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jeudi 28 août 2008

DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)…

Table de ce chapitre…
Du : 28.08.2008, existe1 en PDF ici : ND. Actualisé : mar. 5 févr. 2013, 13.22.
6 -
Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)…
6.A - Rappel de la ‘Toute Puissance’ du Chef de Famille. 297
6.A.1 - Propos préliminaires. 297
6.A.2 - Le Chef se meut dans deux mondes, Il est soutenu et combattu. 298
6.A.3 - Le Chef peut nouer et annuler les vœux de toute sa Maison. 302
6.A.3.a - Ce passage vient d’un livre, plus que sujet à caution, de l’abbé Noël Barbara. 303
6.A.3.b - Profitons de ce passage pour tordre le cou à cette ‘référence’. 304
6.A.3.c - Relisons bien le texte de cet abbé Noël Barbara : 304
6.A.3.d - Aberration suivante de l’abbé Noël Barbara : 305
6.A.4 - Saint Jean Chrysostome : Il peut la priver des Sacrements. 306
6.A.4.a - Est-il bien, de critiquer voire même dénoncer les écrits d’un Saint ? 309
6.A.5 - Le Chef peut donner et retirer Sa bénédiction en Sa Maison. 310
6.A.5.a - Nous vous engageons à bien lire ce beau texte sur la bénédiction. 310
6.A.6 - Seul, l’Époux peut porter et délier la bourse. 312
6.B - Seul, et d’Obligation divine, Il a Pouvoir sur Son épouse. 314
6.B.1 - Qui es-tu, toi, pour t’ériger en juge de Ma servante ? 314
6.B.2 - L’Époux doit sanctifier son l’épouse. 314
6.B.2.a - Le législateur de la famille chrétienne : saint Paul ? 315
6.B.2.b - L’Époux doit à tout prix sanctifier son épouse ! 317
6.B.2.c - Où nous revenons à la fable tétanisante de ‘la femme battue’ ! 317
6.B.2.d - L’épouse doit à tout prix sanctifier son Époux ? 319
6.B.3 - L’Époux doit ensemencer son épouse. 320
6.B.4 - L’Époux doit nourrir son épouse. 320
6.C - Seul Il a Pouvoir de discipliner son épouse, seul Il le Peut. 321
6.C.1 - Propos préliminaires : cessons de pratiquer la langue de bois. 321
6.C.2 - À tout prix !, même dans le plus déraisonnable et impossible ! 324
6.C.2.a - Quelle différence y a-t-il entre l’Autorité du Supérieur et Celle de l’Époux ? 325
6.C.2.b - Nous devons considérer l’inférieur et l’inférieure : 326
6.C.2.c - Séparer les époux ?! 326
6.C.2.d - Qu’elle est donc l’ampleur du devoir d’obéissance pour l’épouse ? 327
6.C.2.e - Où nous voyons encore plus l’escroquerie et la perversion d’Hommes d’Église ! 328
6.C.3 - L’Apôtre St Thomas conseille à un Époux de fouetter son épouse. 329
6.C.4 - Pie XII : il vaut mieux perdre un de ses membres que son âme ! 330
6.C.4.a - Il vaut mieux donc qu’elle perde la vie plutôt que de perdre la Vie ! 331
6.C.5 - Saint Bernard : Adam n’a pas discipliné Ève, il ne l’aimait pas ! 331
6.C.5.a - S’il devait compatir à sa femme, il devait la discipliner ! 332
6.C.6 - Saint Bernard : Adam n’avait pas faim et soif de Justice… 332
6.C.6.a - Arrêtons de pratiquer la langue de bois ! 333
6.C.7 - Sainte Françoise Romaine : magistralement giflée par son Ange. 333
6.C.8 - Concile de Trente : Il doit contenir son épouse dans son devoir. 334
6.C.8.a - Arrêtons de pratiquer la langue de bois ! 334
6.C.9 - Saint Thomas d’Aquin, Docteur de l’Église : user aussi de coups ! 335
6.C.9.a - L’épouse coupable de fornication ou de fornication doit être réprimandée, recevoir des coups ! 335
6.C.10 - Saint Alphonse de Liguori : vous pouvez sans doute la châtier… 336
6.C.10.a - Arrêtons de pratiquer la langue de bois ! 336
6.C.11 - Un Seigneur justifie ses garçons qui ont mis leur mère au cachot. 337
6.C.12 - Église de Brou : correction maritale, ou la ‘femme battue’. 341
6.C.13 - L’Homme tranquille, bon… bat Sa femme s’il le faut ! 342
6.C.13.a - Scène 1 : voici mon Époux un bâton pour me corriger… 343
6.C.13.b - Scène II’1 : Une ‘violence conjugale’ hautement légitime ! 343
6.C.13.c - Scène II’2 : Monsieur, voilà un bâton pour battre votre jolie dame. 344
6.D - Évidemment !, l’Homme est violent et la femme innocente… 345
6.D.1 - Femme en islam, sujet développé par l’hebdomadaire Rivarol. 345
6.D.1.a - Pour commencer, voici un courriel que nous avons envoyé à Rivarol. 346
6.D.1.b - Voici maintenant une analyse complète de ce texte. 349
6.D.1.c - Pour conclure… 352
6.D.2 - Certes, elle doit plier, mais maintenant que faire ? 353
6.D.2.a - Un énième ‘fait divers’, un Époux tue son épouse, puis se suicide : 353
6.D.2.b - Le Mariage relève du Droit naturel ! 354
6.D.2.c - L’origine du drame, la trahison de l’épouse. 354
6.D.2.d - Où l’art de s’enferrer ! où le serpent se mord la queue… 356
6.D.2.e - Revenons maintenant à ce qu’a fait A. S. 357
6.D.2.f - Il est une chose dont A. S. est bien condamnable… 360
6.D.2.g - Revenons au cas d’A. S. 362
6.D.2.h - Reprenons l’origine de cette nouvelle : Certes, elle doit plier, mais maintenant où tout est renversé, que faire ? 364
6.D.3 - Deux pauvresses ont laissé mourir leur enfant dans la voiture. 365
6.D.3.a - Le crime de la mère : avoir trahi, par pur orgueil, sa mission ! 366
6.D.3.b - La ‘faute’ du Père, quelle est-elle ? 368
6.E - Seul le Père est responsable de Ses enfants. 370
6.E.1.a - Dieu le Père Est Source de Vie : 370
6.E.1.b - Adam, devient le seul Semeur, la seule Source de Vie : 371
6.E.1.c - Une ‘confirmation’ venant du sergent McDuff… 371
6.F - Les pièges pour l’Homme, venant de son épouse, de la femme. 373
6.F.1 - L’intuition féminine, son 6ème sens, une gigantesque escroquerie ! 373
6.F.1.a - L’intuition féminine, une bien triste plaisanterie… 373
6.F.2 - La nuit n’avance que parce que le jour recule ! 376
6.F.2.a - Notre ennemi ressemble à une femme. 376
6.F.2.b - La femme, vue par Georg Hoornaert. 377
6.F.2.c - L’honnêteté féminine, sa duplicité 377
6.F.2.d - Sainte Thérèse d’Avila : la malhonnêteté de ses larmes. 377
6.F.2.e - L’honnêteté féminine, sa lettre. 377
6.F.2.f - L’honnêteté féminine, ses sourires et ses larmes. 378
6.F.2.g - La femme, « Le combat de la pureté. - 1876 Georg Hoornaert ». 378
6.F.2.h - Savoir circonvenir l’ennemi, l’Homme. 379
6.F.2.i - L’honnêteté féminine…, comme dans un miroir. 379
6.F.2.j - L’honnêteté féminine, la femme perverse. 379
6.F.2.k - L’honnêteté féminine, lui dicte sa haine féminine. 380
6.F.2.l - L’honnêteté féminine, la danse et la vengeance. 380
6.F.2.m - L’honnêteté féminine, sa langue de vipère. 380
6.F.2.n - L’archétype de la garce, qu’on donne à lire à nos enfants ! 381
6.F.3 - La femme…, ce qu’elle est d’après la tradition ! 382
6.F.3.a - bons mots et facéties des pères du désert. 382
6.F.3.b - Le mensonge femelle : l’hypocrisie. 382
6.G - Les douceurs pour l’Homme, venant de son épouse, de la femme. 383
6.G.1 - Livre des proverbes, la bonne épouse. 383
6.H - Les dangers pour l’Homme, venant de l’extérieur. 384
6.H.1 - Je ne crains que les mauvais catholiques ! 384
6.H.2 - La haine de tout Roy, et principalement du Roy de la Famille. 385
6.A - Rappel de la ‘Toute Puissance’ du Chef de Famille.
1. Je t’adjure, devant Dieu et Jésus-Christ, qui doit juger les vivants et les morts, par Son avènement et par Son règne,
2. prêche la parole, insiste à temps et à contretemps, reprends, supplie, menace, en toute patience et toujours en instruisant.
3. Car il viendra un temps où les hommes ne supporteront plus la saine doctrine ; mais ils amasseront autour d’eux des docteurs selon leurs désirs ; et éprouvant aux oreilles une vive démangeaison,
4. ils détourneront l’ouïe de la vérité, et ils la tourneront vers des fables.2
6.A.1 - Propos préliminaires.
Nous avons écrit Toute Puissance entre guillemets, non pour limiter la Puissance du Chef en sa Maison, mais simplement pour dire que cette Toute Puissance se limitait à Sa Maison ! Et aussi pour dire que cette Toute Puissance ne lui permettait pas forcément de ressusciter son épouse ou de déplacer sa Maison sur un simple ordre. Cette Toute Puissance qui est réelle est largement définie par toute cette étude.
Aussi, notre étude pourrait s’arrêter là, mais les textes qui suivent vont confirmer cette Toute Puissance et non, la définir…
Nous ne devrions pas avoir besoin de ‘prouver’ cette Toute Puissance par d’autres textes ceux-ci :
Saint Paul a dit : Que les femmes soient soumises à leur mari comme au Seigneur, car le mari est le chef de la femme ; point final !
Citons tout de même le Concile de Trente : Enfin il doit régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous ceux qui la composent, et contenir chacun dans son devoir ; qu’y a-t-il à ajouter ?
6.A.2 - Le Chef se meut dans deux mondes, Il est soutenu et combattu.
Il existe bien deux mondes et tous deux divisés en deux :
→ Un monde invisible qui est maintenant encore plus intensément actif, et plus particulièrement au sein de la Famille. Ce monde invisible qui n’était qu’Un est depuis le Non serviam de Lucifer, deux :
1. Le premier est Dieu et toute sa création invisible : les Anges ayant suivi Saint Michel Archange, donc fidèles, et les humains défunts justifiés (ciel et purgatoire). Ce monde ne veut que ce que Dieu veut soit le Bien, l’Amour.
2. Le second est la négation de Dieu, et est composé de toute la cohorte des réprouvés que Lucifer a entraîné dans sa révolte et donc dans sa chute ainsi que le très grand nombre des réprouvés. Ce monde veut tout détruire, il ne veut que le mal, ne prône que la haine, le malheur.
→ Un monde visible sous la domination du monde invisible. Il est maintenant presque totalement sous la domination du monde invisible révolté, il est contre le Vrai, le Bien, et plus particulièrement contre la Famille, et donc encore plus particulièrement contre son centre, son pivot, sa raison d’être : son Chef, l’Époux-Père. Il est essentiellement féminisé !
Le Chef, pivot de Sa Famille, se meut dans ce monde visible, sous l’influence du monde invisible, qui est, et il n’y a que cette alternative, soit :
1. De Dieu le Père de Notre Seigneur Jésus-Christ de qui tire son nom toute paternité au cieux et sur la terre3, soit une société d’Hommes qui : donnent la vie et peuvent la reprendre, qui doivent d’Obligation divine soumettre les femmes et les discipliner, qui disent oui ou non selon la Vérité,
2. De Lucifer père de la révolte, du mensonge, soit une société féminisée, efféminée, insoumise, révoltée, tenant de ‘dame nature’, qui prétend que ‘les femmes donnent la vie’, ‘qu’elles sont victimes de la brutalité des Hommes’, qui a tout dit ‘oui, mais…’, et tout ceci selon la démangeaison du moment, etc.
Pour l’aider et le protéger, Dieu Lui a donné des secours venant tous du monde invisible, et donc venant de Dieu, les voici :
Les Anges gardiens.
Comme toute personne, le Chef reçoit au moment de sa conception, une Âme et pour La garder un Ange gardien.
Mais le Chef devant guider toute Sa Maison, nous pouvons dire que les Anges gardiens de chacun de Ses membres, épouse et enfants, sont là pour aider aussi le Chef dans Sa si lourde tâche de pasteur de Son troupeau4.
Nous pouvons même affirmer que Dieu donne, au moment où l’épouse valide par son Oui ! le Sacrement de Mariage proposé par son futur Époux5, comme ‘cadeau’ au Chef de Famille un Ange gardien pour Sa Famille6. Ange qui devra l’aider plus particulièrement dans son gouvernement, et l’assister dans ses luttes.
N’oublions pas, Chefs de Famille, d’invoquer et de faire invoquer ces Saints Anges de Nos Maisons ! Remercions-Les tous souvent !
Les Saint Patrons :
Chaque baptisé ‘reçoit’ au moment de son baptême un Saint Patron dont il porte le nom choisi par son Père, qui l’assiste de ses prières si puissantes.
De même qu’il existe un Ange gardien de la Famille, le Chef de Famille peut choisir un Saint Patron pour sa Famille.
Les Saints patrons des membres de la Famille prient évidemment pour obtenir des grâces pour le Chef de Famille qui est responsable de leurs protégés…
N’oublions pas, non plus, d’invoquer et de faire invoquer par nos sujets ces Saints Patrons de Nos Maisons ! Remercions-les tous aussi !
Les Grâces d’état :
Q. Pouvons-nous sans secours de Jésus-Christ vivre chrétiennement et parvenir au ciel ?
R. Non, nous ne pouvons pas sans le secours de Notre-Seigneur Jésus-Christ vivre chrétiennement et parvenir au ciel ; car Lui-même nous a dit : sans moi, vous ne pouvez rien faire.
Q. Comment Jésus-Christ nous donne-t-il son secours ?
R. Jésus-Christ nous donne son secours par la grâce.
Q. Qu’est-ce que la grâce ?
R. La grâce est un don surnaturel que Dieu nous accorde par pure bonté.7
<À développer, compléter, corriger>
Une aide est souhaitée.
Dans l’explication qui précède l’on parle de la grâce en général, et nous parlions des grâces d’état…
Les grâces ‘ordinaires’ sont des grâces que nous recevons ordinairement en tant qu’individu pour nous aider à aller au Ciel : les grâces d’état sont des grâces supplémentaires que nous recevons en plus des grâces ordinaires pour nous aider à réaliser notre état particulier, notre responsabilité.
Le maître d’école recevra les grâces nécessaires à son enseignement, le médecin pour bien soigner ses patients (bien faire son diagnostique, et résister aux tentations par ex.), etc.
L’on reçoit ces grâces que si l’on est dans son état ! Mais pire, si l’on fait quelque chose qui n’est pas de son état, Dieu s’étant ‘retiré’, l’on perd même ses grâces ordinaires, et la nature ayant horreur du vide, c’est l’autre monde qui vient avec ses inspirations démoniaques, sa méchanceté, ses maléfices.
Ainsi donc, dans la Maison d’un Chef, si une personne, même prêtre, vient donner des ‘conseilles’ à l’épouse, celle-ci n’a bien sûr pas de grâces d’état pour cela, elle est sans lumière, sans discernement, ‘aveuglée’, et ne peut donc que se tromper. Mais pire encore, en effet, il y a l’autre monde, et Dieu s’étant retiré, c’est carrément le démon qui persifle par sa bouche !
Ainsi aussi, une femme jouant médecin n’aura pas de grâces d’état ; mais pire, le démon ayant pris place, elle sera positivement dangereuse, même si apparemment cela ne se voit pas !, plus tard…
Par rapport à la Famille, les grâces d’état seraient pour :
→ l’enfant : bien faire ses devoirs d’écolier et remplir les petites missions qu’on lui donne.
→ la mère : bien servir docilement et amoureusement son Époux, Le révérer, et soigner les enfants de Celui-ci, elle a des grâces d’état inhérentes à sa mission d’épouse et de mère.
→ l’Époux, Lui : pour diriger et enseigner toute Sa Maison, connaître les dangers et y faire face, etc., ces grâces d’état sont proportionnées au nombre de personnes de sa Maison, ses charges.
6.A.3 - Le Chef peut nouer et annuler les vœux de toute sa Maison.
Une confirmation de la Toute Puissance du Chef en sa Maison !
L’auteur que nous allons lire passe dans un certain milieu (de la Trahition) pour la référence en affaire de Mariage. À nos contempteurs qui vont fatalement sortir du bois, nous désirons avancer ce que dit un de leur gourou préféré quant au Mariage, et ainsi faire d’une pierre deux coups :
1. donner le texte de ce gourou confirmant nos dires,
2. démonter8 correctement ce gourou.
Lisons :
89 Qu’est-ce que l’empêchement de vœu simple ?
[…] Double façon d’annuler un vœu.
1. Annulation directe. C’est l’annulation à proprement parler, c’est-à-dire la suppression de l’obligation du voeu par un supérieur dont dépend la volonté même de celui qui l’a émis. « Quiconque a le pouvoir légitime sur la volonté de celui qui a fait le vœu, peut validement et même, pour une juste cause, licitement annuler ce vœu de manière à faire cesser pour toujours son obligation 6 ».
Possèdent ce pouvoir : le père de famille, les supérieurs religieux et le mari.
Le père de famille (quand il n’est plus là pour exercer son pouvoir, la mère ou le tuteur) jouit d’un pouvoir dominatif sur la volonté de ses enfants ; il peut, de ce fait, annuler leurs voeux émis sans son consentement et même, semble-t-il, avec son consentement.
Le mari peut, au moins probablement, annuler tous les vœux que son épouse aurait émis depuis leur mariage.9
6.A.3.a - Ce passage vient d’un livre, plus que sujet à caution, de l’abbé Noël Barbara.
Ne sont envisagés dans ce qui suit que les sujets du Chef.
L’abbé Noël Barbara10 (ANB), sachant qu’Il a bien cité précédemment Saint Paul et le Concile de Trente qui disent la ‘Toute Puissance’ du Chef, dit ensuite semble-t-il et au moins probablement ! Disons nettement, ANB votre esprit est confus !, à moins que par votre bouche parlait le Malin !
Pour l’épouse, tous les vœux antérieurs à son Mariage, mais non invalidant pour Celui-ci, peuvent être retirés, annulés, interdits par l’Époux. L’on peut même dire que le Mariage est une remise ‘à zéro’ automatique de toutes ses obligations et contraintes antérieures, parce que changeant d’Autorité !
Tout ce qui va suivre sera reporté à l’épouse, pour les enfants, il est bien facile de transposer, étant tous de la même façon sous l’Autorité du Chef.
Après le Mariage, les vœux, obligations ou engagements quelconques, pour faire court disons toutes les promesses ne peuvent être faites qu’entre les mains du Chef !
Toute promesse faite en d’autres mains que celles du Chef est une violation de Son Autorité, et est donc par là-même invalide. De plus, cette promesse génère une faute très grave, un adultère ou viol, de même pour celui qui l’a fait faire (prêtre dans la majeure partie des cas). Un prêtre qui aurait abusé d’une ‘position dominante’, sachant la particulière ‘faiblesse’ psychologique de la femme, pour l’engager, pourrait bien être le seul à porter tout le poids du crime de l’épouse en plus que ses propres crimes.
Pour les enfants, tout ceci reste vrai, valable, tant qu’ils sont sous l’Autorité du Père.
6.A.3.b - Profitons de ce passage pour tordre le cou à cette ‘référence’.
C’est un cri d’alarme, il s’agit de la sauvegarde de Mariages, l’ANB, ‘docteur sexe’ comme on le nommait en l’accueillant à l’aéroport aux USA, est ‘la’ référence dans le milieu catholique ‘traditionaliste’ pour la question du Mariage. On devrait lui dire ‘Docteur, soigne-toi toi-même’. Son livre est bourré d’erreurs par imprécisions, il oblitère même des points très importants qui ouvrent des brèches béantes, dont l’auteur de ces lignes est personnellement témoin, etc. Il commence son livre en citant, à la page précédent la préface, ledit pape nommé Jean XXIII.
6.A.3.c - Relisons bien le texte de cet abbé Noël Barbara :
Il dit : Possèdent ce pouvoir : le père de famille, […] et le mari.
Puis, sans rougir il poursuit : Le père de famille […] peut […] annuler leurs voeux émis sans son consentement et même, semble-t-il, avec son consentement.
L’auteur dit : Il peut annuler les vœux faits sans son consentement, mais pour ceux fait avec Son consentement de Chef, donc forcément entre Ses mains, c’est semble-t-il, enfin…, peut-être !
→ Si ces vœux sont faits en d’autres mains sans Son consentement, ce qui est donc un adultère ou viol, un commerce illicite, une dépravation, une fornication…, là le Chef peut annuler leurs vœux !
→ Si ces vœux sont faits en d’autres mains avec Son consentement, ce qui revient à dire que l’Époux prostituerait son épouse à un prêtre ou autre ! Là, et toute honte bue, ANB dit c’est semble-t-il ?!
Pauvre ANB, voici ce que disait Notre Seigneur Jésus-Christ : Je suis venu en ce monde pour rendre témoignage de la Vérité11. - Celui qui agit selon la vérité vient à la lumière12. - Que votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce qu’on y ajoute vient du mal13.
Pauvre ANB :… les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes. (ND de La Salette)
Car nous pouvons dire, nous ici pour le moins, que l’ANB a fait des ravages dans certains milieux, et continu à en faire depuis sa mort par livre interposé, il porte la responsabilité au moins partielle de la destruction de nombreux Mariages. Certaines de ces destructions se sont mêmes appuyées ‘exclusivement’ sur certains passages de son livre précité.
6.A.3.d - Aberration suivante de l’abbé Noël Barbara :
Il dit, ce pervers : Le mari peut, au moins probablement, annuler tous les vœux que son épouse aurait émis depuis leur mariage.
Au moins probablement, toujours la même confusion, la même loufoquerie, c’est pas au moins, c’est Oui, oui ou Non, non, tout ou rien, vrai ou faux ! Tout le reste vient du mauvais, tout le reste est Paroles de serpent14 !
Si c’est des vœux émis depuis son Mariage, c’est forcément entre les mains de son Époux !, et là, selon ANB, le mari peut, au moins probablement, [les] annuler ! Mais enfin, ANB, qui peut dissoudre des vœux, si ce n’est celui dans les mains duquel on les a fait ? L’Église dissout bien des vœux même perpétuels faits entre ses mains ! Et l’Époux, Roy et Prêtre, parce que revêtu de la double autorité du sacerdoce et de l’empire15, ne pourrait dissoudre des vœux faits entre Ses mains !!! Cocasse !
6.A.4 - Saint Jean Chrysostome : Il peut la priver des Sacrements.
Encore une confirmation de la Toute Puissance du Chef en sa Maison !
« Mais, disent les maris, ma femme veut se confesser et communier tous les jours. » Je leur répondrai : Si vous avez un juste motif pour l’en empêcher, comme, par exemple, si en fréquentant les sacrements elle doit négliger la direction de son ménage, vous le pouvez ; mais vous ne le pouvez pas sans ce motif ou quelque autre motif valable.16
Cette citation s’adresse aux Époux, les Hommes évidemment, comme du reste toute cette étude, aussi lorsque Saint Jean Chrysostome (SJC) dit ‘vous le pouvez’, ceci n’est pas mis comme repère pour l’épouse afin de savoir si elle doit obéir ou pas à cette interdiction.
Ce ‘vous le pouvez’, est simplement là pour l’Époux, afin de le rassurer ou plutôt de l’encourager à faire mieux, sachant que s’Il devait donner un tel interdit de façon ‘exagérée’, ceci n’est point dirimant quant à l’obligation de l’épouse d’obéir en toutes choses à son Époux.
En effet, qui va trancher pour savoir si cela est ‘exagéré’ ou pas ?
→ Quelqu’un de l’extérieur ?, non, car alors il y aurait adultère ou viol ! Et à ce compte là le Chef ne saurait pas la Chef, ayant des comptes à rendre à ce violeur d’Autorité, et il y a pour le moins ménage à trois.
→ L’épouse ?, non, car elle n’a pas la capacité de juger et n’est pas informée17 par Dieu de Sa Volonté en ce Foyer, comme :
1. Adam recevant l’ordre de ne pas toucher au fruit défendu,
2. Abraham devant sacrifier son fils Isaac,
3. Saint Joseph devant prendre la femme et l’Enfant pour fuir en Égypte, etc.
