cour Il justifie en publique Ses fils, Il confirme la sentence et fait renvoyer par Ses gardes l’épouse désordonnée pour un bon moment au cachot.

Revoyons cette histoire ensemble.

Le Seigneur s’absente plusieurs années, et laisse Ses biens à Son épouse : les biens comme l’épouse sont à Lui. L’épouse doit les gérer pour Lui selon ses instructions explicites ou implicites.

Les enfants qui au départ de leur Père étaient encore jeunes, ayant mûri, ont averti leur mère de ses désordres, et devant son obstination, après l’avoir dûment sommée, ils l’ont fait mettre au cachot car elle ne voulait pas obtempérer.

L’Époux en sa Maison (Famille) est bien, Lui aussi, le Seigneur, Comme Sara, qui obéissait à Abraham et l’appelait son seigneur3, l’épouse doit ainsi considérer son Époux.

Nous avons aussi vu que, puisque ton Époux s’est épris de ta beauté : puisqu’il est ton seigneur, prosterne-toi devant lui*.

Comme Il est son Seigneur, elle doit obéir encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables ; ou sinon, son Seigneur, s’il devait compatir à sa femme, il devait la discipliner, puisqu’elle était son inférieure, car l’homme est le chef de la femme.

Mesurez ainsi, le fossé qui existe entre ce que suggère cette petite histoire qui précède et ce que disent les mensonges de ‘la femme battue’ et ‘des violences conjugales’.

Oui, ce monde est un monde de mensonges, de renversement de toutes les valeurs, une révolte contre Dieu qui est Ordre, Droit : libération de la femme ; violences conjugales ; travail de la femme ; partage de l’autorité dans le couple ; contraception, avortement ; prise en main de l’enfant par l’État ; collages contre-nature ; égalités en tous genres et plus particulièrement des sexes ; séparation et divorce ; etc.

Il existe une violence bien réelle qui est la désobéissance de la femme rebelle à son Époux, et à cette infraction une ‘violence’ plus que légitime doit être la ‘réponse’ de son Époux. Et c’est ainsi qu’agit l’État légitime lorsque quelqu’un fait une infraction au code de la route par ex., la ‘violence’ de l’amende est là pour le ramener à la raison.

L’État ne peut aucunement rentrer dans la Maison afin d’en ‘vérifier’ la gestion, seul l’Époux est le Législateur et le Bras chargé de faire respecter le Droit en sa Maison.

Mais évidemment, maintenant que l’on a inventé le ‘droit d’ingérence’, purement démoniaque, l’État dit que l’Époux n’est pas Roy, et que c’est lui, l’État, qui doit tout chapeauter en la Famille.

Le charbonnier n’est plus Maître en Sa Maison, il n’est ‘toléré’ que s’il est démoncrate ; et ainsi qu’un vaisseau ne peut avoir à sa tête deux Capitaines, un foyer ne peut avoir deux Têtes ; alors, l’on coupe le vaisseau en deux, c’est le divorce. En effet, de plus en plus de Famille vont à la dérive, car comme ils disent : ils ‘éveillent’ de plus en plus la femme à la ‘liberté’ afin de les amener à la révolte.

2À cette époque, et contrairement à ce que l’on nous raconte, les enfants étaient bien plus mûrs et bien plus tôt que maintenant.

3Les sources sont données dans plusieurs endroits de ce document. (Re)Voyez ND : entre-autres DP-01, Présentation de cette étude. ; point DP-1.C.4, Ce document ne veut pas de tout réécrire, mais…

dimanche 20 juillet 2008

DP-06D3, Deux pauvresses ont laissé mourir leur enfant dans la voiture.

6.D.3 - Deux pauvresses ont laissé mourir leur enfant dans la voiture.

Du : 20.07.2008, existe1 en PDF ici : ND. Actualisé : lun. 12 déc. 2011, 17.46.

Reconquête !,
la femme à et pour sa Maison !

Pourquoi dire ‘Deux pauvresses ont laissé mourir leur enfant dans la voiture’, alors que c’est des Hommes qui ont oublié leur enfant, comme nous le lisons ici :

Mort d’une fillette oubliée dans une voiture au soleil : le père mis en examen

Publié le mercredi 23 juillet 2008 à 22H14

[1er enfant] Le père de la petite Zoé, fillette de trois ans décédée mardi après avoir été oubliée dans une voiture stationnée en plein soleil à Saint-Marcel (Saône-et-Loire), a été mis en examen mercredi pour homicide involontaire et placé sous contrôle judiciaire.

L’homme de 38 ans, qui se trouve "dans un état de détresse important" selon le parquet, s’est vu notifier sa mise en examen à l’hôpital de Chalon-sur-Saône où il est en observation depuis mardi soir.

[2ème enfant] Cette tragédie intervient une semaine après celle de Pont-de-Chéruy (Isère) où un garçon de deux ans et demi était décédé après avoir été laissé seul par son père dans sa voiture.2

Voici donc, comme nous venons de le lire que deux enfants sont morts affreusement parce que oubliés par leur Père dans la voiture !, et nous disions, nous, qu’ils ont été assassinés par leur mère, pourquoi ?

Nous allons parler que d’un cas, car il sont parfaitement identiques. Nous parlerons de la ‘faute’ du Père ensuite, commençons par voir le crime de la mère.

6.D.3.a - Le crime de la mère : avoir trahi, par pur orgueil, sa mission !

En effet, comme nous le voyons dans toute notre étude, la femme est faite pour l’Homme, pour l’aider, le servir, pour son ‘confort’, et en premier pour soigner et élever les enfants que son Époux lui a donné à porter et lui confie dans les premières années !

