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jeudi 3 avril 2008

DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine.

Du : 03.04.2008, existe1 en PDF ici : ND. Actualisé : lun. 11 nov. 2019, 07.49.
Notez que depuis sa publication nous avons ajouté un chapitre : Annexes diverses
Table de ce chapitre de notre Document principal, DP-…
3 - Le Mariage, son origine, sa Mission divine
3.A - L’Homme est établi Propriétaire, Maître de toute la création 61
3.A.1 - Propos préliminaires 61
3.A.2 - Définition des termes nommer et appartenir 61
3.A.2.a - Le terme nommer 61
3.A.2.b - Le terme appartenir 62
3.A.2.c - Mais aussi 62
3.A.3 - Adam est engendré, formé par Le Seigneur Dieu 63
3.A.4 - Adam, établi maître de toute la création, nomme les animaux 66
3.A.4.a - Revenons à cette phrase : Il les amena devant Adam 68
3.A.5 - Saint Jean Chrysostome raconte la nomination des animaux 68
3.A.6 - Dieu donne à Adam d’enseigner la femme encore inexistante 69
3.A.6.a - Saint Jean Chrysostome dit bien que c’est L’Homme qui enseigne sa femme 70
3.B - L’Homme, engendre la femme, Il est son Maître 72
3.B.1 - Propos préliminaires 72
3.B.2 - Il ne se trouvait point d’aide pour Adam qui lui fût semblable 72
3.B.2.a - Commençons par une digression nécessaire 72
3.B.2.b - Revenons à notre propos 73
3.B.3 - Voilà maintenant l’os de mes os, et la chair de ma chair 74
3.B.3.a - Os de mes os, chair de ma chair 74
3.B.3.b - Il doit être bien remarqué que, et ce en toute pudeur 75
3.B.3.c - Nous devons anticiper quelque peu sur le moment où la femme, de fille d’Adam devient son épouse 75
3.B.3.d - Ceci dit, lisons l’Évangile selon Saint Luc, au chapitre 8 75
3.B.3.e - Maintenant, voici où nous devions arriver 76
3.B.3.f - Laissons ici la parole à Saint Jean Chrysostome 77
3.B.3.g - Reprenons le cheminement de notre raisonnement 78
3.B.3.h - Et, c’est ainsi que sera béni l’Homme qui craint le Seigneur 78
3.B.4 - Nous allons parler de fontaine 79
3.B.4.a - Notre épouse est un jardin fermé, une fontaine scellée 81
3.B.4.b - Aussi, en considération de ce qui vient d’être énoncé 83
3.B.4.c - Mais, revenons à la semence qui tomba 83
3.B.4.d - Maintenant, parlons du Plan de Dieu lorsqu’Il se réalise 85
3.B.5 - Iconographie du Moyen-Âge chrétien, Adam engendre la femme 85
3.B.5.a - Répétons-nous quelque peu 86
3.B.5.b - Les parents ne font pas un enfant, ils le pro-créent 86
3.B.5.c - Dans l’acte conjugal les parents sont co-créateurs avec Dieu, ils pro-créent avec Dieu 88
3.B.6 - Manuscrit juif, montrant Adam engendrant la femme 89
3.B.7 - Miniature italienne représentant la génération de la femme 90
3.B.7.a - Sans langue de bois : poursuivons le raisonnement 90
3.B.8 - Quelques autres tableaux anciens 91
3.B.9 - Saint Jean Chrysostome dit aussi qu’Adam a engendré la femme 92
3.B.10 - Homélies sur la Genèse de Saint Jean Chrysostome 92
3.B.10.a - Avant cet astérisque 93
3.B.10.b - Après cet astérisque 93
3.B.10.c - Avertissement à ceux qui n’ont pas encore été touchés, croient-Ils 94
3.B.10.d - Lisons comment ce damné de Lucifer s’y prend 94
3.B.11 - Adam a engendré la femme, comme le Christ a engendré l’Église 95
3.B.12 - Anne-Catherine Emmerich voit la femme engendrée par Adam 96
3.C - L’Homme, épouse la femme, Il est son Maître 98
3.C.1 - Propos préliminaires 98
3.C.2 - Adam, reconnaît la femme, sa fille, la nomme et l’épouse 98
3.C.2.a - Dieu fait venir la femme tirée du sein d’Adam à Adam pour qu’il la reconnaisse et la nomme 99
3.C.3 - Et ils seront deux dans une seule chair 100
3.C.3.a - L’Homme quittera son père et sa mère 100
3.C.3.b - Ils seront deux dans une seule chair 102
3.C.4 - Adam qui a tout pouvoir sur sa femme, la renomme Ève 102
3.C.4.a - Parce que vous avez écouté la voix de votre femme 103
3.C.4.b - Adam donna à Sa femme le nom d’Ève 104
3.C.4.c - Reprenons, résumons notre dernier propos 104
3.C.4.d - Mais, il existe bien des Maris dits violents 106
3.C.4.e - Et c’est la femme qui se plaint du mal entré en ce monde 106
3.D - L’Homme, engendre Son enfant, Il est son Maître 108
3.D.1 - Propos préliminaires 108
3.D.1.a - Tout ce chapitre est très important 108
3.D.1.b - Ci-dessus, nous avons écrit en cas dedit différent 108
3.D.1.c - Confirmons encore, aucun mépris pour la femme, l’épouse 111
3.D.2 - Je fléchis les genoux devant le Père 111
3.D.3 - À Abraham, Dieu dit qu’Il va avoir un fils et devra le nommer 113
3.D.3.a - Au chapitre 17, verset 19 113
3.D.3.b - À Sara, ne lui revient que 114
3.D.3.c - Au chapitre 21, verset 3 114
3.D.4 - Abraham offre Son fils en holocauste 115
3.D.4.a - Dieu dit : Abraham, Abraham 115
3.D.5 - Zacharie engendre un fils qu’Il nomme Jean 116
3.D.5.a - Ta femme T’enfantera un fils auquel que Tu donnera le nom de Jean 117
3.D.6 - Saint Joseph, Père putatif, nomme Son fils Jésus 118
3.D.6.a - Un cas extraordinaire qui confirme en tous points ce qui précède 118
3.D.7 - Des aberrations incroyables, inouïes, en la Très-Sainte Famille 119
3.D.7.a - Généalogie de NSJC, ou, à qui appartient l’enfant 119
3.D.7.b - De plus, voyons de plus près le texte : de laquelle est né Jésus 121
3.D.7.c - La TSVM était, comme toute femme, totalement incapable de se gouverner 122
3.D.7.d - La TSVM dénuée de toute Puissance est pourtant Toute Puissante 122
3.D.7.e - La TSVM étant totalement incapable de se gouverner, devait être confiée 124
3.D.7.f - Reprenons, suivons les Maîtres successifs de la TSVM 124
3.D.7.g - La TSVM, pour aller chez Saint Jean, devait nécessairement obéir 125
3.D.7.h - Puisque nous parlons de la TSVM 125
3.E - Annexes diverses 126
3.E.1 - Modifications apportées à ce document 126
3.A - L’Homme est établi Propriétaire, Maître de toute la création
3.A.1 - Propos préliminaires
Dans cette partie, nous allons étudier la création d’Adam, la donation de toute la création qui est antérieure à Adam, et la prise de possession de celle-ci par Adam.