→ L’Époux ?, oui, car c’est en sa conscience qu’Il devra répondre à la question de savoir si cela est bien ou mal ! Et à personne, Il doit donner son raisonnement afin de le faire ‘valider’, sinon donc l’on revient à la case départ, au premier point !
Continuons : toujours avec la même imprécision, ou ‘aberration’, en effet, SJC dit vous le pouvez ; mais vous ne le pouvez pas sans ce motif ou quelque autre motif valable :
→ Le ‘Vous le pouvez’, dont nous prenons bien acte, est une reconnaissance et non une permission ! En effet ce n’est pas à un Homme d’Église, comme à quiconque du reste, de dire ce qu’un Chef doit Légiférer ou pas en Son Foyer ; en effet SJC ne peut que confirmer Son Droit de Législateur !
→ Le ‘mais vous ne le pouvez pas sans ce motif’, est vraiment le type d’argument ‘creux’ ! Qu’un Époux interdise à son épouse quelque chose sans raison ! Sa raison peut-être extrêmement ‘légère’, mais forcément il existe une raison, si ce n’est une raison de convenance !
→ Avec ‘ou quelque autre motif valable’, nous touchons au summum, exactement la même bombe à retardement, de fait très très peu à retardement, comme nous l’avions vu précédemment18 ! Si c’est l’Époux qui lit ce texte, pas de soucis, Il évitera le piège dialectique ; mais si c’est l’épouse qui le lit, alors là : catastrophe !
→ C’est déjà un viol de l’Autorité, et c’est ce que Saint Paul confirme en disant que Si elles veulent s’instruire sur quelque point, qu’elles interrogent leurs maris à la maison. C’est bien évident qu’il ne peut y avoir deux Chefs qui dirigent un même corps, deux Chefs qui ensemencent, et ce, dans toute l’étendue du terme du reste, la même femme !
→ C’est toujours la même imprécision !, en effet quelles sont les quelques autres motifs valables ? SJC parle de motifs valables sans les énoncer !, pourquoi ? S’ils sont trop nombreux, alors que les motifs non valables soient énoncés ! ; ou alors qu’une règle infaillible soit énoncée pour appuyer son jugement ; ou alors que l’on se taise !
Faisons une parenthèse, et voyons la définition de (quelques autres motifs valables) valable :
-Valable : Qui remplit les conditions requises pour être accepté par une autorité.
-Requérir : (de requises, définition précédente) : Demander solennellement quelque chose à quelqu’un ; prier fermement quelqu’un de (faire) quelque chose en vertu d’un droit.
→ Qui est l’Autorité de la femme, le Chef de l’épouse ? : l’Époux et personne et quiconque d’autre ! Ni un juge, ni prêtre ou pape, et ni même Dieu ! Ainsi donc une promesse (vœu engagement, etc., cf ANB) ou une interdiction (d’approcher les sacrements, cf SJC) pour être valable, doit être acceptée (pour la promesse) ou émise (pour l’interdiction ou l’ordre) par l’Autorité. Et comme le Chef de l’épouse est son Époux, donc : ce qui est un motif valable c’est ce que le Chef accepte (veut) ! Ainsi donc ce que veut le Chef est forcément valable !
Reprenons : Saint Jean Chrysostome (SJC) dit que pour pouvoir empêcher votre épouse de fréquenter les sacrements il faut un motif valable, et le dictionnaire dit que ce qui est valable est ce qui remplit les conditions requises pour être accepté par une autorité !, donc Le Chef étant l’Autorité, c’est ce que le Chef requière qui est valable !
En sa Maison,
ce que dit le Chef est juste !
Au fait, ce que voulait dire SJC aux Maris, c’est qu’évidemment vous pouvez empêcher votre épouse de fréquenter les sacrements et ce selon votre conscience !, point à la ligne. Et comme nous l’avons vu plus haut, ce discours de SJC n’est pas une autorisation à interdire d’approcher les sacrements, mais une reconnaissance du Pouvoir du Chef de l’interdire.
Il suffisait donc à SJC de rappeler à l’Époux, et qu’à Lui seul, et donc certainement pas devant Son épouse afin de ne pas lui donner des idées de révolte, qu’Il devra rendre un compte rigoureux devant Son Dieu de la gestion de Sa Maison pour l’exhorter à être tempéré, prudent, et c’est tout ! Et aussi d’exhorter, d’encourager le Chef à dire à Son épouse qu’elle doit obéir encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables19 !
6.A.4.a - Est-il bien, de critiquer voire même dénoncer les écrits d’un Saint ?
Un Saint est Saint, c’est entendu, mais de son vivant tout ce qu’Il a fait et dit était-il , sain ?, Saint ? Non pas forcément, c’était un pécheur, Il était imparfait, c’est ce que dit cette expression : un Saint est admirable mais pas forcément imitable.
Certains ont dû se convertir avant d’être Saints : Saint Augustin, Saint Paul, Saint François d’Assise, Sainte Marie-Madeleine, etc.
Certains de leurs écrits ou opinions pouvaient être inexactes, ‘discutés’, certains se sont même ‘disputés’ entre eux sur des point précis :
→ Durant le Grand Schisme, divers Saints soutirent un ‘Pape’ différent : Saint Vincent Ferrier, Sainte Catherine de Sienne
→ Ils eurent des opinions divergentes sur l’Immaculée conception de la Très-Sainte Vierge Marie : Saints Bernard de Clairvaux, Saint Bonaventure et Saint Thomas d’Aquin…
Le Sacrement de Mariage fut institué par Dieu le Père dans le Paradis terrestre pour l’union de la femme à Adam (et non d’Adam à la femme20 !), Il fut incorporé par l’Église à Ses Sacrements. Aussi, ne pouvant toucher au Mariage, l’Église ne peut que confirmer la Loi naturelle. À nous de ‘corriger’ les imprécisions ou erreurs qu’Ils auraient pu commettre.
6.A.5 - Le Chef peut donner et retirer Sa bénédiction en Sa Maison.
Il existe deux types de bénédictions, celle d’ :
→ Un supérieur qui bénit un inférieur : Dieu bénit un Homme, Il lui donne des grâces.
→ Un inférieur qui bénit Dieu pour une grâce reçue : il rend grâce, ou action de grâce.
6.A.5.a - Nous vous engageons à bien lire ce beau texte sur la bénédiction.
La bénédiction des enfants.
Et aujourd’hui encore, quoique le sentiment de la dignité paternelle soit tristement affaibli dans les âmes, on demande, on reçoit encore, avec respect, la bénédiction d’un père. Il y a encore des pères qui bénissent avec religion leurs fils et leurs filles.
Combien de fois n’ai-je pas vu, à la veille d’une première communion, une mère pieuse amener son fils, sa fille, aux pieds de leur père, et lui demander de les bénir ! Et souvent aussi j’ai vu, avec attendrissement, cette bénédiction découlant du cœur et des lèvres d’un père sur ses enfants, remonter au cœur paternel, et devenir pour lui-même la bénédiction de Dieu.
Non : Dieu ne passe pas vainement entre un père, et une mère, et leurs enfants ; et la bénédiction, c’est Dieu qui passe.
Un père d’ailleurs ne bénit jamais ses enfants, sans éprouver une de ces vives émotions qui saisissent et remuent le cœur jusqu’en ses profondeurs par tous les plus puissants sentiments. L’émotion est plus vive encore chez ceux qui se sentent moins dignes d’une fonction si pure : la chose divine qu’ils font les émeut jusque dans ces dernières retraites de l’âme où se fait le contact du cœur avec Dieu. J’en ai vu me refuser obstinément de bénir leur fils, s’écriant : Je ne puis pas ! je ne puis pas ! - Puis, cédant enfin à ma voix, après cette bénédiction donnée, j’ai vu couler de leur yeux des larmes qui ne pouvaient plus tarir.
Oh ! oui : Dieu est admirable dans ses voies, et il a préparé à ses créatures, pour revenir à lui, les invitations les plus inattendues, et les retours les plus doux !
Cette religion de la bénédiction paternelle est encore si avant dans les âmes, que si un père, à sa dernière heure, l’a refusée a un fils coupable, l’épouvante se répand aussitôt dans toute la famille consternée ; le désespoir brise le cœur du malheureux enfant, et jusqu’à son dernier soupir sa vie lui semblera maudite, et il craindra que ses enfants ne soient maudits à cause de lui.
De là vient aussi que, pour un bon fils la douleur de n’être pas au lit de mort de son père, et de ne pas recevoir de sa main défaillante la bénédiction suprême, est inconsolable.
Aussi en a-t-on vu, et en voit-on encore, qui traversent les mers pour revoir une dernière fois celui de qui ils ont reçu la vie, et pour lui demander une dernière bénédiction sur eux et leurs jeunes fils.
Et quand des enfants ont eu le malheur de perdre leur père dès le premier âge, et avant même d’avoir pu le connaître, s’ils furent assez heureux pour recevoir du moins la bénédiction paternelle, à cette heure suprême, il n’y a dans la famille qu’une voix pour dire avec consolation et espérance sur l’orphelin : Son père l’a béni avant de mourir !
Et surtout si ce père était un homme de grande vertu ; si ses dernières heures ont été remplies pour lui-même des bénédictions de Dieu ; oh ! alors, la confiance est grande, on croit à la puissance de cette dernière bénédiction, comme à la bénédiction de Dieu même.
Et ce n’est pas ici une opinion vaine : c’est l’expression d’un sentiment profond, impérissable dans le cœur des hommes c’est le témoignage de la haute vérité que nous venons d’établir, à savoir : que le père est, dans sa famille, le représentant même de Dieu et le premier ministre de sa puissante et bienfaisante autorité.21
Est-il bien nécessaire de développer ce texte de cet Évêque qui a si bien parlé sur le Mariage22 !!! ?!
6.A.6 - Seul, l’Époux peut porter et délier la bourse.
Ceci a bien été développé au point DP-05, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I) ; point DP-5.B.5.c, L’Homme gère…
6.B - Seul, et d’Obligation divine, Il a Pouvoir sur Son épouse.
6.B.1 - Qui es-tu, toi, pour t’ériger en juge de Ma servante ?
Qui es-tu, toi, pour t’ériger en juge du serviteur d’autrui ? qu’il reste ferme ou qu’il tombe, cela regarde son maître. Mais il restera ferme, car le Seigneur a le pouvoir de le soutenir.23
En effet, que sont-ils ‘eux’, État illégitime et Hommes d’Église corrompus, pervers, pour s’ériger en juge de Nos épouses ? Que l’épouse reste ferme ou qu’elle tombe, cela ne regarde que son Maître, son Époux.
6.B.2 - L’Époux doit sanctifier son l’épouse.
Le législateur de la famille chrétienne, saint Paul, a dit : L’homme est le chef de la femme ; comme Jésus-Christ lui-même est le chef de l’Église. De même que le Verbe incarné à donné son sang pour sanctifier l’Église à laquelle il s’est uni par des noces mystérieuses : de même l’homme doit, à tout prix, être le sanctificateur de celle que le mariage lui a donnée pour épouse et pour sœur. De son côté, la femme fidèle, ajoute saint Pierre, doit sanctifier l’époux infidèle. La perfection, c’est-à-dire, le bonheur à son degré le plus élevé, le bonheur commun, en deçà et au delà du tombeau, tel est donc le noble but des alliances chrétiennes.24
6.B.2.a - Le législateur de la famille chrétienne : saint Paul ?
-Législateur : Celui qui donne (ou a donné) une législation à tout un peuple, toute une civilisation.
Mais non ! Mgr Jean-Joseph Gaume vous vous trompez, saint Paul n’est pas le législateur de la famille chrétienne, et de plus, vous même avez dit ailleurs que le Législateur de la Famille était le Chef de Famille : La place du père est toujours beaucoup plus large que celle du législateur : on dirait que Dieu n’est législateur que parce qu’il est père25
Mgr Gaume, de grâce !, accordez votre propre violon avant de prétende pouvoir nous jouer, sauf que vous n’en avez pas le Droit vue que ce sacrement n’appartient nullement à l’Église catholique comme suffisamment démontré26, la partition : Famille, Sacrement de Mariage !
Vous dites vous-même, ici, Mgr Jean-Joseph Gaume :
→ que la place du Père est toujours beaucoup plus large que celle du législateur !
→ donc le Père (Chef de Famille) prime sur le(s) législateur(s) (autre(s) que Celui de la Famille !
→ donc le Père est le Législateur de sa Famille !
→ donc, ne pouvant avoir deux législateurs pour une même promulgation de Lois, le Père de Famille est le seul et unique Législateur en Sa Famille !
→ donc, pourquoi avoir dit que Saint Paul était le législateur de la Famille, alors qu’Il ne l’est pas ?
Toujours la même confusion !, il vous faut choisir Mgr Gaume, en effet vous venez de dire la chose et son contraire !, vous dites que c’est Saint Paul que est le législateur de la famille chrétienne, et une autre fois vous dites que c’est le Père !
De plus, vous deviez savoir, Mgr Gaume, que Le Législateur pourrait peut-être être Celui qui a institué le Sacrement de Mariage, à savoir, non point Notre-Seigneur Jésus-Christ27, mais Son Père lorsqu’Il assista aux épousailles de la femme, lorsqu’Adam prit la femme, Ève, pour épouse…
De fait nous pourrions dire qu’il y a ‘deux’ Législateurs de la Famille ; ou plutôt un Législateur Père du Ciel qui passa la main au Législateur Père28 de la terre ; un Père du Ciel qui céda irrévocablement son Pouvoir au Père de la terre ; un Législateur du Ciel qui céda irrévocablement son Pouvoir au Législateur de la terre :
→ Le Père du Ciel, Législateur qui en instituant le Sacrement de Mariage, format la Loi cadre : un Homme Chef absolu d’une femme, son aide, sa servante, sa satisfaction ; et indissolubilité de cette union, et génération.
→ Le Père sur terre, qui reçoit Son Pouvoir des Mains de Son Père du Ciel au moment où Il prend femme, devient le Législateur en sa Famille ; c’est Lui qui forme les Lois de la Famille pour Son gouvernement et Sa mission ; et ce, à l’intérieur de la ‘Loi cadre’.
Saint Paul n’est donc nullement le législateur de la Famille, ni l’Église non plus, qui Elle, ne fit qu’incorporer ce Sacrement aux siens, et encore cela bien tardivement.
Saint Paul fut, par contre, incontestablement, et nous l’aimons beaucoup ici, un défenseur du Mariage, il défendit sans peur le Droit du Chef de Famille.
Mgr Gaume !, ne faites pas endosser à Saint Paul, une erreur (et non une intention maligne, nous l’espérons) due à votre enthousiasme intempestif !
6.B.2.b - L’Époux doit à tout prix sanctifier son épouse !
L’Époux est bel et bien le directeur spirituel de Son épouse :
L’homme doit, à tout prix, être le sanctificateur de celle que le mariage lui a donnée pour épouse et pour sœur.
Ou, comme le Concile de Trente le disait : Enfin il [le Mari] doit régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous ceux qui la composent, et contenir chacun dans son devoir.
En effet, il y va de son Salut éternel, Le Chef de Famille doit à tout prix sanctifier Son épouse, corriger et former ses mœurs, la contenir dans son devoir !
Pas de la langue de bois : et tout ceci à tout prix !
6.B.2.c - Où nous revenons à la fable tétanisante de ‘la femme battue’ !
Vaut mieux la battre ,
que de devoir l’abattre !
Nous notons bien que l’Époux le doit à tout prix, Lui et personne d’autre !
Relisons ce que Notre-Seigneur Jésus-Christ disait : Si ton œil droit te scandalise, arrache-le, et jette-le loin de toi ; car il vaut mieux pour toi qu’un de tes membres périsse, que si tout ton corps était jeté dans la géhenne. Et si ta main droite te scandalise, coupe-la, et jette-la loin de toi ; car il vaut mieux pour toi qu’un de tes membres périsse, que si tout ton corps allait dans la géhenne.29
Ainsi donc, si par exemple :
→ Votre épouse devait dans un de ses moments d’hystérie vouloir poignarder Votre enfant qui est dans le berceau et qu’avec un direct Vous l’envoyez au tapi pour dévier son geste, l’État vous traînera-t-Il devant ses tribunaux ? Ou, n’est-ce pas plutôt si Vous ne deviez rien faire, pour non assistance à personne en danger ?
→ Votre épouse devait se précipiter dans le vide depuis la corniche qu’elle pratique, et qu’usant de Votre force vous la mettiez au sol et l’y mainteniez avec quelques bonnes claques pour lui faire reprendre ses esprits, l’État vous traînera-t-Il devant ses tribunaux ? Ou, n’est-ce pas plutôt si Vous ne deviez rien faire, pour non assistance à personne en danger ?
→ Votre épouse devait mettre son Âme, dont Vous, Époux, êtes hautement responsable devant Dieu comme toute notre étude le prouve, en danger en Vous résistant30, et que de Votre main de Maître31 Vous la battiez32 pour la corriger, l’État illégal vous mettrait en prison pour assistance à personne en danger de mort éternelle !
→ Votre épouse devait être pécheresse publique, la vraie Église l’excommuniait pour la corriger ; et à Vous qui en êtes Le premier et seul responsable, l’Église vous dénierait ce Devoir et donc ce Pouvoir de la corriger ?
Ne dit-on pas :
qui aime bien châtie bien ?
Notre-Seigneur Jésus-Christ n’a-t-il pas dit, comme vu précédemment, qu’il vaut mieux perdre son œil, sa main, sa jambe, etc. plutôt que de perdre son Âme ? Or, de l’Âme de Son épouse, comme de Son Âme propre et de Celles de Ses enfants, l’Époux en est le seul responsable !
6.B.2.d - L’épouse doit à tout prix sanctifier son Époux ?
Non, nous notons bien que Mgr Gaume dit : la femme fidèle, ajoute saint Pierre, doit sanctifier l’époux infidèle, et non : la femme fidèle, ajoute saint Pierre, doit sanctifier à tout prix l’époux infidèle.
Cette présence du à tout prix pour l’Époux veut simplement dire ceci, c’est que l’Époux doit user de son Bras si nécessaire pour atteindre cette sanctification de Son épouse, car à Lui appartiennent l’Autorité et la Puissance.
Cette absence du à tout prix pour l’épouse veut dire que n’ayant pas d’Autorité et donc pas de Puissance (ou vice-versa), elle doit tout mettre en œuvre dans une totale docilité et dans une soumission déférente et amoureuse pour atteindre ce but ; soit comme dit Saint Pierre : Femmes, soyez de mêmes soumises à vos maris, afin que, si quelques-uns n’obéissent point à la parole, ils soient gagnés sans parole par la conduite de leurs femmes, en voyant votre manière de vivre chaste et réservée.
Ceci sera bien développé plus loin33.
6.B.3 - L’Époux doit ensemencer son épouse.
Voici donc ce que signifie la parabole : La semence, c’est la parole de Dieu.34
Nous pensons que ce point a largement été développé précédemment…
6.B.4 - L’Époux doit nourrir son épouse.
Car la parole de Dieu est la nourriture de l’âme.35
Seul le Chef peut et doit nourrir l’épouse : son Âme, son intelligence et son corps ! Nous pensons que tout ceci a été largement développé.
6.C - Seul Il a Pouvoir de discipliner son épouse, seul Il le Peut.
Oui, seul l’Époux a Pouvoir d’enseigner, de discipliner Son épouse pour la contenir dans son devoir, et donc seul Il Peut (devoir) la discipliner36, la châtier si elle est revêche !
Bien que déjà largement abordé, ce point va être re-développé, il est crucial, et est la charnière de tous les ‘drames conjugaux’ !
6.C.1 - Propos préliminaires : cessons de pratiquer la langue de bois.
Reconquête !,
vaut mieux la battre…37
Arrêtons d’utiliser la langue de bois !, point de tartuferie, cessons d’être terrorisés par le monde qui nous dit : qu’il faut ‘être tolérant’ ; que les époux sont égaux en droits et devoirs ; que l’un ne peut dominer l’autre ; que dans la Famille c’est le partage de l’autorité ; que c’est le consensus mou ; qu’il faut échanger, parler ; etc…
Encore un tout petit peu de temps, et il va être obligatoire d’aimanter sur la porte du réfrigérateur un papillon fait tout exprès portant un ‘n° vert’ pour les enfants voulant se plaindre d’avoir reçu une punition corporelle ou autre ! Il y a déjà eu des plaintes en Gendarmerie pour ceci !
Vous trouvez cela monstrueux, attendez encore un peu et vous trouverez cela normal, et encore un peu et vous trouverez le contraire monstrueux ; et vous réclamerez une dureté sans pareille pour le ‘déviant’ que vous auriez surpris en train de faire ne serait-ce que des gros yeux à Son épouse !
Rappelez-vous le mot de Saint Augustin : À force de tout voir on finit par tout accepter, à force de tout accepter on finit par tout approuver.
Eh bien, devant la contrainte verbale ou physique de L’Époux envers l’épouse ce même phénomène s’est passé, se passe… Sur même pas 100 ans en arrière, vous seriez stupéfié de voir la régression du statut de la femme ! Oui, cette ‘évolution du statut de la femme’, cette marchandise frelatée que les médias nous vendent pour le compte de nos Maîtres, est de fait une gigantesque régression de son ‘statut’ ; et dans cette chute vertigineuse et suicidaire l’épouse a entraîné toute la Famille : une femme insensée la [sa Maison] renverse de ses propres mains38.
Pour réparer cela, des textes vont être cités, avec leur référence à l’appui, et qui disent tous La Loi naturelle.
Ils diront entre autres :
→ L’homme est l’image et la gloire de Dieu, tandis que la femme est la gloire de l’homme. (Saint Paul)
→ L’Homme est fait pour honorer, aimer et servir Dieu, tandis que, La femme est faite pour honorer, aimer et servir l’Homme. (source absente)
→ La femme doit être soumise à l’homme. (Genèse)
→ Femmes, soyez de mêmes soumises à vos maris. (Saint Pierre)
→ Vous femmes, soyez soumises à vos maris, comme il convient dans le Seigneur. (Saint Paul)
→ Elles aimeront aussi à rester chez elles, à moins que la nécessité ne les oblige à sortir, et même alors elles devront avoir l’autorisation de leurs maris. (Concile de Trente)
→ Ceci est le point capital dans le mariage elles se souviendront qu’elles sont obligées […] de leur être soumises et de leur obéir avec joie et empressement. (Concile de Trente)
→ Enfin il doit régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous ceux qui la composent, et contenir chacun dans son devoir. (Concile de Trente)
→ De même l’homme doit, à tout prix, être le sanctificateur de celle que le mariage lui a donnée pour épouse et pour sœur. (Mgr Jean-Joseph Gaume)
→ Vous le pouvez sans doute, mais seulement lorsqu’il y a un motif grave ; et particulièrement lorsque c’est un motif qui tient à la décence, et lorsque, après avoir été plusieurs fois avertie, votre femme ne s’est pas corrigée ; seulement alors vous pouvez la châtier (Saint Alphonse de Liguori).
→ Elle [Votre épouse] se montre sa servante assidue et dévouée. (Saint Astère)
→ Obéir encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables. (Dom Jean de Mauléon)
→ Les femmes doivent être soumises à leur mari en toutes choses. (Pie XII)
→ Etc., etc., etc…
L’Époux doit mener sa Maison, et donc ce, en se faisant obéir de Ses sujets ; bien que la Justice de Dieu ne Lui demande pas de réussir (obligation de résultat), Elle Lui demande de tout mettre en œuvre, soit à tout prix, comme nous l’avons vu plus haut (6.B.2.b), pour atteindre ce but !
Pour les enfants, il existe la punition morale ou physique ; et pour l’épouse, que fait-on en cas de résistance, de désobéissance ?