Voici, parmi tant d’autres personnes, ce que dit Pie XII qui date de Mathusalem comme chacun le sait (10 septembre 1941 !) : A la femme, Dieu a réservé les douleurs de l’enfantement, les peines de l’allaitement et de la première éducation des enfants, pour qui les meilleurs soins de personnes étrangères ne vaudront jamais les affectueuses sollicitudes de l’amour maternel.3

Il existe bien bien d’autres textes que nous donnons dans cette étude, qui disent tous que la femme doit être en sa (celle qu’elle a l’honneur d’habiter, celle donc de son Époux) Maison afin d’être là à la disposition de son Époux, qui lui demande, parmi d’autres services, de s’occuper de Ses (dans le sens propre du terme, soit les enfants à Lui4) enfants.

Comme sa variante hypocrite, la séparation de corps toute aussi interdite5, le divorce est ‘uniquement’ instigué par la femme. La déshérence et la mort des enfants n’est que leur fruit !

Ainsi donc que la séparation-divorce, le travail de la femme est la demande de la femme. Ce n’est pas l’Époux qui veut que Son épouse travaille, bien au contraire !, c’est l’épouse qui le veut, parce qu’elle veut regarder ailleurs que sur son Époux, Lui échapper ! Rappelons-nous ce que disait Saint Jean Chrysostome6 : Ce fut ainsi qu’il [Lucifer] attaqua Ève autrefois, lorsqu’il la vit seule et séparée d’Adam.

Elle, l’épouse, veut être l’égale de l’Homme, être libre, vivre sa vie, avoir son autonomie financière7, ne plus étouffer sous le carcan de l’Autorité, etc…

Alors, de volonté certaine elle veut errer, vagabonder, et pour cela il lui faut larguer le poids de l’enfant : contraception-avortement ; et, pour le ‛choisi’, crèches, garderie, etc.

Et donc, le ‛choisi’, le rescapé du massacre féministe, le rescapé de sa révolte luciférienne, son ventre lui ‛appartenant’, elle doit le trimbaler ou obliger, sous peine de dénonciation pour « non partage des tâches ménagères », l’Époux à trimbaler cette pauvre petite victime ‘immolée’ sur l’autel de la ‘libération’ de sa mère.

L’Homme est fait pour des vues plus hautes, plus étendues que Son épouse, et contrairement à elle Il est fait pour l’extérieur. Il est, d’Obligation divine, obligé, Lui, de ramener du pain à la Maison, et c’est pour cela que Dieu Lui donna cette aide, la femme, Sa femme, Son épouse, Sa servante, pour garder Sa Maison et Ses enfants…

Ce (l’un ou l’autre) Père a oublié l’enfant dans la voiture, parce que ce n’était pas Sa mission (absence de grâces d’État), d’où ces deux drames !

Ainsi, il est évident que la femme est la cause première et ‘exclusive’ de ces deux drames, qui sont arrivés uniquement à cause de son orgueil ! Elle a dit, devinez quoi ? Lucifer ayant dit : non serviam, mon Dieu ! ; cette(ces) épouse(s) a(ont) dit : non serviam, mon Époux !

6.D.3.b - La ‘faute’ du Père, quelle est-elle ?

La ‘faute’ du Père n’est point d’avoir, le pauvre, oublié Son enfant dans la voiture, et c’est pour cela que nous avons mis faute entre guillemets, en effet l’Époux a une femme pour le soin Ses enfants pour qui les meilleurs soins de personnes étrangères ne vaudront jamais les affectueuses sollicitudes de l’amour maternel.

Par contre, il existe bien un crime du Père, et c’est pas dans les ‘média’ que nous le verrons dénoncé, c’est de n’avoir pas appliqué ceci : Enfin il [l’Époux] doit régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous ceux [donc épouse comprise] qui la composent, et contenir chacun dans son devoir.8

Ainsi, comme la faute originelle ne fut point la faute d’Adam9, mais celle d’Ève ; la mort de cet(ces) enfant(s) n’est pas la faute du Père, mais celle de la mère.

Celle du père est que : S’il devait compatir à sa femme, il devait la discipliner, puisqu’elle était son inférieure, car l’homme est le chef de la femme. Or il devait à Dieu obéissance et soumission.10

Cessons une bonne fois pour toutes de pratiquer la langue de bois : oui répétons-le sans aucune hésitation, ces enfants ont été sacrifiés par la femme, à l’instigation de nos ‘Maîtres’, à l’autel de sa ‘libération’, à l’autel de sa révolte : Non serviam, mon Époux !

4(Re)Voyez ND : DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point DP-3.D, L’Homme, engendre Son enfant, Il est son Maître.

5(Re)Voyez ND : DP-10, Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (I) ; point DP-10.B, Non non, je ne divorce pas, je me sépare ! ; et DP-10.C, L’Église catholique et ladite séparation matrimoniale…

6(Re)Voyez ND : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point DP-7.B.1, Les démons n’attaquent que les femmes affranchies de l’Homme !

7Que l’on ne nous amène surtout pas le fait qu’il faudrait deux salaires pour s’en sortir financièrement, ce faux argument sera démonté plus en avant dans cette étude.

8« Concile de Trente - 1545 - Le Mariage », page 673.

9(Re)Voyez ND : DP-2.C.2.b, Les commandements de Dieu ont été donnés à qui ?, et autres.

10« Sermon Toussaint – 1153 – St Bernard », réf. page 673.