3.A.2 - Définition des termes nommer et appartenir
À qui appartient tout ce qui a été créé avant Adam, est-ce pour Lui, pour Lui servir d’écrin ?
Comme nous allons le voir ensuite, toute la création appartient à Adam ! Elle Lui a été formellement donnée par Dieu-même dans le paradis terrestre, ainsi que la femme qu’Il a engendrée ultérieurement assisté de Dieu son Accoucheur, et qui est donc Sa fille. Ensuite, Il épousera la femme, qu’Il re-nommera Ève encore plus tard.
Nous allons souvent employer les termes nommer et appartenir, aussi, nous devons au préalable les bien définir selon le contexte de cette étude, et pour cela, nous devrons légèrement anticiper sur les développements ultérieurs.
3.A.2.a - Le terme nommer
-Nommer : Attribuer un nom à quelqu’un, à quelque chose.
Nommer est donc un acte d’autorité que l’on exerce sur quelqu’un ou quelque chose qui vous appartient.
Nommer, c’est re-connaître sa possession, c’est prendre possession de quelque chose ou de quelqu’un qui vous appartient déjà, c’est un acte d’Autorité.
Qui a nommé tous les êtres vivants de la création, que Son Dieu Lui donna, compris la future femme et les enfants qu’elle aura portés pour Adam ? Comme nous allons le voir : Adam !
La possession des personnes sus-nommées implique des obligations :
→ intellectuelles : moraliser, enseigner, guider, commander, reprendre, gouverner, etc.
→ matérielles : nourrir, protéger, habiller, défendre, entretenir, etc.
3.A.2.b - Le terme appartenir
-Appartenir : • v. impers. Être du devoir de qqn : Il ne vous appartient pas de prendre des mesures. (© Larousse 1996).
Il n’appartient qu’au Chef, et à Lui seul, de guider Son épouse et Ses enfants, et de gérer tous Ses biens. Conséquemment, il n’appartient à personne de dire ou de faire quoi que ce soit envers ou contre ce qui appartient au Chef. En effet, l’on ne peut appartenir qu’à une personne.
En Sa Maison, l’épouse doit être pour son Époux une aide dans la mesure où elle reste parfaitement sous Son Autorité.
3.A.2.c - Mais aussi
-Appartenir : Être la propriété de qqn : Ce livre m’appartient. (© Larousse 1996).
Ce qui va être bien confirmé dans l’étude qui suit, et qui du reste est la vraie définition d’appartenir, l’épouse et les enfants appartiennent physiquement au Chef, et à Lui seul. À Lui seul, il appartient donc de les instruire, les guider, les corriger, et les contraindre le cas échéant.
3.A.3 - Adam est engendré, formé par Le Seigneur Dieu
Version Fillion : 2,7. - Le Seigneur Dieu forma donc l’homme du limon de la terre ; Il souffla sur son visage un souffle de vie, et l’homme devint vivant et animé.2
Version Glaire : 2,7. - Le Seigneur Dieu forma donc l’homme du limon de la terre, et Il souffla sur son visage un souffle de vie, et l’homme fut fait âme vivante.3
Saint Paul : Je fléchis les genoux devant le Père de Notre-Seigneur Jésus-Christ, de qui toute paternité, au ciel et sur la terre, tire son nom.4
Ces deux traductions de la Genèse et la citation de Saint Paul, sont mises intentionnellement ensemble, car elles sont complémentaires.
Adam a été formé par Dieu, engendré pourrions-nous dire, et Il reçu son Âme et son Esprit du Seigneur Dieu lorsque Dieu Lui souffla sur son visage un souffle de vie.
Ainsi, Adam est le Fils, non par engendrement comme Notre-Seigneur Jésus-Christ (NSJC) mais par création (Notre Père qui êtes aux cieux…5), du Seigneur Dieu, Il est Son Image ! Adam participe tellement à la Puissance de Dieu que tous les Attributs de la Paternité Lui ont été cédés sans possibilité d’aucun retrait, sans risque d’aucune diminution, et comme le dit si bien Mgr Delassus parmi tous les autres, le pouvoir du père est celui qui, dans l’ordre naturel, offre au plus haut degré les caractères d’une institution divine6. Nous verrons même plus loin que Le Chef de Famille est une Image encore plus parfaite de la Puissance divine que ne l’est le Souverain Pontife, le Pape.
Pour : encore plus parfaite de la Puissance divine :
Note : ajouté lors d’une relecture le samedi 26 octobre 2019.
Le Chef de Famille est l’Image de Dieu le Père !, Son représentant (Il Le représente) en la Famille !
Le Pape est le représentant de Dieu le Fils, NSJC, son Image pourrions-nous dire.
Or, saint Paul décrit la préséance des Personnes divines ainsi : Je veux cependant que vous sachiez que le chef de tout homme, c’est le Christ, que le chef de la femme, c’est l’homme, et que le chef du Christ, c’est Dieu. (1 Cor 11, 3) Nous remarquons au passage, de la bouche de Saint Paul, que lorsque l’on dit Dieu tout court, ou ailleurs le Seigneur Dieu, il s’agit bien non des trois Personnes divines mais uniquement de Dieu le Père.
Nous le remarquons aussi de NSJC tout de même lorsqu’Il dit : Ainsi, ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni. (Mat 19.6). NSJC ne dit pas ce que j’ai uni, et ni ce que nous avons uni, Il dit bien donc ce que Mon (votre, notre) Père a uni ! Nous reverrons ceci en détail lorsque nous parlerons de l’institution du Sacrement de Mariage (SM) par Dieu le Père et non par NSJC !
Cette préséance nous est confirmée par Celui-là même dont le Pape est représentant sur terre, NSJC qui dit : Vous avez entendu que Je vous ai dit : Je M’en vais, et Je reviens à vous. Si vous M’aimiez, vous vous réjouiriez de ce que Je vais auprès du Père, parce que le Père est plus grand que Moi.
Ainsi donc en la sphère familiale, la Famille, la Maison, en et hors la maison, l’Époux-Père représentant de Dieu le Père a la préséance sur le Pape qui représente NSJC soumis à son Chef Dieu le Père qui est plus grand que Lui !
Conséquemment, l’Époux-Père est plus grand que le Pape quant-à la Famille !
La femme, renommée plus tard Ève, ne reçu pas d’esprit de Dieu, le Seigneur Dieu ne souffla pas sur son visage un souffle de vie. La femme a reçu son esprit d’Adam ; elle a reçu un esprit ordonné à sa mission. Elle ne reçut aucune puissance d’aucune sorte, pas même la maternité qui n’est et ne sera jamais une cause mais bien une conséquence ; sa mission est de servir.
Ainsi, l’expression fille de Dieu n’existe pas. La femme est la fille de l’Homme.
La Paternité existe, Elle est ; la maternité n’existe pas, elle n’est pas. La Paternité existe en tant que Puissance, cause ; la maternité existe, nous devrions dire est constatée, en tant que conséquence de la Paternité.
C’est tellement vrai, que la maternité n’existe pas, que Saint Paul ne dit pas que le Père de Notre-Seigneur Jésus-Christ, de qui toute paternité et maternité, au ciel et sur la terre, tire son nom.