C’est ce que nous allons voir maintenant, sans langue de bois !
6.C.2 - À tout prix !, même dans le plus déraisonnable et impossible !
Nous devons lire très attentivement ce texte un peu long mais vraiment crucial :
Le religieux doit obéir encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables. On sait combien les anciens Pères s’appliquaient à mortifier leurs disciples en ce sens. Le maître de l’Abbé Jean fit arroser à ce dernier pendant deux ans, quelque temps qu’il fît, un petit morceau de bois sec qu’il avait planté en terre. Saint Antoine ordonna une fois à saint Paul le Simple de tirer de l’eau d’un puits toute la journée, et de la répandre à terre ; il lui prescrivait de défaire les paniers d’osier et puis de les refaire ; de découdre son habit, et puis de le recoudre, et de le découdre ensuite, etc. Par là, ces vrais maîtres de « l’art spirituel » réussissaient à détruire jusque dans sa racine la volonté propre. En même temps, ils donnaient à entendre que le mérite réel, devant Dieu, ne s’obtient pas par l’accomplissement de tel ou tel acte pris en lui-même, mais par les dispositions que l’on apporte à l’exécuter.
Enfin, le religieux doit s’efforcer d’obéir même dans les choses qui lui paraissent impossibles :
S’il arrive, dit saint Benoît, que l’on enjoigne à un frère des choses difficiles ou même impossibles, il doit recevoir en toute mansuétude et obéissance le commandement qui lui est fait. Cependant, s’il voit que le poids du fardeau excède totalement la mesure de ses forces, il devra faire connaître avec patience et au moment opportun, à celui qui lui commande, les raisons de son impuissance, ne témoignant ni orgueil, ni résistance, ni contradiction. Que si, après avoir entendu ses représentations, le supérieur persiste dans sa pensée et maintient le commandement, l’inférieur saura que la chose lui est avantageuse, et il obéira par amour, se confiant dans le secours de Dieu.
Durant le temps de la vie présente, celui qui embrasse courageusement la voie de l’obéissance est assuré de trouver la paix car, ce faisant, il se débarrasse de son plus cruel ennemi, de cette volonté propre qui est le tourment de l’homme et la source de tous ses maux. Mais c’est au moment de la mort surtout qu’il comprendra le prix de cette vertu : quand l’âme, sur le point de paraître devant le Juge suprême, verra se dévoiler tout le mal qu’elle a commis et que son amour-propre l’empêchait de discerner, quand elle sentira le désespoir l’envahir devant tant de pensées, tant de paroles, tant d’actions, qui furent siennes et qui se lèveront pour la condamner au tribunal de Dieu, elle éprouvera un soulagement que rien ne peut exprimer à voir soudain accourir, pour la défendre comme une armée rangée en bataille, tous ses actes d’obéissance. Car ceux-là ne seront pas examinés : ils sont déjà jugés, ils sont acceptés, ils sont matière à récompense. Alors elle comprendra pourquoi saint Benoît, père plein de sollicitude et de prévoyance, lui avait prescrit d’obéir « en toutes choses » !39
6.C.2.a - Quelle différence y a-t-il entre l’Autorité du Supérieur et Celle de l’Époux ?
Ou, dites-nous, quelle différence existe-t-il entre :
→ L’obligation d’obéissance en toutes choses du religieux contractée par ses vœux envers son supérieur et vue ci-dessus ; et…
→ L’obligation d’obéissance en toutes choses de l’épouse imposée par la Loi Naturelle (Dieu scellant le premier Mariage en Adam et la femme) et les commandements de l’Église, et contractée par les promesses de Mariage de l’épouse envers son Époux ?
De fait, Il n’y en a une, mais pas du tout en faveur de l’épouse :
→ L’obligation d’obéissance en toutes choses de l’épouse est considérablement plus étendue et plus sainte, plus profonde et parfaite, car faisant jusqu’à qu’une seule chair avec son Époux, et n’étant ni de près ni de loin la Tête ; et que cette obéissance est tellement totale que même son corps appartient à l’Époux et est à Son entière disposition ; et que rien sur terre ni aux cieux, ni même Dieu !, ne peut les séparer (sauf mort).
6.C.2.b - Nous devons considérer l’inférieur et l’inférieure :
Considérons l’inférieur dans un couvent, le moine :
1. Avant d’être ‘inférieur’, le moine était l’‘égal’ de son supérieur, en tant qu’Homme
2. S’il est devenu ‘inférieur’ c’est de par sa propre volonté, par un acte d’humilité scellé par ses vœux qu’il l’est devenu.
3. Ce moine, cet ‘inférieur’ peut être séparé : relevé de ses vœux, passer supérieur, changer de couvent et donc de supérieur, etc. ;
4. De plus, il ne fait pas une seule chair avec ce supérieur !
Considérons l’inférieure dans le Mariage, l’épouse :
1. Ce n’est pas de par sa propre volonté qu’elle est devenue inférieure, ni par un acte d’humilité !, en effet elle est inféodée à l’Homme de Disposition divine. Ainsi avant d’être l’inférieure de son Époux, elle l’était de son Père et de son Frère, de tout Homme.
2. Étant divinement ordonnée à l’Homme, elle n’a pas abdiqué d’une égalité avec l’Homme !, lors de son Mariage elle n’a fait qu’accepter un transfert d’Autorité sur elle : de son Père à son Époux !
3. De plus, l’épouse ne fait qu’une seule chair avec son Époux.
6.C.2.c - Séparer les époux ?!
Oui, impossible de séparer les époux, ni par divorce ni par séparation de corps, et ce, par aucune Puissance sur terre ou au ciel, soit : Ni de toit, ni de table, ni de lit, ni de rien du tout ! Et toujours, l’épouse est dans la chair de son Époux, en en faisant intégralement partie, comme l’ombre fait partie de l’objet qui la projette. Elle est asservie à Son gouvernement, à Ses mouvements, à Ses désirs !
Il est la Tête d’un même corps, elle n’est que le cœur40 de ce même corps ! Le cœur ne palpite que parce que la Tête le lui demande ! La Tête pense, le cœur palpite au rythme des cheminements de sa Tête, son Chef ! Elle, l’épouse-cœur, palpite pour servir et soutenir les méditations de son Époux ! Il est fatigué, elle palpite tout doucement pour Le laisser reposer ; Il est triste, elle palpite aimablement pour Le consoler ; Il désire son affection, elle palpite à tout rompre pour Son plaisir.
Inquiet ?, l’Époux consulte Son épouse-cœur, et elle Lui palpite si respectueusement et si doucement l’une ou l’autre suggestion : Saint Thomas résume toute la théologie de la femme en disant qu’elle n’est pas faite pour commander à l’égal de l’homme, et pour cette raison ne fut pas formée de la tête d’Adam ; ni pour lui être soumise à la manière d’une esclave et ne fut donc pas tirée de ses pieds ; mais qu’elle fut formée de son côté, tout près du cœur, pour être son épouse aimante, l’influencer doucement - comme Marie à Canna - et pour symboliser et imiter la relation de l’Église au Christ, une relation de soumission aimante41.
Elle a été crée non pour Dieu, contrairement à l’Homme, mais pour l’Homme comme nous l’avons suffisamment vu !
6.C.2.d - Qu’elle est donc l’ampleur du devoir d’obéissance pour l’épouse ?
L’obéissance de l’épouse doit être celle du moine et encore plus :
→ soit comme le moine : une obéissance en toutes choses ;
→ soit comme le moine : obéir encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables ;
→ soit comme le moine : obéir dans les choses difficiles ou même impossibles ;
→ soit comme le moine : recevoir en toute mansuétude et obéissance le commandement qui lui est fait ;
→ soit comme le moine : si le poids du fardeau excède totalement la mesure de ses forces, et après avoir fait connaître avec patience et au moment opportun, à son Époux les raisons de son impuissance, ne témoignant ni orgueil, ni résistance, ni contradiction, et que si après avoir entendu ses représentations son Époux persiste dans sa pensée et maintient le commandement, l’épouse saura que la chose lui est avantageuse, et elle obéira par amour, se confiant dans le secours de Dieu ;
→ soit et en plus que pour le moine : de livrer son corps à son Époux, à qui elle appartient, et ce, toute pleine de joie et d’empressement, pour Son plaisir42 et l’engendrement.
6.C.2.e - Où nous voyons encore plus l’escroquerie et la perversion d’Hommes d’Église !
Nous venons de voir par la plume (cela date de Mathusalem, pensez-donc : 1936) de Dom Jean de Mauléon citant et commentant Saint Benoît dans ‘Les Instruments de la perfection’, l’obéissance que l’Église exige de ses moines et inférieur(e)s, jusque dans les choses les plus impossibles ou difficiles, les plus déraisonnables ; et dans le même temps, nous voyons les prêtres de cette même Église qui disent à l’épouse (adultère ou viol) qu’elle peut ou doit se séparer de son Époux parce que Celui-ci lui commanderait des choses qu’Eux (viol et adultère), ces pervers, considèrent comme ‘déraisonnables’ !
Oui, ces pervers de prêtres, moteurs principaux et même exclusifs de la destruction de Mariages, viennent à vous sous des vêtements de brebis, mais au dedans sont des loups rapaces43 ; oui, les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes (ND de La Salette).
Revoyons ce que disent ces cloaques d’impureté :
→ Pour ses membres de ses institutions, ses inférieurs, les Hommes d’Église disent : obéir encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables, […] difficiles ou impossibles […] ; et si le supérieur persiste dans sa pensée et maintient le commandement, l’inférieur saura que la chose lui est avantageuse, et il obéira par amour, se confiant dans le secours de Dieu !
→ Pour l’épouse, qui n’est pas du tout son inférieure, mais celle de son Époux, ces mêmes Hommes d’Église disent alors qu’Ils n’ont rien à dire, de quoi je me mêle ou toujours le même ‘devoir d’ingérence’ : l’épouse doit obéir en toutes choses, sauf, bien entendu, le cas où le mari lui demanderait des choses que sa conscience à elle lui interdit !
Ce bien entendu dit à l’épouse (adultère ou viol) par ces Hommes d’Église est particulièrement vicieux, démoniaque ! Pourquoi à l’inférieur d’un couvent ces Hommes d’Église ne disent-ils pas : vous devez nous obéir sauf, bien entendu, le cas où le supérieur vous demanderait des choses que votre conscience à vous vous interdit44 ?
Oui, suivant l’exemple de la Très-Sainte Vierge Marie à La Salette, nous disons : bande d’hypocrites et de pervers, cloaques d’impureté !
6.C.3 - L’Apôtre St Thomas conseille à un Époux de fouetter son épouse.
Il vint aussi vers [l’Apôtre Saint] Thomas un homme distingué, savant, et qui vivait toujours au milieu de ses livres. Ce brave homme implora le secours de l’apôtre : sa femme et sa fille étaient énergumènes. Elles avaient mené une vie dissolue, et lorsque le mari dans sa colère les avait maudites, le démon s’était emparé d’elles. Thomas suivit cet homme, et trouva dans sa maison les deux femmes dans un état affreux. Elles se précipitèrent vers lui pour le déchirer, mais il leur lia les mains à un poteau avec sa ceinture, prit un fouet et les frappa sans ménagement. Alors elles devinrent très dociles, et Thomas donna à cet homme plein pouvoir pour les soumettre chaque jour au même traitement. Puis, quand la correction et le jeûne les eurent mises à la raison, l’apôtre chassa l’esprit immonde et les convertit.45
Ce texte est nullement de Foi, par contre il serait sûrement téméraire de l’exclure.
Toutefois, il n’est pas du tout en opposition avec les autres documents, bien au contraire, qui eux, engagent à l’obéissance envers le Chef, ce de Volonté divine : discipliner l’épouse, la contenir dans son devoir, etc.
6.C.4 - Pie XII : il vaut mieux perdre un de ses membres que son âme !
L’Apôtre des nations avoue au sujet de lui-même : « Je traite durement mon corps et je le tiens en servitude de peur qu’après avoir prêché aux autres, je ne sois moi-même réprouvé » (I Cor.IX, 27). Tous les saints et saintes ont veillé attentivement aux mouvements de leurs sens et des passions et quelquefois les ont maîtrisés énergiquement, selon les paroles du divin Maître lui-même qui nous enseigne : « Et moi je vous dis que quiconque regarde une femme avec convoitise, a déjà commis l’adultère avec elle dans son cœur. Si ton œil droit est pour toi une occasion de chute, arrache-le et jette-le loin de toi ; car il vaut mieux pour toi perdre un seul de tes membres et que ton corps tout entier ne soit pas jeté dans la géhenne » (Matth.V, 28,29).46
6.C.4.a - Il vaut mieux donc qu’elle perde la vie plutôt que de perdre la Vie !
Donc, vaut bien mieux perdre son œil ou un de ses membres que d’être jeté dans la géhenne !
Ainsi donc, le Chef étant responsable de Son épouse, il vaut mieux qu’elle perde son œil ou un membre plutôt qu’aller en enfer !
Surtout que comme le dit Saint Alphonse de Liguori : toutes les fois qu’elles désobéissent à leurs maris elles commettent un péché mortel ! Un péché mortel est la mort de l’âme n’est-ce pas, et c’est ce qui faisait dire à Blanche de Castille, la mère de Saint Louis47 : Mon enfant, j’aimerai mieux vous voir mourir que de vous savoir coupable d’un seul péché mortel.
Avez-vous déjà vu un Époux digne de ce nom aller jusqu’à tuer son épouse ? Et pourtant, si vraiment son Ciel était à ce prix !?
Par contre, alors qu’il vaut mieux mourir plutôt que de commettre un péché mortel, ‘on’ (‘opinion publique’, ou Église, ou État) condamnerait un Époux qui apprendrait quelques pas de Polka48 à son épouse histoire de l’obliger à ne point commettre de péché mortel en Lui désobéissant !?
6.C.5 - Saint Bernard : Adam n’a pas discipliné Ève, il ne l’aimait pas !
« Bienheureux ceux qui ont faim et, soif de la justice, parce qu’ils seront rassasiés. » Je crois que ces paroles sont dirigées contre Adams, qui peut-être bien a eu une partie de la justice, puisqu’il compatit à sa femme ; mais s’il eût eu véritablement faim de la justice, il se serait mie en peine de rendre ce qu’il devait, non-seulement à sa femme, mais aussi et surtout à son Créateur. S’il devait compatir à sa femme, il devait la discipliner, puisqu’elle était son inférieure, car l’homme est le chef de la femme. Or il devait à Dieu obéissance et soumission.49
6.C.5.a - S’il devait compatir à sa femme, il devait la discipliner !
En effet, Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes. À Dieu plutôt qu’obéir (céder) à son épouse.
Adam, en toute justice, par obéissance et soumission à Dieu, par Amour pour Lui, et parce qu’Il devait compatir à sa femme (Ève50) son inférieure, l’aimer vraiment, Il devait la discipliner, étant son Chef.
Adam en ne disciplinant pas Sa femme, Son inférieure, était désobéissant et insoumis envers Dieu, il ne L’aimait pas, et Il était injuste, insensible envers Sa femme, Il n’agissait pas avec amour envers elle !
6.C.6 - Saint Bernard : Adam n’avait pas faim et soif de Justice…
Mais que penser, mes frères, en voyant que de tous ceux qui jugent si sévèrement ce qu’il a fait, il y en a tant qui ont la folie de l’imiter ? Il y en a tant, dis-je, qui s’indignent contre lui, parce qu’il a écouté la voix de sa femme plutôt que celle de Dieu, et qui eux-mêmes écoutent aussi leur Ève, je veux dire leur propre chair, de préférence à Dieu ! Mes frères, si en ce moment nous voyions Adam placé, par les pensées qui s’élèvent dans son cœur, entre les prières de sa femme et le commandement de son Créateur, ne crierions-nous pas ; Prends garde, malheureux, fais attention, ne cède point ; ta femme a, été séduite, ne te range pas de son côté ? Pourquoi donc, toutes les fois que nous sommes exposés à une tentation pareille, ne nous disons-nous point aussi la même chose avec la même conviction ? « Car, bienheureux ceux qui ont faim et soif de la justice, parce qu’ils seront rassasiés. »51
6.C.6.a - Arrêtons de pratiquer la langue de bois !
Ferons-nous, nous les Chefs de Famille, comme Adam ?, nous écouterions la voix de notre ‘Ève’, de notre femme (lorsqu’elle est indisciplinée, il s’entend) plutôt que Celle de Dieu ?
Avons-nous faim et soif de la Justice ?, aimons-Nous nos épouse ?
Nous le devons pour notre Dieu d’Amour et de Justice, nous le devons aussi pour nos épouses bien-aimées, nous devons : les corriger lorsqu’elles sont indisciplinées !
6.C.7 - Sainte Françoise Romaine : magistralement giflée par son Ange.
Le modèle le plus célèbre d’une âme conduite tout au long de son pèlerinage ici-bas par son un ange gardien -ses anges, plutôt-, est sans conteste Françoise Romaine : les esprits célestes se succèdent auprès d’elle pour la faire progresser dans les voies de la sainteté. Le premier est sévère, et c’est à lui que nous devons l’épisode, resté fameux, de la gifle : un jour que Françoise reçoit des amis dans son salon, la conversation vient à déraper, et on se met à médire de tel et tel. En bonne maîtresse de maison, Françoise veille d’habitude à réfréner ces écarts de langage, cette fois elle ne dit rien : aussitôt, le claquement d’un soufflet magistral retentit et tous voient, bien imprimée sur la joue de l’hôtesse, la marque écarlate d’une gifle. D’une poigne vigoureuse, l’ange est intervenu pour la rappeler à ses devoirs. Il ne lui passe rien, car il est chargé de purifier son âme de toute imperfection, afin de la disposer à l’union avec Dieu. Il ne lui fait grâce de rien, pas même du scrupule, pourtant bien involontaire, comme le signale Valladier dans son Miroir de sapience inspiré par le père Giovanni Matteotti, confesseur et biographe de la sainte.52
L’ange gardien nous a été donné pour nous guider ? Oui ou non ? Lui, pour notre bien peut donner (il existe de nombreux autres exemples) un soufflet magistral !
Et l’Époux, qui doit régler, corriger et former les mœurs de Son épouse, serait impuissant devant sa mauvaise volonté à obéir et à être formée ? Pire, l’épouse désobéissante pourrait contaminer les enfants et d’autres personnes, et l’Époux devrait garder les mains derrière le dos ?!
6.C.8 - Concile de Trente : Il doit contenir son épouse dans son devoir.
Enfin il doit régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous ceux qui la composent, et contenir chacun dans son devoir.53
6.C.8.a - Arrêtons de pratiquer la langue de bois !
Ce texte dit bien que : l’Époux doit régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous ceux qui la composent.
Contenir comment ?, corriger comment ? Par l’exhortation patiente et amoureuse il s’entend ; par le raisonnement mis à sa portée ?, soit, mais après ? Si après avoir été plusieurs fois avertie54 l’épouse reste ‘sourde’ à l’ordre, ne ‘comprend’ pas, soit ne veut pas comprendre, la bonté de son Chef ?
Si ayant des oreilles elle ne veut point entendre, de yeux et ne veut point voir, une ‘intelligence’ et ne veut point comprendre, alors finalement il faut en passer par la contrainte, la correction ! En effet, la Famille doit fonctionner coût que coût, et cet acte héroïque, la correction maritale, sera sûrement la sauvegarde du sujet épouse. Doit-elle aller au ciel oui ou non ?, et Vous Chef, en êtes-vous responsable oui ou non ?
Avez-Vous déjà vu un enfant se mener rien qu’avec la raison ? C’est certes l’idéal, mais lorsqu’il refuse d’entendre raison que fait-on ? On le corrige !, et l’épouse idem !
6.C.9 - Saint Thomas d’Aquin, Docteur de l’Église : user aussi de coups !
Le renvoi n’est pas le seul moyen de corriger l’épouse coupable de fornication on peut user aussi des réprimandes et des coups. Si la femme est disposée à se corriger sans cela, le mari n’est donc pas obligé d’user du renvoi pour obtenir son amendement.55
6.C.9.a - L’épouse coupable de fornication ou de fornication doit être réprimandée, recevoir des coups !
Fornication ou fornication, qu’est-ce à dire ?
-Fornication : Au fig., HIST. D’ISRAÊL. Infidélité du peuple juif qui abandonne le vrai Dieu pour adorer des dieux étrangers. Je pensais à Isaïe, à la « fornication des hauts lieux » et je remontais la rue de La Harpe, en me répétant cette fin de verset : « Et son gosier est plus doux que de l’huile » (Flaub., Corresp., 1853, p. 217). La fornication est, dans le langage prophétique, toujours inséparable de l’idée d’idolâtrie (Renan, Antéchrist, 1873, p. 423). La grande Oolla ou Samarie, la petite Ooliba ou Jérusalem, se sont livrées à la fornication en adorant les idoles de l’Assyrie, de l’Égypte et de la Chaldée (Théol. cath. t. 4, 1 1920, p. 999).
Nous avons écrit ci-dessus : L’épouse coupable de fornication ou de fornication, parce qu’il existe deux types fornications : une fornication charnelle et une fornication intellectuelle, ou morale. L’épouse qui échappe à la seule Autorité à laquelle elle est assujettie de Droit divin, son Époux, fornique, ou comme nous disions précédemment commet l’adultère. Chaque fois que l’épouse regarde ailleurs que sur son Époux : veut ‘sa’ famille, demande ‘conseil’ à un prêtre, cherche un appui pour regimber, se révolter (gendarmerie, assistante sociale, cellule d’écoute, et autres cochonneries du même tonneau) : elle fornique ! Et c’est ainsi que nous disions, nous, dans cette étude : adultère ou viol selon son consentement ou pas !
Saint Thomas d’Aquin, Docteur de l’Église, confirme bien que sur l’épouse coupable de fornication on [le Mari] peut user aussi des réprimandes et des coups […] afin d’obtenir son amendement !
Ne trouvez-vous pas que la fable, l’escroquerie de la femme battue [évidemment par son Homme !] parait de plus en plus monstrueuse ?
Bien qu’ayant déjà fait un bon brin de chemin dans le ‘bon sens’, continuons, ce n’est pas fini !
6.C.10 - Saint Alphonse de Liguori : vous pouvez sans doute la châtier…
Comment, disent-ils, je ne puis pas châtier ma femme lorsqu’elle se conduit mal ? - Vous le pouvez sans doute, mais seulement lorsqu’il y a un motif grave ; et particulièrement lorsque c’est un motif qui tient à la décence, et lorsque, après avoir été plusieurs fois avertie, votre femme ne s’est pas corrigée ; seulement alors vous pouvez la châtier ; mais il ne vous est pas permis de battre une femme pour le motif le plus frivole, comme, par exemple, pour une invective ou pour une désobéissance sur un objet de peu d’importance.56
6.C.10.a - Arrêtons de pratiquer la langue de bois !
L’Enseignement de l’Église d’un temps ne peut-être opposé à son Enseignement d’un autre temps. L’Enseignement de notre Dieu Est ! Il est unique, Il est constant… Ce que nous venons de lire a été écrit voici un peu plus de 150 ans.
Saint Alphonse de Liguori reconnaît57 à l’Époux le droit de châtier sa femme, évidemment si elle le mérite !
Soyons sérieux, voyez-vous un Époux châtier58, battre(idem) sa femme, lui donner des coups 59 alors qu’elle :
→ Lui rendrait ses hommages car Il est son Seigneur60 ?
→ se prosternerait devant Lui puisqu’Il est son Seigneur ?
→ Lui donnerait une soumission amoureuse, une obéissance joyeuse et empressée61 ?
→ Le révérerait ? (Éph 5, 22-25, 33)
→ etc. ?
6.C.11 - Un Seigneur justifie ses garçons qui ont mis leur mère au cachot.
Du : 24.07.2008, existe62 en PDF ici : ND. Actualisé : mar. 5 févr. 2013, 13.22.
La source de l’histoire que nous allons raconter manque, et donc le texte est donné ici de mémoire, il est bien fidèle à l’esprit. Lorsque nous retomberons sur ce texte tiré d’un livre sur les croisades nous donnerons la source exacte. Voici donc l’histoire qui nous intéresse et qui est le contre-pied magistral du bassinage mensonger et sidérant, incapacitant que l’on nous fait encore plus ces derniers jours (juillet 2008) quant à ladite violence faite aux femmes.
Réflexions préliminaires ré-apprenant à raisonner :
→ Comment se fait-il qu’un Homme puisse être ‘violent’ avec une femme étant donné que nous serions ‘égaux’ selon eux ? En effet, une violence physique et/ou psychologique ne peut exister que venant d’une personne plus forte sur une personne plus faible, physiquement et/ou psychologiquement parlant ! Et donc, où le serpent se mord la queue, soit nous sommes égaux et il ne peut y avoir violence contre la femme, ou soit il y a violence et donc nous sommes inégaux ; il faut choisir une bonne fois pour toutes !
→ Pourquoi ne fait-on pas une distinction entre un ordre ‘femme, fait ceci’ et une punition : réprimande, claque, martinet, etc. ? Parce que ce n’est pas la ‘violence’ qui est visée, mais l’autorité :
→ Il leur faut détruire la Famille selon le mot bien connu : Famille, je vous hais.
→ Pour détruire cette Famille, il faut y semer l’anarchie afin d’y amener la révolte, et donc faire croire aux femmes qu’elles ne doivent pas être ‘asservies’ étant ‘égales’ à l’Homme.
→ Une fois la révolte installée, l’Homme n’a plus d’issue que de discipliner son épouse soit en la sermonnant, soit en la contraignant, et c’est ceci que les ennemis de cette Famille appellent ‘violences’.
→ Puis, ensuite, d’amener l’épouse à porter plainte contre son Époux ! Et eux se réjouissent car ils disent : qu’enfin, les femmes osent de plus en plus porter plainte contre les ‘violences conjugales’ !
→ Car, enfin, et du reste on y arrive, on y est même déjà, un Père qui dit à son fils ‘ne fait pas ceci’ est ‘violent’ maintenant ! Alors qu’Il a le Devoir, et donc le Pouvoir, de corriger intellectuellement et ensuite s’Il le juge nécessaire physiquement son enfant.
→ Comment cela se fait-il que l’Autorité dans la Famille ne peut utiliser la ‘violence’ pour faire régner l’ordre, alors qu’Elle est de Droit divin et donc qu’Elle le Doit ; et que dans le même temps, l’État utilise une violence bien plus grande et bien infernale en poursuivant et enfermant ces Chefs de Famille, et ainsi en laissant errer ces femmes et en rendant ‘orphelins’ ces enfants, alors que Lui, l’État, est forcément illégal dans ce cas ?
Revenons à notre titre : Un Seigneur justifie ses garçons qui ont mis leur mère au cachot.
-Justifier : 2. a) Déclarer juste ; disculper, innocenter.
Voici l’histoire :
Au temps des Croisades, un Seigneur part et laisse Ses biens à la garde de Son épouse. S’étant absenté plusieurs années, Il revient en Son domaine où Il est accueilli par les Siens. Ne voyant pas Son épouse, le Seigneur interroge Ses gens qui Lui disent que Son épouse est au cachot et que c’est Ses deux fils aînés qui l’y ont mise. Sans se départir de Son calme, le Seigneur convoque ses fils, qui maintenant ont 13 et 15 ans63, en audience publique de même que son épouse qu’Il a fait extraire. Puis devant tous ses gens, Il demande à Ses fils pourquoi ils ont mis leur mère au cachot. Ceux-ci Lui expose les désordres de leur mère quant à la gestion du domaine. Le Seigneur en interrogeant Son épouse à la confirmation des dires de Ses fils. Et devant Sa cour Il justifie en publique Ses fils, Il confirme la sentence et fait renvoyer par Ses gardes l’épouse désordonnée pour un bon moment au cachot.
Revoyons cette histoire ensemble.
Le Seigneur s’absente plusieurs années, et laisse Ses biens à Son épouse : les biens comme l’épouse sont à Lui. L’épouse doit les gérer pour Lui selon ses instructions explicites ou implicites.
Les enfants qui au départ de leur Père étaient encore jeunes, ayant mûri, ont averti leur mère de ses désordres, et devant son obstination, après l’avoir dûment sommée, ils l’ont fait mettre au cachot car elle ne voulait pas obtempérer.
L’Époux en sa Maison (Famille) est bien, Lui aussi, le Seigneur, Comme Sara, qui obéissait à Abraham et l’appelait son seigneur64, l’épouse doit ainsi considérer son Époux.
Nous avons aussi vu que, puisque ton Époux s’est épris de ta beauté : puisqu’il est ton seigneur, prosterne-toi devant lui*.
Comme Il est son Seigneur, elle doit obéir encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables ; ou sinon, son Seigneur, s’il devait compatir à sa femme, il devait la discipliner, puisqu’elle était son inférieure, car l’homme est le chef de la femme.
Mesurez ainsi, le fossé qui existe entre ce que suggère cette petite histoire qui précède et ce que disent les mensonges de ‘la femme battue’ et ‘des violences conjugales’.
Oui, ce monde est un monde de mensonges, de renversement de toutes les valeurs, une révolte contre Dieu qui est Ordre, Droit : libération de la femme ; violences conjugales ; travail de la femme ; partage de l’autorité dans le couple ; contraception, avortement ; prise en main de l’enfant par l’État ; collages contre-nature ; égalités en tous genres et plus particulièrement des sexes ; séparation et divorce ; etc.
Il existe une violence bien réelle qui est la désobéissance de la femme rebelle à son Époux, et à cette infraction une ‘violence’ plus que légitime doit être la ‘réponse’ de son Époux. Et c’est ainsi qu’agit l’État légitime lorsque quelqu’un fait une infraction au code de la route par ex., la ‘violence’ de l’amende est là pour le ramener à la raison.
L’État ne peut aucunement rentrer dans la Maison afin d’en ‘vérifier’ la gestion, seul l’Époux est le Législateur et le Bras chargé de faire respecter le Droit en sa Maison.
Mais évidemment, maintenant que l’on a inventé le ‘droit d’ingérence’, purement démoniaque, l’État dit que l’Époux n’est pas Roy, et que c’est lui, l’État, qui doit tout chapeauter en la Famille.
Le charbonnier n’est plus Maître en Sa Maison, il n’est ‘toléré’ que s’il est démoncrate ; et ainsi qu’un vaisseau ne peut avoir à sa tête deux Capitaines, un foyer ne peut avoir deux Têtes ; alors, l’on coupe le vaisseau en deux, c’est le divorce. En effet, de plus en plus de Famille vont à la dérive, car comme ils disent : ils ‘éveillent’ de plus en plus la femme à la ‘liberté’ afin de les amener à la révolte.
6.C.12 - Église de Brou : correction maritale, ou la ‘femme battue’.
Voici 3 photos65 d’une miséricorde de stalle, visible en l’église de Brou, dans l’Ain, France.
Vous voyez l’heureux temps où l’Église et l’État ne trahissaient pas les Hommes, les Époux, les Chefs de Famille.
Heureux temps !,
où paisiblement…, l’Époux…
Heureux temps, où la chose était réglée vite fait, bien fait (photo de droite, détails de cette miséricorde ci-dessus.), et en Famille et sans scandale toujours très hypocrite. Et l’épouse tout à son bonheur d’être soulagée de son errance, voyant enfin clair, venait amoureusement vous embrasser la main et vous bénir !
Cette représentation, montre l’Époux nullement hésitant et même bien appliqué à Son Devoir, avec un fouet en main comme le préconisait l’Apôtre Saint Thomas66.
L’épouse a la robe très nettement relevée, le postérieur nu et bien dégagé, et subit respectueusement le châtiment mérité, et sans rechigner. En effet, l’Époux ne la tient que d’une main par l’épaule et s’applique à son œuvre pie sans hésitation ; elle ne se roule pas à terre !
Qui aime bien, châtie bien, dit le proverbe ! Nous pourrions ajouter l’épouse qui aime bien son Époux, aime à être corrigée.
6.C.13 - L’Homme tranquille, bon… bat Sa femme s’il le faut !
Dans le film L’Homme tranquille, que tout Homme devrait voir tout en entier, deux scènes sont vraiment croustillantes, les voici (notez bien que les photos sont directement visibles que sur le document PDF, page Nos divers documents : Tous nos documents en un fichier ‘zip’ !
6.C.13.a - Scène 1 : voici mon Époux un bâton pour me corriger…
Ici67, nous voyons Mary, l’épouse, qui a été particulièrement difficile, et plus grave, elle s’est refusée lors de la nuit de noce (péché mortel : devoir conjugal !).
Le lendemain l’Époux, Sam Thorton (John Waine), rentre chez Lui, sombre ; Son épouse l’accueille humblement et Lui tend un bâton pour qu’Il puisse la battre (photo ci-contre68) !
Oui, aucun Époux ne frappe, corrige son épouse si elle est sage, ainsi nous voyons Sam Thorton, devant les bonnes dispositions de Son épouse, devant sa contrition bien visible, jeter à terre le bâton !
6.C.13.b - Scène II’1 : Une ‘violence conjugale’ hautement légitime !
Dans cette scène69 (photo ci-contre70) de ‘violence conjugale’ caractérisée Sam Thorton ramène Son épouse récalcitrante qui a fui en la tirant, en la traînant sur le sol, en la tenant par le col de son chemisier, afin de lui faire passer un ‘mauvais’ quart d’heure ! Tout la panoplie de l’Homme ‘violent’ y passe : femme jetée à terre, arrière-train honoré de la visite du pied de l’Époux, rudoiement, menaces diverses, etc. !
Tout le village, et même ceux des alentours, suit cette pérégrination très mouvementée et haute en couleur pour jouir du spectacle, les paris vont bon train !, même le curé et le pasteur du lieu, et l’Évêque de ce dernier s’y mettent. À voir tous ces gens réjouis de ce que cette épouse soit remise dans le droit chemin, il est bien visible qu’ils n’ont pas encore été contaminés par les commissaires du peuple, les ‘redresseurs’ de conscience du haut de leurs tubes cathodiques appelés ‘téloches’ ; il est bien évident que ces braves gens n’ont donc jamais reçu la ‘révélation’ au sujet de la ‘violence conjugale’, de la ‘femme battue’, ‘dominée’, ‘psychologiquement maltraitée’, etc… (la liste de ces tromperies malignes71 est trop grande et tellement désolante…)
6.C.13.c - Scène II’2 : Monsieur, voilà un bâton pour battre votre jolie dame.
Un tout petit peu plus loin72 (photo ci-contre73), une grand-mère pleine de bon sens, et sachant pertinemment, et certainement de salutaire expérience !, de quoi il s’agit, et ayant surtout compris le danger gravissime où se trouvait cette pauvre épouse, c’est-à-dire celui de ne point être battue de main de Maître afin d’y voir enfin clair, ramasse l’accessoire oublié par ce pauvre Époux fort préoccupé : un bâton ; elle se détache précipitamment du lot pour le tendre à l’Époux oublieux en lui disant : Monsieur, monsieur, attendez, attendez, voilà un bon bâton pour battre votre jolie dame.
Alors que la donzelle Mary se contente de dire ho !…, l’Époux prend le bâton, et dit à la brave grand-mère : Merci !
6.D - Évidemment !, l’Homme est violent et la femme innocente…
Du : 25.05.2008, existe74 en PDF ici : ND. Actualisé : mar. 5 févr. 2013, 13.19.
Nous disons au début de cette étude : La suite de notre étude va faire magistralement voler en éclats la fable, l’escroquerie démoniaque de ‘la femme battue75’ ! Alors, nous y voici, quoique nous ayons déjà bien besogné dans cette voie…
6.D.1 - Femme en islam, sujet développé par l’hebdomadaire Rivarol.
Voici un texte parut dans Rivarol et que nous allons étudier :
Marwan SIBLINI - FEMME EN ISLAM
A s’en tenir au Coran qui est la parole d’Allah et à ses commentaires (Hadith), la femme a à peine plus de valeur, morale et marchande, qu’un animal. On peut la répudier, la battre, refuser de l’entretenir, la spolier de la garde de ses enfants ou de son héritage. Et pour cause, la femme est une "oura", terme signifiant en arabe tare, souillure. Outre son impureté, elle est de plus, selon Mahomet et ses exégètes, congénitalement accablée de déficiences mentales, intellectuelles et donc religieuses, qui justifient tous les mauvais traitements et humiliations qu’on peut lui infliger.
Ce petit livre de l’islamologue Siblini devrait être distribué par les mairies à toutes les Françaises venant faire publier les bans de leur prochain mariage avec un musulman. Ainsi sauraient-elles à quoi s’attendre. J. L.76
6.D.1.a - Pour commencer, voici un courriel que nous avons envoyé à Rivarol.
Début extrait →
Restauration de la Famille par l’Autorité ; de l’Époux, du Père.
France, le mardi 6 mai 2008, à 13.17.
Messieurs,
Ce message n’est pas anonyme, il est signé d’un pseudonyme afin d’aider à ne pas confondre la Vérité avec celui qui La dit. Je vous demande de publier ce message dans ‘droit aux lettres’.
Je veux vous parler de votre recension de ‘femme en Islam’ (n° 2856 page 10).
Je vous préviens que vous minez vous-même le terrain sur lequel vous posez vos pieds, en effet, peut-on montrer que l’Islam est une fausse et très mauvaise religion en disant par ex. qu’Il préconise de punir l’enfant rebelle ? Ou, qu’un Imam dirait qu’il faut respecter la limitation de vitesse ?
Peut-on lutter contre une fausse religion en faisant passer une vérité pour un mensonge, et ce par confusion ou par peur d’aller contre l’air du temps ?
Je ne cite qu’un passage : on peut […] la battre […].
Alors, il vous faut dire la même chose pour la religion catholique qui dit (pour toutes les sources voir le site http://restaurationdelafamille.blogspot.com/)  :
Concile de Trente : Enfin il doit régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous ceux qui la composent, et contenir chacun dans son devoir.
Concile de Trente : Ceci est le point capital dans le mariage elles se souviendront qu’elles sont obligées […] de leur être soumises et de leur obéir avec joie et empressement.
Saint Bernard en parlant à l’Époux : Celui qui se néglige, n’a pas soin de chasser la fumée, de corriger sa femme, et de réparer le toit de sa maison…
Saint Alphonse de Liguori : [si] après avoir été plusieurs fois avertie, votre femme ne s’est pas corrigée ; seulement alors vous pouvez la châtier.
Concile de Trente : Elles aimeront aussi à rester chez elles, à moins que la nécessité ne les oblige à sortir, et même alors elles devront avoir l’autorisation de leurs maris.
Saint Astère : Elle [Votre épouse] se montre sa servante assidue et dévouée.
Saint Bernard : S’il [l’Époux] devait compatir à sa femme, il devait la discipliner, puisqu’elle était son inférieure, car l’homme est le chef de la femme.
Saint Benoit : [L’épouse] doit obéir encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables.
Pie XII : N’hésitez donc point à exercer cette autorité ; ne vous soustrayez point à ces devoirs, ne fuyez point ces responsabilités. La barre de la nef domestique a été confiée à vos mains.
Pie XII : Épouses et mères chrétiennes, que jamais ne vienne à vous saisir la soif d’usurper le sceptre familial !
Pie XII : [Épouses] Ne vous contentez pas d’accepter et presque de subir l’autorité de votre époux à qui Dieu vous a soumises par les dispositions de la nature et de la grâce. Dans votre sincère soumission, vous devez aimer l’autorité de votre mari, l’aimer avec l’amour respectueux que vous portez à l’autorité même de Notre-Seigneur, de qui descend tout pouvoir de chef.
Etc., etc., etc.
Oui, l’Islam est une très mauvaise religion, mais dénonçons-la avec de vrais arguments et non des ‘réflexes’ imposés par nos ennemis.
Ajouté le 1er aout 2009 :
Nous regrettons très sincèrement ce paragraphe, nous le laissons uniquement pour mémoire. Ce que nous voulions dire c’est que ce n’était pas la Vraie religion.
Un musulman honnête lira toute notre étude et verra ainsi comment de fait nous voulons que les défendre et leur dire comment ils ont été trompés par les ‘ennemis de tous les hommes*
Ce musulman honnête verra même comment, à certains égards, nous les magnifiions et les citons comme exemple !
Que ce musulman de bonne volonté* recherche aussi, entre autres : honte aux chrétiens*, honte à nous*, musulman*, Imam*, voile*, etc.
Que ce musulman honnête constate comment dans ce chapitre nous les défendons sur des points touchant : le Mariage, la Famille, l’assujettissement de la femme à l’Homme et ce plus particulièrement dans le Mariage…
Et, si l’on approuvait et bénissait comme de Droit le Droit qu’un musulman a à punir sa femme rebelle, si l’on approuvait le voile (et non casque de scaphandrier ou masque d’apiculteur) qu’ils font porter à leurs femmes comme le demande Saint Paul, alors, nous pourrions certainement convaincre charitablement ces pauvres musulmans de leurs vraies errances.
Avec de faux arguments, nous les scandalisons et ainsi nous les empêchons de se convertir, et de ceci il faudra rendre compte au Jugement dernier !
Bien amicalement, que le Bon Dieu vous bénisse !
Pour la Vérité,
QJSIOJC
← Fin extrait
Est-ce utile de vous dire que cette lettre ne fut pas insérée dans leur ‘Droit aux lettres’…
6.D.1.b - Voici maintenant une analyse complète de ce texte.
Reprenons la partie de texte que nous allons étudier, le reste n’étant pas utile pour l’instant :
La femme a à peine plus de valeur, morale et marchande, qu’un animal. On peut la répudier, la battre, refuser de l’entretenir, la spolier de la garde de ses enfants ou de son héritage.
→ Que la femme ait à peine plus de valeur, morale et marchande, qu’un animal, est certes à déplorer et à combattre, avec la réserve que l’on ne peut toucher à l’Autorité du Chef de Famille. Alors, comment peut-on combattre ceci ?
1. En ne mélangeant pas ce qui ne peut être mélangé, et donc en acceptant pas cela chez-nous77. Mais une fois que l’on a fait rentrer ces pauvres Hommes porteurs de cette erreur dans nos régions, nous devons en supporter les conséquences.
2. En ne Les scandalisant pas nous-mêmes en ‘marchandisant’ nos femmes par : l’égalité des sexes mensongère parce que fondamentalement irréalisable, la prostitution publicitaire et autres, la pornographie en tous lieux et toutes circonstances et ce, jusqu’à l’échangisme et la zoophilie, le refus des fruits de l’Amour, la séparation et le divorce, etc. Et, dans le même temps nous nous scandalisons plus que hypocritement de ce qu’Ils font et qui est bien moins grave que ces crimes précités !
3. En étant des apôtres, des missionnaires auprès de ces Hommes qui immanquablement seront séduits par notre Image de Dieu. On ne peut bonifier qui si l’on est bon soi-même, et on les bonifiera en commençant par la Tête, l’Homme, le Chef de Famille. Nous ne devons aucunement toucher à sa femme, c’est Lui, le Chef qui touché Lui-même par notre Image de Dieu touchera ensuite Son épouse et Ses enfants.
→ Que l’on peut la répudier est certes mal, mais que l’on s’en scandalise hypocritement est bien plus grave, en effet l’on accepte jusque dans nos cercles les plus restreints, la séparation, le divorce, le concubinage… On l’accepte, on l’accueille, et même nos prêtres jusque dans la Trahition (cf FSSPX & Cie) l’imposent à des épouses au nom de l’obéissance !
→ Que l’on peut la battre, ou plutôt ce qui est plus heureux et exacte comme terme la corriger est vrai ! L’Époux le Peut parce qu’Il le Doit, et si nécessaire même physiquement. Ceci a été suffisamment développé un peu plus haut78 et dans tout l’ensemble de notre étude79. Oui, cessons de pratiquer la langue de bois, il y va du salut de l’épouse revêche et de l’Époux qui sera jugé sur le dépôt qui Lui fut fait par Dieu même.
Résumons :
L’Époux doit corriger, châtier son épouse si nécessaire, et Lui seul sait ce qui est nécessaire à celle-ci.
Il doit être soutenu, encouragé, glorifié par quiconque, Église ou mosquée, État, et ‘opinion publique’, etc.
→ Que l’on peut refuser de l’entretenir, est aussi évident, encore faut-il s’entendre sur l’expression.
→ S’il s’agit d’entretenir sa femme qui par ailleurs va coucher n’importe où, il est évident que l’on ne le doit absolument pas.
→ S’il s’agit d’entretenir de quelque façon80 que ce soit Sa femme qui aurait demandé la séparation de corps ou le divorce, certainement non plus !
→ Si nous parlons d’une épouse revêche et ayant fuit chez ‘ses’ parents, idem !
→ S’il s’agit d’une épouse digne et totalement soumise, il est évident que quelqu’Époux que ce soit ne penserait pas à : refuser de l’entretenir !
Dans ce propos il y a du reste une gigantesque hypocrisie, en effet, Rivarol parle de l’entretenir, or, l’on ne peut entretenir que ce qui est dépendant ! On ne peut clamer l’égalité des sexes, le droit au travail et au salaire, à son ‘indépendance’, et ensuite demander d’être entretenue !
→ Que l’on peut la spolier de la garde de ‘ses’ enfants, fait montre aussi d’une particulière inconscience ou hypocrisie. En effet, en premier lieu, selon les canons actuels, les enfants appartiennent aux deux parents, or, la spolier de la garde de ‘ses’ enfants, entend qu’il y a séparation ou divorce, et comme l’enfant ne peut être partagé, arrêtons de pratiquer la langue de bois, c’est soit elle qui est spoliée de la garde des enfants, soit Lui. Il y en aura au moins un des deux qui sera spolié !, et donc au nom de quoi plus elle que Lui ?
Mais, comme tout ce document le prouve, les enfants appartiennent, et ce, dans tous les sens du terme, qu’au Père ! Donc de dire la spolier de la garde de ‘ses’ enfants, est un mensonge, il aurait fallu dire, la séparer des enfants ! Mais de plus elle n’est pas séparée des enfants si elle s’en va, c’est elle qui abandonne les enfants, puisque c’est elle qui part ! Si madame ne veut pas être séparée des enfants, qu’elle ne s’en sépare pas !, qu’elle soit réellement sage et reste auprès de son Maître, son Époux !
→ Que l’on peut… la spolier de son héritage, est aussi faux que tout le reste. En effet, qu’a-t-elle besoin de ‘ses’ biens tant qu’elle est avec son époux ? Si elle a quitté son Époux et veut revoir ‘ses’ biens, comme pour les enfants, qu’elle s’amende, obtienne le pardon de son Époux, et revienne auprès de Lui dans une plus parfaite soumission ! Si elle est avec son Époux, comment peut-elle gérer ‘ses’ biens qui ne sont qu’une dot, et alors qu’elle doit obéir en toutes choses ?