La Paternité existera toujours, puisqu’Elle existe aussi au Ciel, comme nous le rappelle Saint Paul, étant la Puissance même de Dieu, et que la maternité n’existera jamais, même au Ciel en tant que Puissance, mais toujours en tant que conséquence.
C’est tellement Vrai, que la Très-Sainte Vierge-Marie (TSVM), tout-en étant la Reine du Ciel, Reine des Anges, Reine des Saints, tout en étant si haute, mais en dessous de NSJC, Vrai Dieu et Vrai Homme, ne sera jamais qu’un Canal, une conséquence, comme l’épouse ici bas l’est pour son époux.
La TSVM est un Canal, un Jardin et une Fontaine (voir ensuite) de toute splendeur certes, mais qu’un Canal, qu’un Jardin, qu’une Fontaine, Elle ne sera jamais une Source.
De Dieu, tout passe par la TSVM, Son Canal :
→ en descente, Ses grâces, Son Amour, etc.
→ en montée, notre adoration et nos prières, etc.
De l’Époux, Idem, tout passe par l’épouse, Son canal :
→ en descente, la vie en son sein, l’enseignement, les ordres, les bénédictions, etc.
→ en monté, le fruit restitué, les demandes de la Maison, leurs louanges, etc.
Comme nous le verrons plus en détail ensuite, la femme n’est pas l’Image de Dieu, elle n’est que l’image de L’Homme.
Résumons :
On fléchit les genoux devant la Paternité qui est une Puissance, l’on ne peut pas fléchir les genoux devant la maternité, pour la simple raison qu’elle n’existe pas en tant que Puissance, mais que l’on la constate uniquement comme servitude, conséquence.
Voir la suite de l’étude pour plus de développement.
3.A.4 - Adam, établi maître de toute la création, nomme les animaux
Genèse :
2,15. Le Seigneur Dieu prit donc l’homme, et le mit dans le paradis de délices, afin qu’il le cultivât et qu’il le gardât.
2,19. Le Seigneur Dieu ayant donc formé de la terre tous les animaux terrestres et tous les oiseaux du ciel, il les amena devant Adam, afin qu’il vît comment il les appellerait. Et le nom qu’Adam donna à chacun des animaux est son nom véritable.
2,20. Adam appela tous les animaux d’un nom qui leur était propre, tant les oiseaux du ciel que les bêtes de la terre.7
Analysons ce texte, membre par membre :
→ Dieu ayant donc formé de la terre tous les animaux…
Formé de la terre…, comme Adam ensuite. Nous verrons, qu’Il les forma Mâles, et que comme pour la femme ensuite, les femelles furent tirées de leur Principe, chacune selon sa race.
→ Il les amena devant Adam.
Quel cadeau, quelle déférence de ce Dieu d’Amour qui présente à Adam Son héritage…
→ Afin qu’il vît comment il les appellerait.
Adam accepta le présent de Son Dieu. Il prit possession de toute la création, qui du reste ne fut réalisée que pour servir d’écrin à Adam Son Chef-d’œuvre, en les nommant. Par cette nomination, Il devient le Roy, le Maître de toute celle-ci.
→ Et le nom qu’Adam donna à chacun des animaux est son nom véritable. Adam appela tous les animaux d’un nom qui leur était propre,
Adam, leur dit certainement à chacun, Je te nomme… Et Dieu regardait cela paternellement. Adam, de science, comme nous allons le lire ensuite, appelle chaque animal par un non qui est effectivement son nom. Admirons la science qu’Adam reçut de Son Dieu.
Adam, par cette nomination re-connaît ces animaux, comme Il reconnaîtra la femme ensuite. Comme un Père reconnaît Son enfant en le nommant.
3.A.4.a - Revenons à cette phrase : Il les amena devant Adam
Dieu les amena-t-Il devant Adam et la femme ?
Dieu les amena-t-Il devant Adam, puis plus tard devant la femme ?
Non !, Dieu les amena devant Adam et à Lui seul !
Non !, pour la bonne et simple raison, que la femme fut engendré après toute la création, après le septième jour, et après que celle-ci fut donnée à Adam ; et après qu’Adam en prit possession en la nommant !
Seul, Adam nomma les animaux qui Lui furent présentés et donnés, et devint ainsi le seul Maître de toute la création de son Dieu.
Tout a été fait pour Adam et que pour Lui seul, et même la femme comme nous allons le voir ensuite.
3.A.5 - Saint Jean Chrysostome raconte la nomination des animaux
5. Le récit de Moïse nous révèle en effet combien était étendue la science du premier homme. Le Seigneur, dit-il, fit venir devant Adam tous les animaux, afin qu’Adam vît comme il les nommerait. Dieu en agit ainsi pour lui donner occasion de faire usage de ses vastes connaissances. Aussi l’Écriture ajouta-t-elle que le nom qu’Adam donna à chaque animal est son propre nom.
Mais ici, outre la science d’Adam, nous voyons dans cette imposition du nom une preuve de son domaine sur les animaux. Car c’est ainsi, qu’en signe de son autorité, un maître change le nom de l’esclave qu’il achète. Le Seigneur amena donc à Adam tous les animaux afin qu’il les nomma comme étant leur maître.
Ne passez pas légèrement sur ce fait, mon cher frère ; mais considérez combien devait être vaste et profonde la science d’Adam pour qu’il donnât un nom propre et convenable aux oiseaux et aux reptiles, aux bêtes féroces et aux animaux domestiques ou sauvages, aux poissons qui vivent dans les eaux et aux insectes que produit la terre.
L’Écriture nous dit en effet que le nom qu’Adam donna à chaque animal, est son propre nom.
N’est-ce pas ici un acte formel de puissance et de suprême autorité ? Mais observez encore que les lions et les léopards, les vipères et les scorpions, les serpents et tous les monstres s’étant présentés humblement devant Adam pour rendre hommage à son empire, et en recevoir un nom, celui-ci n’en parut nullement effrayé.8
Inutile de développer ce commentaire d’un Saint si bien versé dans cette science. Saint Jean Chrysostome confirme tout ce qui a été dit précédemment.
3.A.6 - Dieu donne à Adam d’enseigner la femme encore inexistante
Et le Seigneur, Dieu prit l’homme qu’il avait formé, et le plaça dans le jardin de délices pour le cultiver et le garder.
3. Il remarque ensuite que le travail fut imposé à l’Homme comme un préservatif contre l’oisiveté, mais que ce travail n’était qu’une douce occupation, et non une pratique. — (La défense que le Seigneur fit à Adam à manger du fruit de l’arbre de la science du bien et du mal, avait pour objet d’exercer son obéissance et de le tenir dans la dépendance et la soumission ; et quoique la femme ne fùt pas encore créée, Dieu la comprit dans cette défense, afin qu’Adam la lui fît ensuite connaître.)9
3.A.6.a - Saint Jean Chrysostome dit bien que c’est L’Homme qui enseigne sa femme
La femme n’est pas encore engendrée, mais nous devons anticiper à cause de l’anticipation de Dieu !
Quoique la femme ne fùt pas encore créée, Dieu la comprit dans cette défense, afin qu’Adam la lui fît ensuite connaître.
Est-ce Dieu, dont vient la défense de manger du Fruit d’un certain arbre, qui informe la femme de cette défense ?