Saint Alphonse de Liguori, entre de nombreux autres auteurs, après avoir dit que toutes les fois qu’elles désobéissent à leurs maris elles commettent un péché mortel81, ajoute que la femme pèche si, sans le consentement de son mari, elle dépense sur les revenus communs une somme plus forte que les femmes de son rang ont coutume de dépenser, parce que c’est le mari qui est maître des biens communs, et non pas la femme…82
6.D.1.c - Pour conclure…
Ce texte de Rivarol montre bien à quel niveau nous sommes descendus dans l’infernal libéralisme dont la principale facette est le féminisme. Ce texte est, par ignorance coupable83 pour le moins, un bijou de désinformation.
Et ainsi, au lieu de ra-mener à la Vérité des Hommes égarés par le Menteur et ses suppôts, ces textes, comme celui de Rivarol, dressent une barrière, en Les scandalisant. Ceux qui se disent catholiques devraient, en Vérité, les soutenir quant aux points vus ci-dessus! Mais non, l’on se dit catholique, et nous les scandalisons ! Les prêtres en premier, et surtout les prêtres de la Trahition qui prétendent sonner l’alarme alors qu’ils jouent du pipeau pour nous capter, et sont ainsi les ‘seuls’ responsables.
6.D.2 - Certes, elle doit plier, mais maintenant que faire ?
Du : 21.07.2008, existe84 en PDF ici : ND. Actualisé : mar. 5 févr. 2013, 13.02.
Cette nouvelle a été offerte aux Chefs de Famille ‘Les Intransigeants’ sous le nom : Certes, elle doit plier, mais maintenant où tout est renversé, que faire ?
Certes, elle doit plier, mais maintenant où tout est renversé, que faire ?
Nous, ici, et c’est ce que devrait penser quiconque, c’est la Famille qui nous intéresse car que d’Elle tout découle ! ; et donc tous les problèmes de ce pauvre monde, découlent des ‘problèmes’ de la Famille. Commençons par restaurer le Famille et immanquablement tout le reste se résoudra forcément, et comme par ‘enchantement’, ou plutôt comme par miracle !
Analysons un ‘drame conjugal’ dû à la ‘violence’ de l’Homme il va sans dire !, parmi une très longue litanie qui s’allonge, et s’allongera de plus en plus vite, lisons :
6.D.2.a - Un énième ‘fait divers’, un Époux tue son épouse, puis se suicide :
Etupes (Doubs) : Drame de la séparation
Un homme s’est suicidé vendredi à Etupes (Doubs) après avoir abattu sa femme qui, voulant divorcer, s’était présentée au domicile conjugal pour récupérer ses affaires et discuter de la garde de leurs trois enfants, a-t-on appris de source judiciaire.
Les enfants, deux fillettes âgées de 10 et 12 ans et un garçon de 7 ans, sont indemnes et ont été pris en charge par la famille du meurtrier, a précisé le parquet de Montbéliard.
L’homme, un ouvrier de 42 ans, a tué sa femme, âgée de 30 ans, au rez-de-chaussée de la maison qu’ils venaient de faire construire dans un quartier pavillonnaire d’Etupes, une commune de l’agglomération de Montbéliard.
Il est ensuite monté à l’étage avant de retourner son fusil de chasse contre lui, selon les premiers éléments de l’enquête.
La veille, il s’était présenté à la gendarmerie pour signaler le départ de sa compagne. L’avocate de cette dernière a précisé à l’AFP qu’elle avait l’intention de demander le divorce. Selon des voisins, le couple et ses enfants étaient arrivés il y a moins d’un an à Etupes.85
6.D.2.b - Le Mariage relève du Droit naturel !
Le Mariage, en son Sacrement (Sacrement de Mariage catholique particulièrement), en soit n’a rien à voir avec une culture particulière ou une religion particulière ; Il est religieux, de Droit divin : le Droit naturel !
Ne regardons donc pas le nom du ‘coupable’ que nous nommerons A. S., ne regardons pas non plus la religion ou la culture à laquelle ce Chef de Famille pourrait appartenir. Ne regardons que le Droit naturel qui doit régir chacun ici-bas, et qui est inscrit en notre Conscience par le Seigneur Dieu même.
6.D.2.c - L’origine du drame, la trahison de l’épouse.
La séparation-divorce est interdite, impossible ! en effet, physiquement et dans le sens le plus exacte possible, les époux ne font qu’une seule et même personne, qu’une seule et même chair !, renfermant donc ainsi deux Âmes.
Et même si des prêtres parmi les plus ‘sûrs’, de fait parmi les plus dangereux, corrompus, ceux de la Trahition, vous disent que l’on peut se séparer, c’est uniquement parce qu’ils font partie de la cohorte des prêtres corrompus, ces cloaques d’impureté86, tout couverts de vêtements de brebis, et qui ont des paroles de serpent87, et qui osent contredire sciemment Notre-Seigneur Jésus-Christ qui a dit : Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare point88 !
Regardons bien ce drame, comme tous les drames de ce genre du reste, ce n’est pas d’une séparation qu’il s’agit, mais d’une fuite, d’un abandon, d’une trahison ! Pourquoi ?
Quoi qu’impossible et interdite dans le Mariage, pour une séparation il faut être d’accord ! Ainsi, deux associés d’entreprise peuvent se séparer en rompant le contrat les liant, et ensuite se partager la caisse.
Mais si l’un des associés tire sa révérence ‘à la cloche de bois’ et part avec tout ou une partie de la caisse, l’on appelle pas cela une séparation ! mais bien trahison doublée d’un vol !
Donc, si une femme fuit, en emportant toujours tous les biens du reste, enfants compris, elle ne se sépare pas, mais fuit, trahit ! Donc, ne dites plus jamais ‘ils se sont séparés’, mais dites la Vérité sans peur : elle a trahi son Époux et a emporté les enfants et la caisse !
Nous n’insisterons jamais assez en rappelant encore une fois que c’est toujours la femme qui fuit et demande de tronçonner cette même chair en deux ! Les statistiques les plus ‘favorables’ à la femme disent bien : 80/20 ! Faîtes honnêtement, Vous-mêmes, un tour d’horizon, regardez autour de Vous ou dans les ‘média’, et Vous constaterez même un chiffre bien supérieur à 80% d’initiatives féminines !
La réponse épidermique, irréfléchie, que vont avancer certaines personnes, et certainement ultra-majoritairement des femmes, c’est que : bien sûr ce sont les femmes qui le demandent car c’est elles qui sont victimes des ‘violences conjugales’ !
6.D.2.d - Où l’art de s’enferrer ! où le serpent se mord la queue…
Comment se fait-il que les femmes soient victimes de ‘violences’ compte-tenu qu’elles égaleraient l’Homme ? Nous attendons toujours, ici, quelqu’un qui nous apporterait ne serait-ce qu’un début de réponse !
Il faut une bonne fois pour toutes choisir :
→ Soit elles égalent l’Homme et donc il n’y a pas plus de violences faites aux femmes (sous-entendu venant des Hommes) que de violences de la femme faites à l’Homme ; ou,
→ Soit il y a violence faites aux femmes (sous entendu venant des Hommes) alors, c’est qu’elles sont inférieures à l’Homme !
De plus, si elles égalent l’Homme :
→ Comment se fait-il qu’il a fallu plus de 6’000 ans (pour les ‘croyants’ en Dieu) ou plus de x (et là il n’y en a pas un qui soit d’accord avec l’autre !) millions d’années (pour les essentiellement négationnistes !) pour s’en rendre compte ? Et subsidiairement comment, égalant l’Homme, se sont-elles trouvées en position d’infériorité, soit ‘asservies’ par les Hommes ?
→ Comment se fait-il que dans un monde ‘éclairé’ qui vit maintenant dans le ‘soucis’ de ‘respecter’ ‘dame nature’ (toujours le même féminisme, la même inversion des valeurs) l’on ne veuille pas que la femelle soit soumise quand il s’agit de l’humain, mais que l’on est admiratif lorsque l’on voit le Lion sou-mettre sa femelle par un bon coup de patte lorsqu’elle est indisciplinée, lorsqu’elle la ramène ?
→ Comment se fait-il aussi que dans ce règne animal, comme pour l’humain, le Mâle est toujours plus beau, plus fort, plus grand, plus autonome, plus décidé, plus capable de s’orienter, de juger, etc. que la femelle ? Plus capable nous disions…, c’est ce qui fait dire à un personnage dans le tout début du film Hatari avec John Wayne, alors qu’ils poursuivent en Jeep un rhinocéros pour le capturer : à son allure c’est sûrement une femelle, elle ne sait pas très bien où aller, elle tourne en rond !, textuel ! Et c’est pour cela que le Bon Dieu donna à la femme une Tête, un Chef : son Époux !
→ Comment se fait-il que depuis que la femme est ‘libérée’ de la ‘tyrannie’ de son Époux, elle est comme jamais au grand jamais aussi asservie que maintenant : dévêtues sur les affiches ; dans les films comme en tous lieux du reste ; sur les trottoirs et commerçable dans des réseaux de ‘traite des blanches’ ; une pauvre gamine livrée à des pervers ; ou seule dans un appartement vide de bonheur paisible mais plein d’orgies sexuelles ; etc. ? Uniquement parce qu’elle est ‘libérée’. Uniquement parce qu’elle s’est révoltée et a perdu ainsi la tête, sa Tête, son Chef, son Époux, et qu’alors elle ne peut que divaguer, errer lamentablement ! en effet la femme est incapable de se gouverner, de s’orienter, tout comme la rhinocère !
Et toute cette désolation, ‘uniquement’ parce qu’elle n’est plus capable (ne veut plus) d’accepter le Gouvernement d’un Père, puis d’un Époux que Dieu voulu lui donner dans Son infinie Bonté !
6.D.2.e - Revenons maintenant à ce qu’a fait A. S.
Ce pauvre Homme a abattu89 Sa femme puis s’est suicidé. Si vous ouvrez les oreilles ou les yeux, les (dés)informations ne disent que cela, et de plus en plus, drame familial dans le cadre d’un divorce :
→ Le Mari a abattu sa femme qui voulait le quitter ;
→ Le Mari est rentré dans le commissariat qui a reçu la plainte (!) de l’épouse et a fait feu, blessant…
→ Le Mari a abattu les épouses de ses fils (instrumentés contre le Père), puis plus loin Sa femme, puis a tenté de se suicider.
→ Le Mari a tiré sur l’assistante sociale qui ‘suivait’ (manipulait) son épouse.
→ Le mari a abattu Sa femme et Ses enfants puis a mis le feu à la maison avant d’en ‘finir’ (de fait juste avant que la Vraie Vie ne commence !)
→ etc., etc., etc. !
Et cela n’ira qu’en empirant, fatalement !
Relisons, parmi tant d’autres, cette parole avouant sans honte le crime incroyable, le véritable crime, celui qui génère ledit crime des Maris :
De plus en plus de femmes se font battre !… Elles se font battre parce qu’elles résistent… Elles résistent parce qu’elles savent que nous les soutenons90 !
Par compassion, s’Il l’aimait,
Il devait la discipliner !
Un Homme sait, car c’est inscrit ‘dans ses gènes’ qu’ils disent, nous, nous dirons dans sa Conscience, que sa femme doit Lui être soumise, et que le cas échéant : Il est Droit, Il en a donc le Devoir, de l’obliger à se sou-mettre :
S’il devait compatir à sa femme, il devait la discipliner, puisqu’elle était son inférieure, car l’homme est le chef de la femme.91
Maintenant, car ‘ils’, ‘eux’, veulent briser la Famille92 selon le mot plein de haine d’André Gide (?) : Famille, je vous hais !, ils viennent empêcher les Époux de régner comme de Droit. De fait c’est une guerre totale qui est livrée par les ennemis de la Famille, et donc de toutes les sociétés (État et Église, etc.), et qui trouve bien trop souvent ses sapeurs dans nos propres rangs : et en premier Nos épouses ‘libérées’ !
Ce geste de A. S. est évidemment un geste de désespéré, inutile pour Lui comme pour la cause de Sa Famille, de la Famille. Mais de fait qui en est responsable ? Eux, nos ‘Maîtres’ et les femmes qui sapent nos Familles.
Ils détruisent tout, et en premier la base de la société, la première des sociétés, la société par excellence : la Famille.
Ils ont inventé le ‘devoir d’ingérence’ pour les pays : Irak, Iran, et autres ; mais déjà avant, leur frénésie d’ingérence s’est abattue sur la Famille. Ils veulent partout : l’ordre par le chaos ! Ordo ab chao !
Pour finir, qui est responsable, car ‘eux’ ne pourraient rien sans son aide irremplaçable : c’est elle, celle qui regarde ailleurs que sur son Époux, l’épouse qui répète le cri de son gourou en chef, Lucifer : non serviam, mon Époux !
6.D.2.f - Il est une chose dont A. S. est bien condamnable…
A. S. s’est lourdement trompé de cible, et c’est ce que nous disions en premier en cette étude93 :
Oui, le temps n’est plus du tout à la romance, mais à la réaction ; il faut absolument remettre les pendules à l’heure ! Les codes étant brouillés, il faut rétablir la Vérité. Notre Salut à nous les Hommes, et donc à Nos épouses et Nos enfants, de Notre Famille, est à ce prix !
Reconquête !,
cessons la langue de bois !
Pour A. S., ce n’est pas Son épouse (tant qu’elle n’est pas passée à l’ennemi en livrant son Époux à la gendarmerie puis en le traînant devant les tribunaux) qui est Son ennemi, mais ‘eux’ !, et c’est ‘eux’ qui devaient être pourfendus et c’est Nous, autres Chefs, qui devions nous armer pour venir à Son secours.
Votre Mariage n’est pas touché que vous croyez bêtement ; alors, dites-vous, ceci ne vous concerne pas ! Déjà, quelle lâcheté, quelle manque de charité, de solidarité !, faites bien attention : un jour alors que l’atmosphère était tendue depuis longtemps à cause de l’insoumission continuelle de Votre épouse (excitée par ‘sa’ Famille, par l’extérieur, et par des prêtres dans certains milieux de la Trahition), vous recevrez des baisers enflammés, elle vous honorera même comme rarement, le lendemain vous partirez tout rasséréné pensant que la partie est gagnée, et lorsque vous reviendrez de votre travail, plus personne, plus d’épouse ni d’enfants, elle aura tout volé !
C’est exactement et toujours le même scénario que nous entendons ici, tel celui-ci : avec moins de deux ans de Mariage et un 2ème tout nouveau-né !, chez des ‘vrais’ catholiques (?), de la Trahition ! Plusieurs jours après vous serez convoqué au tribunal pour divorce (ou ‘séparation’, ne boudons pas une petite hypocrisie), et les ‘raisons’ seront immanquablement : viol sur votre épouse94, attouchements sur vos enfants, violences physiques et psychologiques sur elle et les enfants, et nous en passons et des meilleures !
Seul, ou que deux ou trois Chefs, nous ne pouvons rien !, il en existe bien quelques autres, et même de très très nombreux dès que cela se saura, alors, faites connaître l’Œuvre de la Restauration des Familles par l’Autorité, de l’Époux, du Père.
Nous ne connaissons aucune œuvre qui agisse pour la Famille en allant tout à fait au fond du raisonnement, sans aucune langue de bois, sans concession, sans peur, et ayant comme objectif d’agir effectivement et concrètement pour restaurer la Famille. Œuvre qui irait courir au secours d’un autre Chef en détresse, et ce quoi qu’Il ‘aurait’ fait !
Refusons l’émotion, tenons-nous aux principes ! oui, et ceci est écrit (à la Saint Ignace de Loyola, le 31 juillet 2008) après que nous ayons pris connaissance de l’intérêt qu’a porté le site ‘Les Intransigeants95 à notre œuvre, ne transigeons pas avec la Loi naturelle qui régie la Famille depuis Adam. Soyons Intransigeant quant à la Puissance du Chef de Famille, seul Roy et Prêtre en sa Maison, donc seul Législateur et Bras séculier, seul Directeur spirituel de Celle-ci !
Nous devons courir au secours du Chef, sans considération d’origine ethnique ou religieuse, car il s’agit du Droit naturel, mais ce sans toutefois cacher, bien au contraire, son étendard de catholique, disons-Lui que nous venons au Nom de Notre-Seigneur Jésus-Christ !
Et ainsi par exemple, si nous aidions un musulman à sauver ou défendre Son foyer, nous en ferions forcément une Âme touchée ! Un chrétien doit être un bon samaritain, et pas seulement si le Chef roué de coups et laissé pour mort sur le bord du chemin vers la Vie a répondu favorablement à la question de sa filiation à l’Église catholique !, le reste suivra forcément !
De ne pas aider un Chef de Famille (enseignement, aide effective, réconfort, etc.) est une transgression à la Loi naturelle, à la Charité chrétienne, soyons intransigeants, comme les Vendéens, les Cristeros !
S’agissant d’une croisade, il faut un Fédérateur, un Chef des Chefs de Famille ! Organisons-nous, Chefs de Famille, pour la sauvegarde de Nos Maisons !
Reconquête !
un Chef des Chefs de Famille !
N’attendons pas : Reconquête !, il faut investir un Chef des Chefs de Familles !
6.D.2.g - Revenons au cas d’A. S.
L’épouse d’A. S. n’était pas Son ennemi, ni Ses enfants du reste, tant qu’ils étaient sous sa protection. Et c’est pour les empêcher de divaguer, dans ce monde affolé, où la femme est la plus ‘folle’, que le Concile de Trente confirmait (et non l’autorisait !, en effet, Il ne peut, ce Concile, et ce comme l’Église ou quiconque d’autre, ‛autoriser’, n’ayant aucune compétence ou pouvoir en la chose, en le Sacrement Mariage, mais uniquement constater cette puissance de l’Époux-Père) le Droit et donc le Devoir du Chef de Famille en disant : Enfin il doit régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous ceux qui la composent, et contenir chacun dans son devoir.96
Et c’est pour l’empêcher de fuir, afin évidemment de trahir, que le cas échéant l’Époux a non pas le ‘droit97’, mais le Devoir, découlant de son Droit, de la corriger de main de Maître car l’Époux doit contenir chacun dans son devoir :
→ Saint Bernard : S’il devait compatir à sa femme, il devait la discipliner, puisqu’elle était son inférieure, car l’homme est le chef de la femme. Or il devait à Dieu obéissance et soumission.98
→ Saint Alphonse de Liguori : […] « Comment, disent-ils, je ne puis pas châtier ma femme lorsqu’elle se conduit mal ? - Vous le pouvez sans doute, mais seulement lorsqu’il y a un motif grave ; et particulièrement lorsque c’est un motif qui tient à la décence, et lorsque, après avoir été plusieurs fois avertie, votre femme ne s’est pas corrigée ; seulement alors vous pouvez la châtier ; mais il ne vous est pas permis de battre une femme pour le motif le plus frivole, comme, par exemple, pour une invective ou pour une désobéissance sur un objet de peu d’importance.…/…99
Sachant que le Chef est seul Législateur et Bras séculier de Sa Maison :
1. Il devait évidemment corriger de main de Maître son épouse comme toute notre étude le montre bien…
2. Défendre sa pauvrette d’épouse des sirènes extérieures en la coupant de toute mauvaise influence, quitte, la contre-attaque étant la meilleure des défenses, à charger et détruire les ennemis de Sa Maison.
La faute de ce pauvre Époux a donc été de ne pas connaître son Droit et donc de ne connaître son Devoir que dans un brouillard, confusément, instinctivement, les codes étant brouillés !, et ainsi, n’agissant que dans la colère non gouvernée par la Raison, car il existe une sainte colère : d’avoir non pas battu son épouse comme Il le devait, mais de l’avoir dans un geste de désespoir : abattu (et comme souvent les enfants aussi).
6.D.2.h - Reprenons l’origine de cette nouvelle : Certes, elle doit plier, mais maintenant où tout est renversé, que faire ?
Que faire ?, oui nous sommes descendus tellement bas que la cause semble humainement perdue, sauf que de mésestimer la Toute-Puissance de Dieu et Sa soif de Justice que Saint Paul nous rappelle ainsi : Ne vous vengez point vous-mêmes, bien-aimés ; mais laissez agir la colère de Dieu ; car il est écrit : « A moi la vengeance ; c’est moi qui rétribuerai, dit le Seigneur. »
Chefs de Famille dans la mesure du possible et même héroïquement maintenant, soutenez-Vous, encouragez-Vous mutuellement, ne condamnez pas Celui qui gouverne Son épouse avec les moyens qu’Il estime nécessaires : conseil  ordre réprimande  menace  punition !, au contraire, félicitez-Le !
La Justice de Dieu ne nous demande pas de réussir (obligation de résultat), Elle ne nous demande que de mettre tout en œuvre pour réussir !, selon le mot de Sainte Jeanne d’Arc : Vous combattrez et Dieu vous donnera la victoire !
6.D.3 - Deux pauvresses ont laissé mourir leur enfant dans la voiture.
Du : 20.07.2008, existe100 en PDF ici : ND. Actualisé : mar. 5 févr. 2013, 13.22.
Reconquête !,
la femme à et pour sa Maison !
Pourquoi dire ‘Deux pauvresses ont laissé mourir leur enfant dans la voiture’, alors que c’est des Hommes qui ont oublié leur enfant, comme nous le lisons ici :
Mort d’une fillette oubliée dans une voiture au soleil : le père mis en examen
Publié le mercredi 23 juillet 2008 à 22H14
[1er enfant] Le père de la petite Zoé, fillette de trois ans décédée mardi après avoir été oubliée dans une voiture stationnée en plein soleil à Saint-Marcel (Saône-et-Loire), a été mis en examen mercredi pour homicide involontaire et placé sous contrôle judiciaire.
L’homme de 38 ans, qui se trouve "dans un état de détresse important" selon le parquet, s’est vu notifier sa mise en examen à l’hôpital de Chalon-sur-Saône où il est en observation depuis mardi soir.
[2ème enfant] Cette tragédie intervient une semaine après celle de Pont-de-Chéruy (Isère) où un garçon de deux ans et demi était décédé après avoir été laissé seul par son père dans sa voiture.101
Voici donc, comme nous venons de le lire que deux enfants sont morts affreusement parce que oubliés par leur Père dans la voiture !, et nous disions, nous, qu’ils ont été assassinés par leur mère, pourquoi ?
Nous allons parler que d’un cas, car il sont parfaitement identiques. Nous parlerons de la ‘faute’ du Père ensuite, commençons par voir le crime de la mère.
6.D.3.a - Le crime de la mère : avoir trahi, par pur orgueil, sa mission !
En effet, comme nous le voyons dans toute notre étude, la femme est faite pour l’Homme, pour l’aider, le servir, pour son ‘confort’, et en premier pour soigner et élever les enfants que son Époux lui a donné à porter et lui confie dans les premières années !
Voici, parmi tant d’autres personnes, ce que dit Pie XII qui date de Mathusalem comme chacun le sait (10 septembre 1941 !) : A la femme, Dieu a réservé les douleurs de l’enfantement, les peines de l’allaitement et de la première éducation des enfants, pour qui les meilleurs soins de personnes étrangères ne vaudront jamais les affectueuses sollicitudes de l’amour maternel.102
Il existe bien bien d’autres textes que nous donnons dans cette étude, qui disent tous que la femme doit être en sa (celle qu’elle a l’honneur d’habiter, celle donc de son Époux) Maison afin d’être là à la disposition de son Époux, qui lui demande, parmi d’autres services, de s’occuper de Ses (dans le sens propre du terme, soit les enfants à Lui103) enfants.
Comme sa variante hypocrite, la séparation de corps toute aussi interdite104, le divorce est ‘uniquement’ instigué par la femme. La déshérence et la mort des enfants n’est que leur fruit !
Ainsi donc que la séparation-divorce, le travail de la femme est la demande de la femme. Ce n’est pas l’Époux qui veut que Son épouse travaille, bien au contraire !, c’est l’épouse qui le veut, parce qu’elle veut regarder ailleurs que sur son Époux, Lui échapper ! Rappelons-nous ce que disait Saint Jean Chrysostome105 : Ce fut ainsi qu’il [Lucifer] attaqua Ève autrefois, lorsqu’il la vit seule et séparée d’Adam.
Elle, l’épouse, veut être l’égale de l’Homme, être libre, vivre sa vie, avoir son autonomie financière106, ne plus étouffer sous le carcan de l’Autorité, etc…
Alors, de volonté certaine elle veut errer, vagabonder, et pour cela il lui faut larguer le poids de l’enfant : contraception-avortement ; et, pour le ‛choisi’, crèches, garderie, etc.
Et donc, le ‛choisi’, le rescapé du massacre féministe, le rescapé de sa révolte luciférienne, son ventre lui ‛appartenant’, elle doit le trimbaler ou obliger, sous peine de dénonciation pour « non partage des tâches ménagères », l’Époux à trimbaler cette pauvre petite victime ‘immolée’ sur l’autel de la ‘libération’ de sa mère.
L’Homme est fait pour des vues plus hautes, plus étendues que Son épouse, et contrairement à elle Il est fait pour l’extérieur. Il est, d’Obligation divine, obligé, Lui, de ramener du pain à la Maison, et c’est pour cela que Dieu Lui donna cette aide, la femme, Sa femme, Son épouse, Sa servante, pour garder Sa Maison et Ses enfants…
Ce (l’un ou l’autre) Père a oublié l’enfant dans la voiture, parce que ce n’était pas Sa mission (absence de grâces d’État), d’où ces deux drames !
Ainsi, il est évident que la femme est la cause première et ‘exclusive’ de ces deux drames, qui sont arrivés uniquement à cause de son orgueil ! Elle a dit, devinez quoi ? Lucifer ayant dit : non serviam, mon Dieu ! ; cette(ces) épouse(s) a(ont) dit : non serviam, mon Époux !
6.D.3.b - La ‘faute’ du Père, quelle est-elle ?
La ‘faute’ du Père n’est point d’avoir, le pauvre, oublié Son enfant dans la voiture, et c’est pour cela que nous avons mis faute entre guillemets, en effet l’Époux a une femme pour le soin Ses enfants pour qui les meilleurs soins de personnes étrangères ne vaudront jamais les affectueuses sollicitudes de l’amour maternel.
Par contre, il existe bien un crime du Père, et c’est pas dans les ‘média’ que nous le verrons dénoncé, c’est de n’avoir pas appliqué ceci : Enfin il [l’Époux] doit régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous ceux [donc épouse comprise] qui la composent, et contenir chacun dans son devoir.107
Ainsi, comme la faute originelle ne fut point la faute d’Adam108, mais celle d’Ève ; la mort de cet(ces) enfant(s) n’est pas la faute du Père, mais celle de la mère.
Celle du père est que : S’il devait compatir à sa femme, il devait la discipliner, puisqu’elle était son inférieure, car l’homme est le chef de la femme. Or il devait à Dieu obéissance et soumission.109
Cessons une bonne fois pour toutes de pratiquer la langue de bois : oui répétons-le sans aucune hésitation, ces enfants ont été sacrifiés par la femme, à l’instigation de nos ‘Maîtres’, à l’autel de sa ‘libération’, à l’autel de sa révolte : Non serviam, mon Époux !
6.E - Seul le Père est responsable de Ses enfants.
Vous vous souvenez ?…
→ au point DP-3.B.4, Nous allons parler de fontaine… : La vie immense qui est cachée en lui [Dieu], cette vie fontale et originelle…, et de tout le reste de ce point…
→ au point DP-3.A.3, Adam est engendré, formé par Le Seigneur Dieu. : Le Seigneur Dieu forma donc l’homme du limon de la terre, et Il souffla sur son visage un souffle de vie, et l’homme fut fait âme vivante
→ au même point : Je fléchis les genoux devant le Père de Notre-Seigneur Jésus-Christ, de qui toute paternité, au ciel et sur la terre, tire son nom, et de tout le reste de ce point…
Est-ce bien nécessaire d’y revenir, ce point n’a-t-il pas été assez développé au fil d’autres raisonnements ?
Résumons :
C’est le Père qui donne la vie, et non la mère qui elle ne fait qu’être féconde et doit ensuite restituer le Fruit à son Époux. Étant le seul dispensateur de cette vie, Il en est donc le seul propriétaire et ainsi le seul responsable ! (cf. toute cette étude…)
La femme donne la vie ?, et ainsi tout serait femelle ? Comme ‘dame nature’, la tolérance, la révolte, etc.
6.E.1.a - Dieu le Père Est Source de Vie :
→ Dieu le Père ‘Source de Vie’ engendre Son Fils Jésus de toute éternité.
→ Dieu le Père ‘Source de Vie’ ‘engendre’, forme L’Homme [Adam] du limon de la terre, et souffle sur son visage un souffle de vie ; et ainsi Dieu cède la source de Vie dont Adam devient le seul dépositaire et dispensateur !
6.E.1.b - Adam, devient le seul Semeur, la seule Source de Vie :
→ Dieu le Père, devient Accoucheur110, et aide la femme à sortir du sein d’Adam ‘Source de Vie’, qui Lui, donne la Vie !
→ Adam ‘Source de Vie’ ensemence Ève qui Lui donne des enfants…
→ Tous les Mâles ‘Source de Vie’, depuis Adam, étant les dépositaires de la Semence de Vie par leur Père Adam, ensemencent leurs épouses, donnent la Vie !
6.E.1.c - Une ‘confirmation’ venant du sergent McDuff…
Le sergent McDuff111 de l’armée des Indes (2ème depuis la gauche, ou : 112) recherche dans le cantonnement deux petits chiens (en laisse aux pieds de l’enfant) qui ont ‘disparu’… Le ‘coupable’ est ce petit ‘soldat’ (à gauche) de ± 12 ans qui vient de les prendre à Priscilla Williams la mascotte du régiment des highlanders.
McDuff : Le voilà, le voilà. Et à l’enfant : Veux-tu me donner çà [les deux petits chiens].
L’enfant qui défend son ‘bien’ : Mais ces chiens sont à moi…
McDuff dit à l’enfant qu’il se trompe et lui montre le père des petits chiens (derrière lui, en laisse) en lui disant qu’ils sont à leur père. Devant l’étonnement de l’enfant, McDuff poursuit : c’est lui leur père, tu ne vas pas nier les droits d’un père sur sa progéniture n’est-ce pas ?
L’enfant se défend et répond : mais je les teins de leur mère.
McDuff hilare avec ses camarades : Ha ! Ha ! De leur mère, mais c’est le père qui compte, c’est l’homme qui a des droits sur ses propres fils !
6.F - Les pièges pour l’Homme, venant de son épouse, de la femme.
Bien sûr il s’agit de la femme, aussi ceci devrait se trouver dans le chapitre DP-7, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I)… Mais ce que nous allons étudier maintenant, sont les pièges venant d’elle, pour son Époux (ou l’Homme en général), aussi nous préférons voir ceci ici, surtout qu’ainsi aussi nous garderons l’esprit du titre Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I)…, en n’étudiant au chapitre 7 que ce qui la valorise, ce qui restaurera sa dignité !
Tout ce que nous allons lire n’est guère ragoûtant, mais les mauvaises femmes existent et nous devons nous en défendre, les saintes femmes seront étudiées ensuite.
6.F.1 - L’intuition féminine, son 6ème sens, une gigantesque escroquerie !
Son ‘intuition’,
rentra le malheur dans le monde !
6.F.1.a - L’intuition féminine, une bien triste plaisanterie…
Qui parle d’intuition féminine ?, regardez, écoutez, c’est : la femme. Elle vous le dit bien fièrement, s’en vante toujours, et ce, en regardant avec ‘compassion’ l’Homme qui en est notoirement dépourvu, le pauvre…
Où l’art de s’enferre, s’empaler !
Elle dit ‘intuition’, elle dit donc ainsi, et le confirme, qu’elle ne sait pas, qu’elle est donc limitée par rapport à l’Homme, devant se fier non à un jugement objectif dont elle est dépourvue de Volonté divine, mais au hasard de la devinette, de la supputation, qu’elle appelle malicieusement113 ‘intuition’ ou 6ème sens…
Nous les Hommes, les vrais, depuis la nuit des temps, depuis l’engendrement de la femme, nous savons que cette ‘intuition’ est la ‘feuille de vigne’, la tenue de camouflage, le cache misères de l’intrigante, de la révoltée.
C’est évident, tout-à-fait évident, et là-dessus nous sommes tout à fait d’accord avec ces donzelles, Adam n’avait pas du tout d’intuition, de 6ème sens ; Il était même ‛dramatiquement’ dépourvu de cette intuition qui est, heureusement pour lui, que féminine. Lui, levait la tête et méditait, Il interrogeait Son Dieu.
Il existe bien une femme (future Ève) qui eut un très grand 6ème sens, un 6ème sens comme aucune autre femme ; une si si fine intuition féminine, c’est la femme, Ève, qui, toute forte de cette intuition toute féminine, alla consulter sa toute nouvelle cartomancienne, le Serpent, Lucifer. Et c’est Lui, qui lui fit deviner ‘intuitivement’ qu’il fallait saisir le Fruit afin de connaître le Bien et le Mal, ‘comme Dieu’ qu’Il disait ! Pauvresse ! Oui, c’est bien vrai, l’Homme, était et est totalement dépourvu de ce 6ème sens, de l’intuition, et c’est pour cela que : ce n’est pas Adam qui a été séduit, mais c’est la femme qui, séduite, est tombée dans la transgression114.
Et voici ce que nous avons obtenu grâce à cette toute première intuition féminine, voici ce que nous sommes devenus, des : Pauvres enfants de la malheureuse Ève, et, comme tels, coupable aux yeux de Dieu de la même faute et condamnés à la même peine, nous errons çà et là dans cette vallée de larmes, exilés de notre patrie, gémissant sous le poids de maux innombrables qui nous affligent dans le corps et dans l’âme !115
Son absence d’intuition,
permit la Paix !
Pourtant, parmi ces intuitives sans qui rien ne va, qu’elles disent, il existe bien une femme qui fut totalement dépourvue d’intuition féminine, qui n’eut aucune ‘prescience’, aucun 6ème sens, et ce au point qu’il fallut que Dieu envoya un Ange prévenir son Époux qu’un danger imminent arrivait : voici qu’un Ange du Seigneur apparut en songe à Joseph, disant : Lève-toi, prends l’Enfant et Sa Mère, et fuis en Égypte, et restes-y jusqu’à ce que je te parle ; car il arrivera qu’Hérode cherchera l’Enfant pour Le faire mourir.116
C’est la femme, qui si totalement démunie de tout ce qui fait la femme si bien ‘supérieure’ à l’Homme, qui s’appelle la Très-Sainte Vierge Marie !
Alors, écouterez-vous encore ‘l’intuition’ de la femme, de votre épouse, de vos filles ?
Résumons :
1 - La femme, Ève, est intuitive, et grâce à son 6ème sens la mort et la violence dont elle se plaint est entrée dans le monde, et ‘grâce’ à elle nous avons tout perdu !
2 - La Femme, la Très-Sainte Vierge Marie, est totalement dépourvue d’intuition, et par Elle, nous avons retrouvé la Paix, l’Amour, la Vie ; grâce à son absence de 6ème sens nous avons tout retrouvé par Notre-Seigneur Jésus-Christ qu’Elle nous donna…
Voulez-vous vraiment savoir ce que la femme veut obtenir par son escroquerie qu’elle appelle intuition, alors lisez tout ce qui suit sur ce sujet.
6.F.2 - La nuit n’avance que parce que le jour recule !
6.F.2.a - Notre ennemi ressemble à une femme.
Notre ennemi ressemble à une femme : il en a la faiblesse et l’opiniâtreté. C’est le propre d’une femme, lorsqu’elle se dispute avec un homme, de perdre courage et de prendre la fuite, aussitôt que celui-ci lui montre un visage ferme ; l’homme, au contraire, commence-t-il à craindre et à reculer, la colère, la vengeance et la férocité de cette femme s’accroissent et n’ont plus de mesure.
De même, c’est le propre de l’ennemi, de faiblir, de perdre courage et de prendre la fuite avec ses tentations, quand la personne qui s’exerce aux choses spirituelles montre beaucoup de fermeté contre le tentateur et fait diamétralement le contraire de ce qui lui est suggéré. Au contraire, si la personne qui est tentée commence à craindre et à supporter l’attaque avec moins de courage, il n’est point de bête féroce sur la terre, dont la cruauté égale la malice infernale…117
Oui, la femme revêche, rebelle, se traite comme le démon, faites face et montrez-vous bien ferme, ce que de fait elle désire intensément, et comme le démon elle reculera. Le démon fuira, elle, se prosternera, mais attention, ne lui tournez jamais le dos et ne baissez jamais votre garde, votre regard !
6.F.2.b - La femme, vue par Georg Hoornaert.
Convictions successives.
Au reste, les femmes, mêmes excellentes, restent souvent impressionnables, changeantes. Mentent-elles ? Je n’oserais le dire. Elles ont plutôt des convictions successives… Surtout, elles sont de fines diplomates et sont remarquablement habiles, pour arriver à leur but.118
Tout est dit, vigilance !
6.F.2.c - L’honnêteté féminine, sa duplicité
La femme a toujours un mystère qu’elle ne doit dévoiler.119
Et l’on parle de l’honnêteté féminine !
6.F.2.d - Sainte Thérèse d’Avila : la malhonnêteté de ses larmes.
Sainte Thérèse mettait en garde son Provincial, le P. Gratien, dans une lettre du 1er septembre 1582 : « Tenez, mon Père ! Souffrez que je vous donne un avis : c’est de ne jamais vous fier à des femmes… lorsque vous verrez de la vivacité dans leurs désirs, car leur envie de réussir leur fera imaginer cent mauvaises raisons, qu’elles croiront admirables »120
Sachez bien que vous verrez sans aucune possibilité d’erreur si les larmes de votre épouse sont vraies, elles sont d’une extrême rareté, et toujours très humbles, très discrètes et ne réclament que le pardon !
6.F.2.e - L’honnêteté féminine, sa lettre.
Voulez-vous connaître le véritable objet d’une lettre féminine ? Généralement, il faut le chercher tout à la fin. Ce qui précède n’a été que la savante préparation des travaux d’approche.121
Toujours l’honnêteté féminine !
6.F.2.f - L’honnêteté féminine, ses sourires et ses larmes.
Défie-toi des ensorceleuses : de leurs sourires, et aussi de leurs larmes. C’est leur stratagème. Cela leur coûte si peu, ces larmes ! Quand un homme en verse, c’est son âme qui pleure.
Quand une femme en verse, souvent, ses yeux seuls se mouillent. Elle pleure (pas de trop, du reste, pour ne pas enlever le fard) et, de ces pleurs faciles et sans conséquence, elle sort plus fraîche, comme une pelouse après une fine ondée si légère.122
S’Il regarde ses ‛larmes’,
c’est Lui qui n’y voit plus clair !
Méfiez-vous de ses câlins, si précédemment elle a été difficile !
(Re)Voyez ND : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)…; point DP-6.D.2.f, Il est une chose dont A. S. est bien condamnable…
6.F.2.g - La femme, « Le combat de la pureté. - 1876 Georg Hoornaert ».
Il faut conquérir cette puissance [sur l’homme] et cela est si vrai que tous les artifices dont se servent les femmes, tous les frais de coquetterie, d’habilité, de diplomatie, toutes les modes nouvelles, qu’elles suivent, n’ont d’autre but que de se faire remarquer, adorer.123
Sans commentaire…
6.F.2.h - Savoir circonvenir l’ennemi, l’Homme.
Il est indispensable de savoir employer les moyens que nécessite ce genre de sport ; l’ennemi est défiant : il faut de la finesse, varier les procédés, parer les feintes ; c’est une science complexe que nous devons déployer, ne livrant rien au hasard, visant avec justesse, non seulement pour conquérir, mais aussi pour retenir, ce qui est parfois difficile… c’est en un mot la femme dans toute sa féminité, son adresse de charmeuse.124
Rapprochez ces textes que nous venons de lire à ce que nous révélons au sujet de la perverse comtesse de Ségur en ce document, (Re)Voyez ND :
→ ou, ici : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)…; point 6.F.2.n, L’archétype de la garce, qu’on donne à lire à nos enfants ! (Voir un peu plus loin.)
Et après cela, c’est elles qui disent que nous considérons les femmes comme une sous-espèce, que nous les méprisons ! Jamais, vous ne verrez un Homme écrire, comme vous y verrez cette comtesse de Ségur parler si méchamment des Hommes, ainsi de la femme en général, et encore moins de Son épouse ou de Ses filles !
6.F.2.i - L’honnêteté féminine…, comme dans un miroir.
On peut conquérir par l’étude la manifestation extérieure de sensations irréelles… Le miroir est le maître, par excellence, pour acquérir cette science profonde de l’expression factice.125
Sans commentaire…
6.F.2.j - L’honnêteté féminine, la femme perverse.
L’esprit vient au secours des moins bien partagées : c’est à leurs intuitions qu’il convient de savoir quelles sont les armes dont elles se servent : la hautaine indifférence, l’enjouement, le luxe, la méchanceté, peuvent, selon la psychologie masculine, être des armes souveraines.126
Sans commentaire…
6.F.2.k - L’honnêteté féminine, lui dicte sa haine féminine.
Hérodiade en était outrée et méditait une vengeance digne de sa haine féminine.127
Sans commentaire…
6.F.2.l - L’honnêteté féminine, la danse et la vengeance.
[La tête de saint Jean Baptiste est en jeu…]
Toujours et partout la cruauté donnait la main à la volupté. Tel était l’effet enivrant de ces danses lascives, que les philosophes païens eux-mêmes ne craignent pas d’affirmer que l’âme la plus virile ne pouvait y résister. Avant eux le saint-Esprit avait dit : « Ne te trouve pas avec la danseuse, n’écoute ni le son de sa voix ni le bruit de son instrument de musique, de peur que tu ne périsses sous la puissance de sa séduction(1). »
(1) Cum saltatrice ne assiduus sis, nec audias illam, ne forte pereas in efficacia illius. Eccli, IX, 4.128
Attention à sa ‘séduction’ toute démoniaque, rappelez-vous Lucifer est ‘femelle’, de fait efféminé, où, tout se tient !
6.F.2.m - L’honnêteté féminine, sa langue de vipère.
Hérodiade, sa sœur, en fut profondément irritée. Comme c’est le propre des femmes, elle commença par se venger en paroles.129
Revoyez aussi comment un ange gardien a corrigé physiquement une sainte femme, Sainte Françoise Romaine, qui malgré tout conserve les travers ordinaires de la femme, ce pour avoir écouté des paroles venimeuses venant tout droit du Serpent.
(Re)Voyez ND : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)…; point au point DP-6.C.7, Sainte Françoise Romaine : magistralement giflée par son Ange.
6.F.2.n - L’archétype de la garce, qu’on donne à lire à nos enfants !
Voici la comtesse de Ségur qui parle des Hommes, et plus particulièrement des Époux : À bas les maris ! Ce sont des méchants drôles que le Bon Dieu a créés pour exercer la patience des femmes et pour leur faire gagner plus sûrement le ciel pour lequel elles ont été créées. Je suis sûre que parmi les gens du monde, une bonne moitié si précipité dans l’enfer ; quatre dixième grimpent difficilement jusqu’au purgatoire ; et un seul petit dixième arrive dans le paradis (je parle des hommes) les coquins ! Ils méritent bien leur sort.130
C’est-y pas beau comme elle parle de l’Homme, du Père, et plus particulièrement de l’Époux !, de son Époux !
Connaissez-vous la littérature pour enfants de cette pauvre personne ? Personne recommandée chaudement par Louis Veuillot, auteur pourtant nullement indigne et inintéressant nous vous le rappelons et qui fut si opposé à Mgr d’Orléans !
Voici, tous les personnages principaux sont des femmes, des filles. On dirait presque un monde d’Amazones. Les filles sont riches, aisées, intelligentes, belles, sages, pétillantes, éveillées, charitables, aimant glisser une pièce aux pauvres (Hommes il s’entend), etc. Toutes des filles modèles, excepté Sophie, mais rassurez-vous cela lui est vite venu. Un monde de femmes, de filles, de dames passant d’une partie de thé à une autre. Un monde de femmes, les Hommes que l’on croise accidentellement, sont lourds, bourrus (Général Dourakine) et ont heureusement les femmes pour les guider. Les petits garçons, sont pauvres (pauvre Blaise) peu malins, et dans le meilleur des cas des ‘faire-valoir’ pour leurs sœurs, leurs cousines, et toutes ces ‘grandes’ dames, etc…
Et c’est les Hommes qui méprisent la femme131 !?, parait-il…
6.F.3 - La femme…, ce qu’elle est d’après la tradition !
6.F.3.a - bons mots et facéties des pères du désert.
→ Ces philosophes qui croient à la logique absolue n’ont jamais essayé de discuter avec une femme !
→ La femme est un être superficiel. Mais rien de plus insondable que la superficialité d’une femme.
→ Les femmes âgées sont comme les buissons de roses, une fois les roses tombées, demeure les épines.
→ Les femmes devinent tout et ne se trompent que lorsqu’elles réfléchissent.
→ Les femmes vertueuses sont inconsolables des fautes qu’elles n’ont point commises.
→ Lorsque les yeux d’une femme sont voilés par les larmes, c’est l’homme qui n’y voit plus clair !132
Sans commentaire…
Pour encore plus de citations : (Re)Voyez ND : Proverbes, citations, sentences et bons mots, au sujet de la femme…
6.F.3.b - Le mensonge femelle : l’hypocrisie.
L’hypocrisie est la forme femelle du mensonge.133
Sans commentaire, encore.
6.G - Les douceurs pour l’Homme, venant de son épouse, de la femme.
La bonne femme existe !,
mais, où se cache-t-elle maintenant ?
Eh oui ! Elle existe la bonne femme, mais il faut la trouver ! Et maintenant, où ?
6.G.1 - Livre des proverbes, la bonne épouse.
- Que ta source soit bénie,
et mets ta joie dans la femme de ta jeunesse.
- Qu’elle te soit comme une biche très chère,
et comme un faon plein de grâce.
- Que ses mamelles t’enivrent en tout temps ;
que son amour fasse à jamais tes délices.
- Pourquoi, mon fils, te laisser séduire par une étrangère,
et te reposer dans le sein d’une inconnue ?134
Pour les commentaires, (Re)Voyez ND :
→ DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point 4.H.5.e, Attentions conjugales de l’épouse envers l’Époux.,
→ et précédents et suivants, soit tout le point 4.H, Les trois fins du Mariage.
6.H - Les dangers pour l’Homme, venant de l’extérieur.
6.H.1 - Je ne crains que les mauvais catholiques !
Comme Sainte Bernadette Soubirous, ne craignons que les mauvais catholiques : Je vais vous lire ce passage et, ensuite, un bref commentaire qui est paru sur Il Tempo d’hier. Nous sommes en décembre 1870, il y a la guerre entre la France et la Prusse, guerre qui a eu, pour l’Italie aussi, des conséquences importantes : c’est dans le contexte de cette guerre que la prise de Rome a été possible. Bernadette [Soubirous, ou Ste Bernadette de Lourdes] n’est désormais plus à Lourdes, mais dans le couvent des sœurs de Nevers. Les Prussiens sont désormais aux portes de Nevers, ils sont arrivés dans tous les départements voisins. Un notable de la ville est alors allé trouver Bernadette pour lui poser des questions. “Avez-vous eu dans la grotte de Lourdes, ou depuis cette époque, quelques révélations relatives à l’avenir et aux destinées de la France ? La Sainte Vierge ne vous aurait-elle point chargée pour la France de quelque avertissement, de quelque menace ?”. “Non” [Les Prussiens étaient protestants. C’est un peu comme si l’on parlait aujourd’hui, dans certains milieux, de musulmans]. “Il n’y aurait donc rien à craindre ?”. “Je ne crains que les mauvais catholiques”. “Ne craignez-vous rien autre chose ?”. “Non, rien”. Cette réponse me semble très actuelle.135