Non ! Dieu aurait bien pu, après avoir tiré la femme du sein d’Adam, l’informer de cette interdiction, comme Il le fit avec Adam… Mais, ayant cédé irrévocablement Son Autorité sur le genre Humain en les mains d’Adam, Il ne pouvait et voulait reprendre ce qu’Il avait abandonné. Dieu n’a qu’une Parole !
C’est en effet au Maître de la femme d’interdire ce qui doit lui être interdit. C’est au Maître de la femme de l’enseigner, c’est au Maître de la femme de la gouverner, la guider, et ce en commençant par son Âme…
Ainsi, le salut de l’Âme et du corps de la femme dépendait de son respect pour l’interdit venant d’Adam !
Le fait d’interdire quelque chose à la femme, de par le Devoir et le Pouvoir qu’Adam a reçu, était bien de la direction spirituelle, n’est-ce pas ?
Il s’ensuit que l’Époux a tout Pouvoir de direction sur l’épouse, et en premier sur son Âme. l’Époux est bien le Directeur spirituel de son épouse de Droit divin. Et comme une direction, une Autorité, ne peut être exercée par deux personnes, comme vu précédemment (Un corps ne peut être dirigé par deux têtes, une Tête peut diriger deux corps !), ceci est la preuve que le prêtre n’a aucun pouvoir de direction et de conseil de quelque ordre que ce soit à donner à l’épouse ; dans le cas contraire, il y a bien adultère ou viol avéré selon son consentement ou pas.
L’Époux est Chef de la femme au sens le plus plein du terme ! Il a tout Pouvoir sur Sa Maison, Il est Tout-Puissant en Sa Maison, sur toute Sa Maison !
3.B - L’Homme, engendre la femme, Il est son Maître
3.B.1 - Propos préliminaires
Comme nous allons le voir ensuite, la femme, qui ne sera re-nommée Ève qu’ensuite, fut crée pour être une aide pour Adam…, particulièrement comme épouse.
Donc, de par sa génération, la femme est déjà potentiellement Son épouse bien qu’elle ne soit qu’à ce moment, que Sa fille. Elle ne sera Sa femme, que lorsqu’Adam prendra la femme pour telle, la choisira pour telle, l’agréera pour telle.
Pour les besoins de cette étude, nous avons voulu bien scinder ceci en deux étapes, deux sous-chapitres :
→ La femme est engendrée par Adam, elle n’est que sa fille, c’est ce que nous allons voir en premier, puis,
→ La femme est prise par Adam pour femme, elle est sa femme, son épouse, mais pas encore Ève, ce qui sera vu ensuite.
3.B.2 - Il ne se trouvait point d’aide pour Adam qui lui fût semblable
2,18. Le Seigneur Dieu dit aussi : Il n’est pas bon que l’homme soit seul ; faisons-lui une aide semblable à lui.
2,20. … Mais il ne se trouvait point d’aide pour Adam qui lui fût semblable.10
3.B.2.a - Commençons par une digression nécessaire
Le Seigneur Dieu dit […] faisons-lui une aide.
-Aider : Prêter son concours à quelqu’un pour lui faciliter l’accomplissement d’un acte, la réalisation de quelque chose ; secourir une personne dans le besoin.
Celui qui actionne, commande, impulse, est l’Époux, et s’Il en ressent le besoin il se fait aider par l’aide, la femme, sa servante… L’Homme peut agir seul, ou se faire aider par : son aide, sa servante, son adjointe, son auxiliaire…
Le Seigneur Dieu dit […] semblable à lui.
-Semblable : Qui a en commun avec une autre/d’autres entité(s) des caractéristiques essentielles, d’aspect ou de nature, au point de pouvoir être considéré comme appartenant au même type.
Le mot semblable, vient de sembler
-Sembler : attribut/inf. (à qqn). Avoir telle ou telle apparence aux yeux de quelqu’un. Synon. Paraître.
Donc la femme ressemble à l’Homme, elle a son apparence, mais en… plus petit, elle est l’image de l’Homme, qui Lui est l’Image de Dieu.
3.B.2.b - Revenons à notre propos
De dire que Dieu prit, comme nous allons le voir ensuite, une côte à Adam pour en former une femme est une image.
En effet, le passage mais il ne se trouvait point d’aide pour Adam qui lui fût semblable, le confirme a fortiori.
Dieu qui sait tout aurait oublié qu’Il n’avait pas créé d’aide pour Adam qui lui fût semblable ?
Dieu qui voit tout en tous lieux, sans avoir besoin de se déplacer et encore moins de chercher, aurait éprouvé le besoin de devoir constater qu’Il n’y avait pas d’aide pour Adam qui lui fût semblable ?
Le Mais il ne se trouvait point d’aide et le tira une de ses côtes, et le forma la femme de la côte sont des images…
De fait la femme fut formée dans le côté d’Adam, en Son Sein, d’où Dieu la tira.
Voyons la suite pour confirmation…
3.B.3 - Voilà maintenant l’os de mes os, et la chair de ma chair
Le Seigneur Dieu envoya donc à Adam un profond sommeil ; et lorsqu’il était endormi, Il tira une de ses côtes, et mit de la chair à la place.
Et le Seigneur Dieu forma la femme de la côte qu’il avait tirée d’Adam, et il l’amena à Adam.
Alors Adam dit : Voilà maintenant l’os de mes os, et la chair de ma chair. Celle-ci s’appellera d’un nom qui marque l’homme, parce qu’elle a été prise de l’homme.11
3.B.3.a - Os de mes os, chair de ma chair
Os de mes os, correspond bien avec Il tira une de ses côtes, mais la chair de ma chair vient d’où ? En effet, l’on dit que Dieu tira une côte, mais pour la chair, rien ! Pas de chair créée, ou arrachée d’ailleurs et posée sur la côte d’Adam. Et pourtant Adam dit bien chair de ma chair ! Donc la chair de la femme vient de la chair d’Adam, elle est de Sa chair, comme elle est de Ses os.
Ce qui confirme bien que le Il tira une de ses côtes, d’Adam, est une image.
Oui, la femme a bien été tirée du côté d’Adam, c’est Adam Lui-même qui nous le dit. Sans diminuer Adam aucunement, tout ce qu’elle a lui vient d’Adam.
Adam nous le confirme bien en disant elle a été prise de l’homme. Il ne dit pas partiellement de l’Homme, non, mais bien entièrement de l’Homme. Et Adam, ajoute-t-il en me diminuant ? Non, et donc c’est bien un engendrement…
Le passage où la Bible dit que Dieu mit de la chair à la place, ne veut pas dire que Dieu fabriqua de la chair dont Il boucha le trou nécessité par l’Opération, en effet d’où serait venue cette chair ? D’ailleurs ?, alors Dieu aurait dû faire un trou pour en boucher un autre ? Non, Dieu repoussa les chairs, les lèvres de la plaie, l’une contre l’autre afin d’obtenir une cicatrisation miraculeuse du côté d’Adam.
3.B.3.b - Il doit être bien remarqué que, et ce en toute pudeur
→ La femme est née d’au-milieu de deux lèvres du côté droit d’Adam ouvert par la Main de Dieu.
→ L’Église est née d’au-milieu de deux lèvres de la plaie du côté droit de NSJC ouvert par la lance du soldat, afin de percer le cœur.
→ L’enfant naît d’au-milieu de deux lèvres ouvertes (voir ensuite12) par son Père pour sa génération !