Il n’y a rien de tel que de ‘vrais amis’, ou des amis naturels, de par la religion, pour vous trahir.
Ne dit-on pas : Seigneur, occupez-vous de mes amis, je m’occuperai de mes ennemis.
En effet, partout, et surtout dans le milieu catholique, et pire chez les ‘meilleurs136’, qu’ils disent ! Chez les Trahitionaliste c’est toujours des prêtres qui sont à l’origine des drames conjugaux.
Indéniablement, l’épouse cherche un ‘contre-pouvoir’, et ce depuis Ève, pour ‘encadrer’, contrecarrer, handicaper son Époux. Et, ce contre-pouvoir chez de ‘bons’ chrétiens est le prêtre, ainsi que nous l’avons bien vu tout au long de cette étude.
6.H.2 - La haine de tout Roy, et principalement du Roy de la Famille.
Santerre donne le signal du retour. Dans la cour des Feuillants, le roi est souffleté par les cris de gens de la Halle qui s’y sont assemblés : « Vive la nation ! Mort au tyran ! » Puis ils entonnent le refrain de la Marseillaise.137
La haine du Roy, du Chef ne date pas d’aujourd’hui, revoyons les trois règnes :
1. Règne spirituel, de Notre-Seigneur Jésus-Christ combattu depuis le massacre des Saints Innocents et même bien avant… et dont le Dépositaire de cette Autorité est le Pape138. Pape qui fut si férocement combattu jusqu’à la fin du Règne de Pie XII ; et ‘Pape’ qui très ‘bizarrement’ depuis n’est que chahuté et ‘désobéi’, afin de laisser penser à une opposition, mais point du tout combattu.
2. Règne temporel, du Roy sur une Patrie139 ; Roy qui en France fut assassiné140 un certain lundi 21 janvier 1793 (d’où notre dernière citation)…
3. Règne spirituel et temporel, du Chef de Famille sur l’ensemble de Sa Maison, et qui est encore plus particulièrement combattu depuis la dernière (!?, soit 1945) guerre, et à qui l’on a déclaré une guerre totalement depuis plus de 30 ans…
2Deuxième épître de saint Paul à Timothée ~ Chapitre 4 – Nouveau Testament que vous trouverez en notre page Livres & sources.
3Saint Paul aux Éphésiens (3.13-21). Au missel, Epître du 16ème dimanche après la Pentecôte.
4Nous profitons de ceci pour dire qu’une mère qui porte l’enfant de son Époux bénéficie de la protection de son Ange gardien et de celui de l’enfant qu’elle porte en son sein.
5(Re)Voyez ND : DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point DP-4.F, Aberrations diverses dans l’Église.
6Mgr Jean-Joseph Gaume dit que chaque société, corporation, village, ville, État, etc. a son Ange gardien, voire même plusieurs. Lucifer étant le singe de Dieu, Lui-même a mis à toutes ces sociétés un démon particulier chargé de la faire se révolter.
7Catéchisme à l’usage des diocèses de France 1959.
8Convient-il en combattant l’erreur de combattre et de discréditer la personne qui la soutient ?
« Oui, très souvent il convient et non seulement il convient, mais encore il est indispensable et méritoire devant Dieu et devant la société, qu’il en soit ainsi » (Sarcla). En effet, les idées ne pourraient, réduites à elles seules, produire tout le mal dont souffre la société. « Elles sont semblables aux flèches et aux balles qui ne causeraient de blessure à personne, si on ne les lançait avec l’arc ou le fusil c’est donc à l’archer et au fusilier qu’on doit s’en prendre d’abord » (id.).
Les Pères fournissent la preuve de cette thèse. Les œuvres de Saint Augustin, par exemple, portent presque toutes en tête le nom de l’auteur de l’hérésie qu’elles combattent Contra Fortunatum, contra Felicem… etc…
Vous pouvez lire la suite et la référence ici : Peut-on discréditer un ennemi ?
9« Catéchèse catholique du mariage – 1963 – abbé Barbara » page 82, q 89, réf. page 695.
10ANB, qui se faisait abusivement appeler ‘père’. Alors que Père n’est que pour les moines pour nommer leur supérieur. Ainsi, des bonne-sœurs Dominicaines de la même Trahition, exigent scandaleusement que des Chefs de Famille leurs parlant de leurs enfants à elles confiées, leur adresse la parole en disant ‘ma mère’ ! Quel scandale, un Chef dire à une pauvre bonne-sœur, ‘ma mère’ ! Ne dites jamais à un prêtre ‘père’, c’est faire rentrer dans la tête de nos femmes (épouse et filles) que vous êtes un petit enfant inféodé à ‘eux’ !
11Math. 18, 37.
12Jean 3, 21.
13Math. 5, 37.
14(Re)Voyez ND : DP-7.B.6, Prenez garde à ces paroles de serpent, dit Pie XII à la femme.
15(Re)Voyez ND : DP-05, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I) ; point DP-5.C.7, Le Chef n’est pas revêtu de l’Autorité, elle lui est inhérente. ; point DP-5.C.9, L’autorité du Père est la plus complète : sacerdoce et empire.
16« Œuvres complètes – 881 - Saint Jean Chrysostome », réf. page 692.
17(Re)Voyez ND : DP-2.C.2.h, Et, si l’Époux devait désobéir à Son Dieu ?
18(Re)Voyez ND : entre autres DP-4.A.1, Préambule à l’étude du Mariage., et DP-4.E.1.d, Leur définition du Mariage, est une redoutable bombe à retardement.
19(Re)Voyez ND : DP-6.C.2, À tout prix !, même dans le plus déraisonnable et impossible !
20(Re)Voyez ND : DP-4.I.1, Qui prend, qui est pris, qui porte l’anneau nuptial ?
21« Le mariage – 1869 - Mgr d’Orléans », page 694.
22Mgr Félix Dupanloup, ou Mgr d’Orléans est bien critiqué, même maintenant dans la Trahition. De cette dernière, sachez que c’est notamment parce qu’Il a si bien parlé du Père de Famille, et que cela donne des boutons aux mauvais prêtres.
Lisez bien ce document où nous dénonçons bien cettedite mise en garde de ladite Tradition : (Re)Voyez ND : CN-2008-09, Mgr d’Orléans, Louis Veuillot, comtesse de Ségur.
23Romains 14.4.
24Chapitre V – La femme et l’homme. « Histoire société domestique – 1844 – Mgr Gaume », réf. page 694.
25(Re)Voyez ND : DP-10, Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (I) ; point DP-5.C.10, L’autorité du Père plus large que celle du Législateur.
26Liste, le Sacrement de Mariage n’appartient pas à l’Église catholique ! (Re)Voyez ND :
→ DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point 4E1d, Leur définition du Mariage, est une redoutable bombe à retardement.
→ Idem, point 4C1a, ‘Devant l’Église’ ne dit pas ‘dans l’église’., et surtout la note en bas de page, suite à : Ce n’est qu’assez ‘tardivement
→ DP-08, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (II)… ; point 8E1a, Notre ‘acharnement’ à dénoncer la Trahition…
→ CN-2011-05, Site ‘Réponses catholiques’ – Vous persistez à vous prétendre catholiques !, alors poursuivons… ; point 5B1a, En titre, nous avons dit ‘capter’.
→ CN-2010-13, Du détournement de paroles saintes, et diverses autres escroqueries !; point 13B2, L’Église catholique, peut-Elle règlementer le Sacrement de Mariage ?
27Rappelons : a) que l’Église n’a fait qu’incorporer le Sacrement de Mariage à ses Sacrements et ce que très tardivement encore ! b) que NSJC n’a pas du tout institué ce Sacrement, ou alors où et quand ?, nous attendons toujours un contradicteur qui voudra bien venir s’embourber ! Voir les deux premiers chapitres.
28Je fléchis les genoux devant le Père de Notre-Seigneur Jésus-Christ, de qui toute paternité, au ciel et sur la terre, tire son nom.
Saint Paul Ep 3, 14, « Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 692.
29Évangile selon Saint Mathieu, chapitre 5, 29-30, Nouveau Testament que vous trouverez ici : Livres & sources.
30Parmi d’autres : Si elle n’obéit pas à son mari lorsqu’il ne lui donne que des ordres légitimes ; et spécialement à l’égard des devoirs du mariage, que les femmes sachent bien que toutes les fois qu’elles désobéissent à leurs maris elles commettent un péché mortel ;
« Instruction au peuple - 1787 - Saint Alphonse de Liguori », réf. page 693.
31Cette expression bien connue, corriger de main de maître, est particulièrement appropriée pour l’Époux qui est bien le Maître de son épouse !
32Parmi d’autres : « Comment, disent-ils, je ne puis pas châtier ma femme lorsqu’elle se conduit mal ? - Vous le pouvez sans doute, mais seulement lorsqu’il y a un motif grave ; et particulièrement lorsque c’est un motif qui tient à la décence, et lorsque, après avoir été plusieurs fois avertie, votre femme ne s’est pas corrigée ; seulement alors vous pouvez la châtier.
« Instruction au peuple - 1787 - Saint Alphonse de Liguori », réf. page 693.
33(Re)Voyez ND : DP-08, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (II)… ; point DP-8.E, La femme, en ‘danger’, ce qu’elle doit considérer…
34Luc, 8,11. Nouveau Testament que vous trouverez ici : Livres & sources.
35Homélie de saint Grégoire le Grand (+ 604) sur l’Évangile, 1, 15, 1-24, PL 76, 1131-1133
36Idem que pour : Pouvoir et pouvoir (5.B.3.f), Église et église (4.C.1.a), lié et liée (4.I.1.a), fornication et fornication (6.C.9.a), etc. Du reste il existe la même distinction entre discipliner (donner une règle) et discipliner (fouetter).
37(Re)Voyez ND : DP-05, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I) ; point DP-5.C.9, L’autorité du Père est la plus complète : sacerdoce et empire.
38Prov., XIV, I.
39Fin du chapitre « L’obéissance », « Les instrument de la perfection – 1936 - Dom Jean de Mauléon », réf. page 695.
40(Re)Voyez ND : tout le point DP-3, Le Mariage, son origine, sa Mission divine.
42(Re)Voyez ND : DP-6.G.1, Livre des proverbes, la bonne épouse., et autres…
43N-S Jésus-Christ - Évangile selon Saint Mathieu, chapitre 7, verset 15.
44(Re)Voyez ND : DP-4.E.1.e, On ne peut dire une chose et son contraire, pour l’Église.
45D’après les visions d’Anne Catherine Emmerich, T III, « Établissement de l’Église », page 548.
48(Re)Voyez ND : DP-5.B.2.c, Où l’on en vient à parler d’urinoirs…
49« Sermon Toussaint – 1153 – St Bernard », réf. page 693.
50Pour ‘femme’ au lieu de Ève, (Re)Voyez la note 7, ch. 4.B.1.a, page 135.
51« Sermon Toussaint – 1153 – St Bernard », réf. page 693.
52Vie de Sainte Françoise Romaine, de ***
53« Concile de Trente - 1545 - Le Mariage », réf. page 693
54(Re)Voyez ND : DP-10, Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (I) ; point DP-6.C.10, Saint Alphonse de Liguori : vous pouvez sans doute la châtier…
55III, Q62, S1, « Somme Théologique de Saint Thomas - 1272 - Le mariage », réf. page 693.
56§ III. Des devoirs des maîtres, des domestiques et des personnes mariées. - XXVIII. En ce qui concerne les personnes mariées. « Instruction au peuple - 1787 - Saint Alphonse de Liguori », réf. page 693.
57(Re)Voyez ND : DP-6.A.4, Saint Jean Chrysostome : Il peut la priver des Sacrements.
58(Re)Voyez ND : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)…; point DP-6.C.10, Saint Alphonse de Liguori : vous pouvez sans doute la châtier…
59(Re)Voyez ND : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)…; point DP-6.C.9, Saint Thomas d’Aquin, Docteur de l’Église : user aussi de coups !
60Psaume 44, XLV, (hébreu 45). Ancien Testament que vous trouverez ici : Livres & sources.
61Les références ont déjà été amplement données…
63À cette époque, et contrairement à ce que l’on nous raconte, les enfants étaient bien plus mûrs et bien plus tôt que maintenant.
64Les sources sont données dans plusieurs endroits de ce document. (Re)Voyez ND : entre-autres DP-01, Présentation de cette étude. ; point DP-1.C.4, Ce document ne veut pas de tout réécrire, mais…
65Photos bien visibles sur le PDF ‘Document principal’, page Nos divers documents
Photo I et II : photo privée faite par une personne bien complaisante.
Photo III : Photo de cette miséricorde de stalle de Monastère royal de Brou, église et musée, envoyée gracieusement par le Conservateur du patrimoine au Musée de Brou : http://brou.monuments-nationaux.fr/
Une bonne description et de belles photos à :
66(Re)Voyez ND : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)…; point DP-6.C.3, L’Apôtre St Thomas conseille à un Époux de fouetter son épouse.
67L’homme tranquille, un film de John Ford, à 1 heure 40 de visionnement.
69L’homme tranquille, un film de John Ford, à 1 heure 47.35 de visionnement.
71Venant de Malin : le Malin, Satan, le démon.
-MALIN, -IGNE : Qui est enclin à faire du mal, du tort à autrui.
72L’homme tranquille, un film de John Ford, à 1 heure 47.59 de visionnement.
75(Re)Voyez ND : DP-2.C.2.c, Donc, elle devait obéir aveuglément, et ce sans avoir besoin de comprendre.
76N° 2856 du 2 mai 2008, page 10 de Rivarol, page 692.
77Cela sera vu plus loin, mais tous ceux qui votent dans ce système ‘démocratique’ ont accepté cette ‘invasion’ qui est de fait une invitation. En effet, et pour le moins, si leurs idées avaient triomphé, ils diraient ‘la vérité’ a gagné. Or donc, c’est la règle du jeu de cartes pipées, c’est forcément la vérité qui gagne, car elle est dans le plus grand nombre ! L’on ne peut dire que le jeu n’est pas truqué lorsque l’on gagne et qu’il l’est lorsque l’on perd !
78(Re)Voyez ND : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)…; au début de ce point DP-6.C, Seul Il a Pouvoir de discipliner son épouse, seul Il le Peut.
79Et plus particulièrement aux chapitres :
→ DP-05, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I) ; ou DP-5, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I)…
→ DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; ou DP-7, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I)…
80Nous parlerons plus loin des pensions alimentaires qui est une pousse au crime !
81(Re)Voyez ND : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point DP-7.E, La femme, comme insoumise, ce qu’elle encoure…
82Saint Alphonse de Liguori. (Re)Voyez ND : DP-18.C.5, Saint Alphonse de Liguori - Œuvres complètes - Instruction au peuple.
83Voici ce que le Saint Curé d’Ars disait : Ô mon Dieu ! que l’ignorance damne du monde.
Le Saint Curé d’Ars et la famille, fin du chapitre II.
86(Re)Voyez ND : DP-09, Les Prêtres de l’Église catholique ; point DP-9.C.13, ±1846 - La Très-Sainte Vierge Marie à La Salette.
87(Re)Voyez ND : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point DP-7.B.6, Prenez garde à ces paroles de serpent, dit Pie XII à la femme.
88(Re)Voyez ND : DP-10, Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (I) ; point DP-10.B, Non non, je ne divorce pas, je me sépare ! ; et DP-10.C, L’Église catholique et ladite séparation matrimoniale…
89(Re)Voyez ND : DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point Il suffit d’écouter les blablabla de Sarkozy lors de la visite d’Obama en France, le 25 juillet 2008 :
« L’Afghanistan est une guerre que nous ne pouvons pas nous permettre de perdre », a déclaré Barack Obama, estimant qu’il faudrait « au moins deux brigades américaines supplémentaires » même s’il « comprend que cela soit très difficile politiquement en France et en Europe ». « La décision d’envoyer des hommes pour que le Moyen-âge ne revienne pas est stratégique », a renchéri Nicolas Sarkozy, en parlant des talibans ? après les remerciements de Barack Obama pour ces renforts.
De fait, et peut-on nous aider à trouver la citation exacte, ce que Sarkozy disait était plus ou moins ceci : nous allons mettre la pâté aux talibans qui veulent imposer leur loi à leurs femmes, nous sommes sortis du moyen-âge et nous ferons tout pour ne pas y retourner !
Et voici un bon mot que Patrick Gofman a eu en parlant de Bernard Cantat, ‘Mari’ violent et de son meurtre de Marie Trintignant : On t’a dit de la battre, Ducon, pas de l’abattre ! (Voir son pamphlet « Bats ta femme tous les jours »).
90Présidente de la commission à la condition de la femme, attachée au ministère de l’intérieur sur Europe I début mars (2001 ?) vers 19.05.
(Re)Voyez ND : DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point DP-3.B.10.d, Lisons comment ce damné de Lucifer s’y prend :
91« Sermon Toussaint – 1153 – St Bernard », réf. page 693.
92Il suffit d’écouter les blablabla de Sarkozy lors de la visite d’Obama en France, le 25 juillet 2008 :
« L’Afghanistan est une guerre que nous ne pouvons pas nous permettre de perdre », a déclaré Barack Obama, estimant qu’il faudrait « au moins deux brigades américaines supplémentaires » même s’il « comprend que cela soit très difficile politiquement en France et en Europe ». « La décision d’envoyer des hommes pour que le Moyen-âge ne revienne pas est stratégique », a renchéri Nicolas Sarkozy, en parlant des talibans ? après les remerciements de Barack Obama pour ces renforts.
De fait, et peut-on nous aider à trouver la citation exacte, ce que Sarkozy disait était plus ou moins ceci : nous allons mettre la pâté aux talibans qui veulent imposer leur loi à leurs femmes, nous sommes sortis du moyen-âge et nous ferons tout pour ne pas y retourner !
93(Re)Voyez ND : DP-01, Présentation de cette étude. ; point DP-1.C.1.g, Le temps n’est plus à la romance, mais à la ré-action, à la re-conquête ! :
94Impossible !, sauf pour ce monde de fous. Car en effet son corps Vous appartient, comme Vous ‘appartenez’ à Votre épouse, et que de plus se refuser est un péché mortel, et c’est un crime encore bien plus grand pour l’épouse ! Ne dit-on pas du reste : le devoir conjugal ! (Re)Voyez ND : DP-3.B.10.c, Avertissement à ceux qui n’ont pas encore été touchés, croient-Ils…, et DP-4.H.5, 3ème fin - peut-on refuser l’acte conjugal ?
95http ://intransigeants.wordpress.com/ (ce site a été supprimé par WordPress depuis le 7 mars 2011, voyez : Fermeture définitive du blog les Intransigeants « La Question ...)
96« Concile de Trente - 1545 - Le Mariage », réf. page 693
97Comme les enfants qui répliquent insolemment ‘j’ai le droit !’, ils n’ont, nous avons plus que cela à la bouche, ‘j’ai le droit’ ! Non nous n’avons pas le ‘droit’, d’avorter par ex., mais le Devoir de faire ce qui est Droit ! Et ce qui est Droit pour la femme c’est d’être soumise en toutes choses [à son Époux], et ce qui est Droit pour l’Époux c’est de contenir chacun dans son devoir !
98« Sermon Toussaint – 1153 – St Bernard », réf. page 693.
99« Instruction au peuple - 1787 - Saint Alphonse de Liguori », réf. page 693.
103(Re)Voyez ND : DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point DP-3.D, L’Homme, engendre Son enfant, Il est son Maître.
104(Re)Voyez ND : DP-10, Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (I) ; point DP-10.B, Non non, je ne divorce pas, je me sépare ! ; et DP-10.C, L’Église catholique et ladite séparation matrimoniale…
105(Re)Voyez ND : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point DP-7.B.1, Les démons n’attaquent que les femmes affranchies de l’Homme !
106Que l’on ne nous amène surtout pas le fait qu’il faudrait deux salaires pour s’en sortir financièrement, ce faux argument sera démonté plus en avant dans cette étude.
107« Concile de Trente - 1545 - Le Mariage », page 693.
108(Re)Voyez ND : DP-2.C.2.b, Les commandements de Dieu ont été donnés à qui ?, et autres.
109« Sermon Toussaint – 1153 – St Bernard », réf. page 693.
110(Re)Voyez ND : DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point DP-3.A.2, Définition des termes nommer et appartenir., et suite…
111« La mascotte du Régiment », un film de John Ford, vers la 48ème minute.
113, vient de malin, comme le Malin, le Crochu, Lucifer !
-Malicieusement : A.− Vieilli. Qui est habité des forces insidieuses du mal. L’esprit malicieux du piano cogna à coups pressés (Arnoux, Suite var., 1925, p. 5) :
1. La manière dont elle se plaisait à ourdir ses conspirations contre le bonheur domestique du pauvre prêtre portèrent [sic] l’empreinte du génie le plus profondément malicieux. (Balzac, Curé Tours, 1832, p. 206.)
114(Re)Voyez ND : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point DP-7.B.3, Saint Paul : dit la révolte, la transgression de la femme !
115‘Les Gloires de Marie’ par Saint Alphonse-Marie de Liguori, au chapitre IV.
http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/Ligori/Marie/chapit4.hhtml
116Matthieu, 2, 13. Nouveau Testament que vous trouverez ici : Livres & sources.
117Règles du discernement des esprits, 1re semaine, 12e règle. Cité par : « Le combat de la pureté. - 1876 Georg Hoornaert », réf. page 694.
118À la page 147, §7 et s de « Le combat de la pureté. - 1876 Georg Hoornaert », page 694.
119À la page 147, citant la p. 45 de « Le bréviaire de la femme ».
120À la page 148, §3, citant Vie de sainte Thérèse, par une Carmélite, T. II, p 433).
121À la page 148, §4.
122À la page 149, §5 et s.
123page 107, citant de la page 145-147,« Le bréviaire de la femme ».
124idem, page 108.
125idem, page 109-110.
126idem, page 110-111.
127Biographies évangéliques, p. 122, l.2.
128Biographies évangéliques, p. 122, XVI, l7.
129Biographies évangéliques, p. 125, XXII, l5.
130Lettre de la comtesse Sophie de Ségur née Rostopchine, à Madeleine de Malaret, 4 août 1869.
Avec moult réserves, une source : http://rvcontes.blogspot.fr/p/nee-rostopchine.html
131(Re)Voyez ND : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)… ; point DP-6.F.2.h, Savoir circonvenir l’ennemi, l’Homme.
132Bons mots et facéties des pères du désert. De Pierre Gribaudi.
133Rivarol n° 2639, du 10 octobre 2003, page 6, Epuration ethnique et…
134Proverbes 5, 18-20. Ancien Testament que vous trouverez ici : Livres & sources.
136De fait, nous pourrions dire les pires ! En effet, chez les modernistes l’on rencontre parfois plus de charité que chez les Trahitionaliste.
138De la Vraie Église catholique, mais pas forcément de Rome ! (Re)Voyez ND : Accueil, vocation…, ou nous disions : Tout est une question d’Autorité, aussi, il est envisagé de montrer que le problème actuel de la ‘disparition’ de L’Église (Éclipsée) (comme celle du reste de l’état) est uniquement un problème d’Autorité. Et, il sera démontré que le problème de la messe est un ’faux’ problème, une voie de garage. L’unique problème est l’Autorité !
139Nous signalons que Patrie vient de Père, et qu’évidemment de dire la mère Patrie est un mensonge !
140De fait, c’est ce même Roy et cette ‘noblesse’ qui sema, ou tout au moins permis que ‘on’ sema le terreau de cette révolution, qui comme c’était prévisible les emporta dans son souffle démoniaque…