3.B.3.c - Nous devons anticiper quelque peu sur le moment où la femme, de fille d’Adam devient son épouse
Qu’il nous soit permis d’ajouter quelque chose qui trouve sa place ici ; et comme nous désirons agir avec une grande réserve dans cette étude, autant liquider tout de suite le sujet :
Nous venons de parler de deux lèvres. Ces deux lèvres sont bien les bords d’un sillon, n’est-ce pas ?
→ Sillon dans le sein d’Adam.
→ Sillon dans le sein de NSJC.
→ Sillon dans le sein de l’épouse.
3.B.3.d - Ceci dit, lisons l’Évangile selon Saint Luc, au chapitre 8
8,4. Or, comme une grande foule s’était assemblée, et qu’on accourait des villes auprès de Lui, Il dit en parabole :
8,5. Celui qui sème alla semer sa semence. Et tandis qu’il semait, une partie tomba le long du chemin ; et elle fut foulée aux pieds, et les oiseaux du ciel la mangèrent.
8,6. Une autre partie tomba sur la pierre ; et ayant levé, elle sécha, parce qu’elle n’avait pas d’humidité.
8,7. Une autre tomba au milieu des épines ; et les épines, croissant avec elle, l’étouffèrent.
8,8. Une autre partie tomba dans une bonne terre, et, ayant levé, elle porta du fruit au centuple. En disant cela, Il criait : Que celui-là entende, qui a des oreilles pour entendre.
3.B.3.e - Maintenant, voici où nous devions arriver
Remarquons pour commencer, que le paysan qui laboure sa terre, ouvre bien un sillon avec son socle, et que les deux bords de ce sillon forment bien deux lèvres.
Remarquons aussi que c’est bien le paysan, laboureur-semeur, qui a le travail le plus noble13. Il est actif, la terre se donne, elle est passive, elle est docile à la volonté du paysan. C’est le paysan qui pénètre et ensemence sa terre, sa terre qui est son bien, et par là-même à sa disposition.
Dans l’acte conjugal, celui qui sème, c’est bien l’Époux, qui dans Son sillon y introduit, y enfouit Sa Semence, ce, afin d’en récolter un fruit pour Lui (voir ensuite).
Ici encore, point de mépris pour la femme, l’épouse. Avez-vous déjà vu un paysan, laboureur-semeur, mépriser sa terre ? Avez-vous vu comment le paysan aime sa terre, comment celle-ci reçoit toutes sa sollicitude, son attention ?
Pareillement, avez-vous vu, dans Son Travail, un Époux mépriser son épouse ? Comme le paysan, l’Époux aime passionnément Sa terre, Son épouse, qui Lui donne abondamment de si beaux et bons Fruits.
3.B.3.f - Laissons ici la parole à Saint Jean Chrysostome
Or le Seigneur Dieu avait dans Éden, vers l’Orient, un jardin de délices, et il y plaça l’homme qu’il avait formé. (Gen. II, 8.)
Le laboureur qui a trouvé un champ gras et fertile, le cultive avec le plus grand soin ; il travaille le sol, le laboure et en arrache les épines ; il l’ensemence ensuite largement, et, tout rempli de confiance et d’espoir, il attend chaque jour le développement du grain qu’il a confié à une terre féconde.14
Ici, Saint Jean Chrysostome compare son auditoire à une terre qu’Il ensemence généreusement de ses paroles ; auditoire qui est captif, suspendu à ses lèvres.
Reportons cela à l’épouse, sur deux plans :
→ Intellectuel : L’Époux qui a trouvé un champ gras, c’est-à-dire une épouse bien généreuse, bien disposée, et fertile, désireuse de porter du fruit, le cultive avec le plus grand soin, avec une application très amoureuse ; il travaille le sol, le laboure, la discipline, la rend malléable, et en arrache les épines, ses mauvaises habitudes ; il l’ensemence ensuite largement, par l’enseignement, et, tout rempli de confiance et d’espoir, il attend chaque jour le développement du grain qu’il a confié à une terre féconde : une belle et sainte maisonnée.
→ Physique : l’Époux qui a trouvé un champ gras, c’est-à-dire une épouse de robuste et bonne santé, et fertile, désirant ardemment porter de beaux et bons Fruits, le cultive avec le plus grand soin, en y trouvant tous ses délices ; il travaille le sol, le laboure et en arrache les épines, la prépare et l’assainit ; il l’ensemence ensuite largement, et, tout rempli de confiance et d’espoir, il attend chaque jour le développement du grain qu’il a confié à une terre féconde : Son Fruit, Son enfant.
3.B.3.g - Reprenons le cheminement de notre raisonnement
Nous devons bien remarquer que c’est l’épouse qui est pénétrée et qui doit se donner très généreusement pour être ensemencée. Elle doit être toute pénétrée de l’ensemencement de son Époux. Elle doit le désirer avec joie et empressement, dans une crainte toute amoureuse, crainte de ne pas être fertile, de ne pas rendre de fruit au centuple.
Elle doit désirer son ensemencement :
→ intellectuel : par l’enseignement qu’elle reçoit de son Époux, qui doit la trouver féconde, et dont les fruits seront particulièrement l’éducation des tout-petits entre-autres.
→ corporel : qui devra la trouver féconde, pour son Époux, et dont les nombreux fruits de cette vigne seront sa couronne, couronne par laquelle elle se sauvera, si elle reste fidèle.
En effet, à quoi lui servira-t-il d’avoir porté de nombreux enfants, si elle vient à se perdre éternellement en désertant le foyer et en traînant son Époux devant les tribunaux ?, ce comme les nombreux exemples que nous connaissons ici… À rien !, bien au contraire, dans ce cas sa peine éternelle sera bien bien pire, de par les dégâts faits parmi les enfants et dans tout l’entourage, et de par l’immense scandale, et de par son apostasie effective.
3.B.3.h - Et, c’est ainsi que sera béni l’Homme qui craint le Seigneur
Ta femme sera comme une vigne féconde dans l’intérieur de ta maison. Tes enfants seront autour de ta table comme de jeunes plants d’olivier. C’est ainsi que sera béni l’homme qui craint le Seigneur.15
Qui est béni par le Seigneur ? L’Homme !, et non la femme. Il sera béni l’Homme qui craint le Seigneur, si Ta femme est une vigne féconde en l’intérieur de Ta Maison, et que Tes enfants seront
Remarquons au passage, car ceci sera repris ensuite, que Ta femme est bien dans l’intérieur de Ta Maison, mais non à l’extérieur. Cette redondance des termes dans et intérieur est particulièrement à remarquer pour la suite de notre étude16, le dans amplifie, si cela était possible le intérieur. Ainsi le doigt est déjà mis sur la nécessité de ne pas sortir de la Maison de l’Époux, pour l’épouse…
Remarquons aussi que tout est bien reporté à l’Époux : Ta femme, Ta maison, Tes enfants, et que c’est uniquement l’Époux qui sera béni.
Et la femme, l’épouse, n’est-elle pas bénie ? Si !, nous verrons cela au chapitre 6.A.5, Le Chef peut donner et retirer Sa bénédiction en Sa Maison.
3.B.4 - Nous allons parler de fontaine
Nous allons parler de fontaine, et ainsi nous évoquons donc la source de cette fontaine.
Qu’est-ce qu’une fontaine : -- Fontaine : Eau vive qui vient d’une source et se répand à la surface du sol ; lieu où surgit cette eau.
La fontaine est l’endroit d’où surgit, sourd17 l’eau vive, elle est l’orifice, le trou d’où sort cette eau, et qui dans nos cités est souvent aménagé, orné.
Qu’est-ce que sourdre : -Sourdre : Sortir du sol. Synon. jaillir. Entendre sourdre l’eau. L’eau était rare, mais partout où sourdait une fontaine, croissait un figuier (Chateaubr., Mém., t. 1, 1848, p. 264).
Ce n’est pas la fontaine qui génère l’eau, la fontaine est l’orifice d’où sort l’eau qui passe de l’intérieur de la terre vers l’extérieur.
La fontaine est traversée par l’eau : Source (intérieur) fontaine (passage) ruisseau (extérieur).
Lisons : La vie immense qui est cachée en lui [Dieu], cette vie fontale et originelle…18
-- Fontal : Fontal, ale, adj. Qui est la source, l’origine.
La Source, l’Origine de tout est Dieu, Source de Vie, Source d’eau vive, Semence trois fois Sainte.
La fontaine, est l’endroit d’où sourd la vie…
En ce qui touche le Mariage, notre propos, considérons :
→ que c’est l’Homme qui porte la Vie, la Semence, Puissance que Dieu Source de Vie Lui a cédé lorsqu’Il souffla sur son visage un souffle de vie. Considérons donc :
→ que l’Homme est donc bien Source de Vie.
→ que l’Homme fait sourdre la Vie par la fontaine, son épouse.
Voici un tableau reprenant tout ce qui vient d’être dit :

la source
la fontaine
le fruit
L’eau
source
fontaine
ruisseau
L’Homme
Souffle de Vie
limon de terre formé
Adam
La femme
Adam
côté ouvert
la femme
Incarnation
Esprit-Saint
Vierge Marie
Jésus
Rédemption
Jésus
Côté ouvert
Église
Procréation
Époux
épouse
enfant
La génération passe par l’épouse qui est fermée et dont seul l’Époux à la Clef, l’usage, comme nous allons le voir maintenant.
3.B.4.a - Notre épouse est un jardin fermé, une fontaine scellée
Lisons : Ma sœur, mon épouse est un jardin fermé ; elle est un jardin fermé, une fontaine scellée.19
Remarquons bien que l’épouse est un jardin fermé ; elle est un jardin fermé, et que son giron, son vase est une fontaine scellée :
Pour : que son giron, son vase :
-Giron : [Fréquemment à propos d’une femme] Partie du corps comprise entre la ceinture et les genoux, chez une personne assise. Le giron maternel.
Parmi tous les spectacles que peut offrir le genre humain, en est-il un plus aimable, plus doux, plus touchant que l’enfant en prières ? Sa mère l’a mis à genoux dans son giron, le tient embrassé et joint ses petites mains sous les siennes. Elle lui fait redire, une à une, les paroles de la courte oraison.20
→ L’épouse est un jardin fermé ; elle est un jardin fermé, comme toute jeune épousée, elle est avant sa défloraison une fontaine scellée par son hymen.
→ L’épouse est un jardin fermé ; elle est un jardin fermé, comme toute épouse fidèle, elle est une fontaine scellée par son innocence et sa grande vertu.
→ L’épouse est un jardin fermé ; elle est un jardin fermé, comme toute épouse féconde, elle est une fontaine scellée par le bouchon muqueux.
→ L’épouse est un jardin fermé ; elle est un jardin fermé, comme toute épouse doucement soumise, elle est une fontaine scellée par sa crainte amoureuse.
→ Toujours et résolument, en toutes choses, même pour sa direction spirituelle et intellectuelle, l’épouse est un jardin fermé ; elle est un jardin fermé, pour quiconque hors son Époux, le Propriétaire, le Maître, elle est une fontaine scellée pour tout ce qui vient de l’extérieur…
Ce qui va être récolté, c’est le fruit qui va traverser le jardin fermé, sourdre de la fontaine scellée, le fruit de la terre, de la vigne :
→ Adam est le Fruit des entrailles de la terre, du limon de la terre du jardin d’Éden ; sur cette formation jaillit de cette fontaine scellée, Il, le Seigneur Dieu, souffla sur son visage un souffle de vie, et l’homme devint vivant et animé.
→ Jésus est le Fruit, du Jardin fermé, des Entrailles de la TSVM, jaillit de la Fontaine scellée et toujours virginale et immaculée.
→ Le paysan récolte le fruit de son jardin des entrailles de sa terre, de son jardin fermé par une clôture et un portail.
→ l’Époux récolte le fruit des entrailles de Sa terre, Son épouse, Son jardin, Sa fontaine.
→ Nous re-naîtrons (résurrection lors du Jugement dernier) des entrailles de la terre où nous aurons été enfouis !
Le laboureur, l’Époux, avant de semer doit délier les cordons de Sa bourse : mais n’anticipons pas, nous allons voir cela dans le détail plus loin : DP-6.A.6, Seul, l’Époux peut porter et délier la bourse.
3.B.4.b - Aussi, en considération de ce qui vient d’être énoncé
Évidemment hormis son Époux, au sujet de l’épouse :
→ Toute pénétration extérieure, du jardin fermé, de la fontaine scellée : est un viol !
→ Toute pénétration extérieure du jardin fermé, de la fontaine scellée consentie par l’épouse : est un adultère.
→ Le prêtre ou quiconque qui pénètre l’épouse, le jardin fermé, la fontaine scellée, de sesdits conseilles, de sadite direction spirituelle forcément démoniaque, ou de quelconque autre façon que ce soit : est un violeur.
→ L’épouse, le jardin fermé, la fontaine scellée, qui demande ou recherche desdits conseilles, unedite direction spirituelle forcément démoniaque, ou quelque autre chose, à ou auprès d’un prêtre ou quiconque, et de quelque façon que ce soit : commet l’adultère avec cette personne !
→ L’épouse, le jardin fermé, la fontaine scellée, qui demande ou recherche undit secours, unedite aide, undit soutient, undit conseil, unedite protection, ou quelque autre chose que ce soit, à quiconque que ce soit, et de quelque façon que ce soit : commet l’adultère avec cette personne !
3.B.4.c - Mais, revenons à la semence qui tomba
Si cette semence tombe le long du chemin ; ceci veut dire que le Semeur a volontairement mal fait son travail, Il l’a saboté criminellement comme Onan : et elle fut foulée aux pieds. Ceci est un péché mortel, un comportement contre-nature, que l’on appelle onanisme.
Pour : Il l’a saboté criminellement comme Onan :
Onan qui, refusant de féconder son épouse, a préféré laisser sa semence se perdre dans la terre, de fait il la piétina, la foula au pied !
Rentre dans ce cas les relations scandaleuses parce que criminelles :
- la connaissance de son épouse avec préservatifs divers ;
- la connaissance de son épouse qu’en dehors des périodes fécondes (calcul, méthode des températures, etc.) ;
- et bien sûr toute relation contre-naturelle ; etc.
Si cette semence tombe sur la pierreayant levé, elle sécha, parce qu’elle n’avait pas d’humidité ; ou bien, si elle tombe au milieu des épines ; ceci est imputable à la terre, à l’épouse. Dans ce cas là l’on dit comme de la terre, que l’épouse est stérile, aride, infertile…
Infertilité le plus souvent faute de l’épouse, à cause de :
→ Sa crainte criminelle d’être enceinte, son manque de générosité.