2 commentaires:

  1. Bien que l’ayant déjà fait précédemment, et venant juste de l’actualiser et le compléter, nous remercions sincèrement Dicopsy.com (1) de s’être (re)fait le relais de notre travail ainsi : « Un document créé par des catholiques pour remettre les choses au point à propos du mariage. Critères de valeur, preuves historiques et philosophiques, etc. Leur site ici : Restauration de la famille. »

    Ensuite vient un extrait de cette page, les cinq (5) premiers paragraphes du point « 6F1A, L’intuition féminine, une bien triste plaisanterie… ».

    Nous ne manquerons point de bien prier pour le responsable de ce site.
    Que le Bon Dieu le bénisse, lui et tous les siens !

    Pour la Vérité,
    QJSIOJC

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  2. Chers Lecteurs !,

    - Un jour pas si lointain !, vous en souvenez vous ?, il y avait de vrais Hommes !, qui rien qu’avec une petite chiquenaude mettaient au tapis leur femme revêche, et ensuite l’on en parlait plus !

    - Maintenant ce n’est des féminisée qui sont mis au tapis rien que par une drôlesse !, certes enférocée et galvanisée par lesdits libérateurs de la femme....

    Hommes !, c’est cela que vous avez vous-même très sciemment établi rien que par votre lâcheté, en écoutant les pipeautages de vos laveurs de cerveaux, vosdits Maîtres à penser :
    J.O à la maison: Une femme tue son mari de... 318 coups de couteau !
    Adresse : http://www.wikistrike.com/article-j-o-a-la-maison-une-femme-tue-son-mari-de-318-coups-de-couteau-122285713.html

    Veuillez absorber ce radical contre-poison :
    - C’est le propre d’une femme, lorsqu’elle se dispute avec un homme, de perdre courage et de prendre la fuite, aussitôt que celui-ci lui montre un visage ferme ; l’homme, au contraire, commence-t-il à craindre et à reculer, la colère, la vengeance et la férocité de cette femme s’accroissent et n’ont plus de mesure.
    Source : voir ci-dessus en cette page, point 6.F.2.a - Notre ennemi ressemble à une femme.

    Hommes, pitié pour vous!, sortez de la torpeur où ils vous ont mis !...

    Pour la Vérité,
    QJSIOJC

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