→ Son manque de soumission amoureuse et empressé, et joyeuse pour se donner à son Époux.
→ Son manque de désir de remplir sa mission qui est de porter un fruit.
→ Son impréparation du terrain : peu ou pas de prières, alimentation défectueuse ou inappropriée, nervosité, vie trépignante, colères, dureté de caractère…
→ Son irresponsabilité : chocs, médicaments interdits, etc.
Nous n’avons pas voulu parler ici des autres crimes, tels contraception et avortement. Il en sera parlé plus loin, (chapitre à venir) DP-14.G, Mensonge : la nécessité de gérer les naissances.
C’est souvent de la faute de l’épouse disions-nous, ce qui veut dire que parfois cela ne l’est pas en tant que péché. En effet, le Bon Dieu permet cette épreuve, en certains cas, pour notre sanctification, voyez par exemple : Abraham et Sara, Joachim et Anne, etc.
Remarquez que dans l’un ou l’autre cas, faute ou épreuve, l’on dit de l’épouse, comme de la terre, qu’elle est : stérile, aride, infertile, inféconde, ingrate…
3.B.4.d - Maintenant, parlons du Plan de Dieu lorsqu’Il se réalise
Celui qui sème, l’Époux, alla semer sa semence qui tomba dans une bonne terre, et, ayant levé, elle porta du fruit au centuple. Au centuple, nous pourrions même dire ici des milliers de fois plus.
NSJC, en disant cela, criait : Que celui-là entende, qui a des oreilles pour entendre.
Finissons ainsi : Et Dieu vit que cela était bon.
3.B.5 - Iconographie du Moyen-Âge chrétien, Adam engendre la femme
Le coup de lance ouvrant le côté du Christ en croix d’où sort du sang et de l’eau est considéré aussi symboliquement comme la naissance de l’Église.
Cette scène est l’occasion de rappeler la naissance d’Ève du côté d’Adam ;
La 3e scène est la source d’eau que Moïse fait jaillir d’un rocher dans le désert.21
Au moyen-âge, on savait ce que maintenant l’on ne sait plus, ou plus exactement ce que l’on ne veut plus savoir, car cela dérange notre conformisme et notre lâcheté, et effondre l’égalité des sexes !
C’est un véritable assassinat du Chef, avec son consentement. C’est donc son suicide.
Ce tableau en sa partie de gauche présente la naissance de la femme qui sort du Sein d’Adam, Dieu le Père est l’Accoucheur…
D’un trait, Dieu perce Adam au côté, comme le coup de lance dans le côté du Christ, Il plonge Sa main dans cette blessure et en sort la femme, comme l’Église sortit du Sein du Christ (partie de droite du tableau) !
3.B.5.a - Répétons-nous quelque peu
Nos Pères savaient très bien cela, ils ne dessinaient pas Dieu, une côte à la main, en train de la revêtir de chair ! De plus, cette chair d’où serait-elle venue, la côte venant d’Adam ? Dieu ne l’aurait pas crée, ou sinon, Il aurait aussi créé la côte ! Donc seule la côte serait d’Adam, et pas la chair ?
Alors comment expliquer ceci : Et Adam dit : Celle-ci, cette fois, est os de mes os et chair de ma chair !
Adam aurait reconnu Ses os en les os de la femme qu’Il découvre, et Sa chair, alors que celle-ci ne viendrait pas Sa propre chair !
Non, comme nous allons le voir ensuite mieux détaillé, la femme a bien été tirée, toute entière, toute formée du côté d’Adam, comme l’Église du côté de Christ. À ce moment précis, elle reçu de Dieu son Âme, comme l’enfant La reçoit dans le sein de sa mère au moment de sa conception par son Père !
3.B.5.b - Les parents ne font pas un enfant, ils le pro-créent
Nous devons commencer par définir le verbe créer : -- Créer : Donner l’existence à quelqu’un ou à quelque chose en les tirant du néant.
Il est assez étonnant, de fait non si l’on connaît bien notre Ennemi, doté de ses innombrables courroies de transmission, un véritable Siva : que l’humain moderne crée.
Il crée même à tout va, il crée une œuvre, il crée le dessin d’une voiture, une recette, un programme, un robot, une technologie… Bref il crée tout, et l’orgueilleux veut de plus toucher des droits de créateur : droits d’auteur, droits de création, droits de brevet, etc.
C’est faux !, l’humain ne crée rien, il ne fait qu’exploiter ce que Son Créateur a mis à sa disposition à travers la donation qui fut faite à Adam… Il ne fait que péniblement découvrir par-ci, par-là, l’un ou l’autre vestige de la science incommensurable que Son Créateur avait déposée en Adam lorsqu’Il souffla sur son visage un souffle de vie. Science qu’Adam perdit par Sa désobéissance qui était de ne point avoir corrigé la femme.
Pour : C’est faux !, l’humain ne crée rien :
Ajouté le 20-03-2011 : Voulant bien distinguer l’Homme de la femme à l’intérieur de l’Humanité, alors que homme est souvent utilisé comme terme générique pour nommer l’Un et/ou l’autre, nous avons décidé de dire Homme, pour le Mâle, femme pour la femelle, et humain comme terme générique pour nommer indifféremment l’Un et/ou l’autre.
-Humain : Il se dit quelquefois familièrement pour Homme, C’est l’humain le moins humain qui soit. C’est un de ces humains débonnaires qui se laissent mener facilement.22
Par contre, il est bien quelque chose que l’humain crée, mais pour cette chose, scandaleusement, ils disent qu’ils font : ils font un enfant !
Véritable subversion, une inversion totale des valeurs :
→ L’humain révolté prétend créer alors qu’il en est totalement incapable !
→ L’humain révolté ne veut pas créer alors qu’il doit créer !
Que l’on veuille se l’avouer ou non, l’Homme crée, ou plus exactement Il pro-crée… Mais si l’on crée, l’on pro-crée, c’est que l’on n’est pas seul, il y a quelqu’Un qui crée avec vous, et ce quelqu’Un qui crée avec les époux, qui pro-crée avec les époux, c’est Dieu !
Évidemment, ainsi, il devient impossible de jeter la chose, de se débarrasser des ratés, des malformés, des surnuméraires, des indésirés, des malvenus, des venus à contre-temps, des mal-sexués, etc.
Si l’on fait, c’est forcément qu’une chose, et l’on en est l’unique faiseur. Cette chose, l’on la dit non-humaine, inhumaine, c’est une chose… Cette chose, on a donc ledit droit de la détruire, de l’arracher, dans faire des pièces détachées, des médicaments, ou même des lubrifiants !…
Mais si l’on pro-crée, ce n’est plus une chose, c’est un être. Et pour cette pro-création, un quelqu’Un a eu aussi son Action et aussi son mot à dire ; alors, il devient sérieusement impossible de liquider cette création, cette co-création, cette pro-création.
Du reste, tout se tient, les ennemis des Hommes, les hommelettes assistés des manipulées, haïssent !, ils haïssent les Hommes, le Patriarcat, le mot procréer (lu sur un site de discussion), ils haïssent la soumission, sauf dans la perversion évidemment, etc. Et pour en arriver là, ils tordirent, ils détournèrent les mots ; et le mot créé en est un bon exemple…
3.B.5.c - Dans l’acte conjugal les parents sont co-créateurs avec Dieu, ils pro-créent avec Dieu
→ Dieu se penche paternellement sur l’Union sacrée des époux, et donne l’Âme.
Heureux époux qui ont placés un Crucifix à la tête du lit conjugal. Ils sont assurés que chaque fois qu’ils s’unissent, le Chef de l’Homme, le Christ, détache Son bras Droit, et penchant son infini Amour, son Chef adorable, Il les bénit !
→ l’Époux, dans cet acte d’Amour intense et sacré, dépose la vie dans Son jardin fermé, Sa fontaine scellée.
→ l’épouse, pleine de servitude amoureuse et empressée, offre sa terre bien grasse, bien humide, toute pleine de générosité…
Nous parlerons plus loin d’une autre expression aussi affreuse que de faire un enfant, celle qui nomme l’acte sublime dont nous venons de parler, l’union conjugale, ou l’acte conjugal, sous le regard attendri de notre Dieu, et que les mêmes personnes ont détourné, dégradé en la faisant nommer ainsi : faire l’amour.
3.B.6 - Manuscrit juif, montrant Adam engendrant la femme
Ce manuscrit juif se lit bien sûr de droite à gauche. Dieu n’est jamais représenté. Ève sort du côté d’Adam, puis tous deux mangent le fruit de l’arbre autour duquel s’enroule le serpent sur fond de ciel étoilé. Puis ils se retrouvent derrière leur arbre, tenant des feuilles pour cacher leur nudité. Enfin, vêtus simplement, Adam travaille la terre avec une houe, tandis que son épouse file avec une quenouille ; le fond est rouge, rempli d’entrelacs jaunes.23
Dieu, n’est pas représenté, mais est bien là !
Ce manuscrit ne montre pas une côte sortant d’Adam et se couvrant, comme par enchantement, de chair pour obtenir la femme.
La femme, encore ici est engendrée par Adam, et Dieu le Père est l’Accoucheur, non représenté ici.
3.B.7 - Miniature italienne représentant la génération de la femme
Dans cette miniature italienne, Le Christ Verbe Créateur, marqué de l’auréole cruciforme, tient dans ses bras un Adam qui lui ressemble par le visage, la chevelure, la barbe et ne va pas tarder à prendre vie ; Ce manuscrit du Vatican garde à Dieu le visage du vieillard éternel à barbe blanche, mais le jeune Adam endormi lui ressemble avec une chevelure et des traits plus jeunes ; De son flanc sort une jolie petite fille Ève pudiquement habillée d’un voile.24
Dans tous les pays, l’on savait cela !
La femme a été engendrée par Adam, et Dieu le Père procède à l’accouchement.
3.B.7.a - Sans langue de bois : poursuivons le raisonnement
Nous demandons :
Une aide médicale reconnaissant totalement la création (créationniste) vue par une personne, un médecin très chrétien (vraiment catholique de préférence, soit de vraie bonne volonté en tous les cas) ; ce, pour confirmer et développer, ce que nous savons et avons aussi entendu sous forme d’aveu : que c’est bien à l’Homme qu’appartient l’enfant.
Le système XY de détermination sexuelle est le système de détermination sexuelle de la majorité des mammifères et, en particulier, chez les humains. Dans le système XY de détermination sexuelle, les femelles ont deux chromosomes sexuels semblables (XX), alors que les mâles en ont deux distincts (XY). C’est la présence du gène SRY = Sex Region of Y sur le chromosome Y qui détermine le sexe gonadique mâle puis, en conséquence, le développement des caractères secondaires mâles (organes génitaux, internes et externes, mâles).25
C’est l’Homme qui détermine le sexe de l’enfant.
La femme est engendrée sans avoir aucunement diminué Adam qui reste xy. La femme n’a que sa féminité, elle n’est pas l’égale de l’Homme. L’Homme est complet, la femme est Sa fille.
La femme est, sans langue de bois, un être ordonné à sa mission de servante, elle n’est que xx, et est sans Puissance, elle est nettement plus petite, et nettement moins musclée, moins forte, moins intelligente. Sa mission n’est point de pénétrer physiquement ou intellectuellement, etc.
3.B.8 - Quelques autres tableaux anciens
Idem pour ces deux tableaux26, la femme est bien tirée d’Adam, par Dieu le Père, l’Accoucheur. Aucun ne montre Dieu le Père avec une côte en main.
3.B.9 - Saint Jean Chrysostome dit aussi qu’Adam a engendré la femme
Catéchèse baptismale III - L’Église est formée du côté du Christ.
17. « Et il jaillit du côté de l’eau et du sang » Ne passe pas indifférent, bien-aimé, à côté du mystère. Car j’ai encore une autre interprétation mystique à te donner. J’ai dit que cette eau et ce sang étaient le symbole du baptême et des mystères. Or c’est de ces deux sacrements qu’est née l’Église, par ce « bain de la renaissance et de la rénovation dans l’Esprit saint » par le baptême, et par les mystères. Or les signes du baptême et des mystères sont issus du côté. C’est de son côté par conséquent que le Christ a formé l’Église, comme il a formé Ève du côté d’Adam.S-1, 27
Toujours la même explication, Il a formé Ève du côté d’Adam. Dieu est l’Accoucheur qui vit que cela était bon.
La femme est tirée du côté d’Adam comme l’Église est tirée du côté du Christ.
3.B.10 - Homélies sur la Genèse de Saint Jean Chrysostome
3. Et le Seigneur Dieu produisit la femme (84) de la côte qu’il avait ôtée à Adam. Admirez l’exactitude de l’Ecriture ! Elle ne dit pas, Dieu forma, mais produisit, parce qu’il prit une portion d’une chair déjà formée, et qu’il ne fit que l’augmenter, Dieu produisit donc la femme, non par l’acte d’une création nouvelle, mais en ôtant à Adam une portion de chair, et produisant de cette faible portion un être complet en toutes ses parties. Combien donc est grande la puissance du Créateur qui, avec si, peu de matière, a formé les membres souples et élégants de la femme*, et a produit cet être si parfait, qui est doué d’une exquise sensibilité et qui procure à l’homme une douce société et une grande consolation ! Car c’est pour la consolation de l’homme que la femme a été formée ; aussi l’Apôtre dit-il que l’homme n’a pas été créé pour la femme, mais la femme pour l’homme. (I Cor. II, 9.)28
Nous avons placé un astérisque dans le texte, en effet, après celui-ci, ce texte paraît surréaliste par rapport à ce que nous vivons maintenant.
3.B.10.a - Avant cet astérisque
Le texte ne fait que confirmer tous les énoncées précédentes.
3.B.10.b - Après cet astérisque
C’est beau, même magnifique, dans la belle droite ligne du Cantique des cantiques.
L’on croit rêver, lorsque l’on voit les femmes, monstres unisexués et libérés déambuler en se déhanchant jusque dans nos campagnes les plus reculées, moulées scandaleusement dans un Jeans et compagnie, et croyant ainsi jouer à l’Homme.
Il est vrai que comme elles ne peuvent que s’appuyer sur des prothèses branlantes, que l’Homme a nommées talons aiguilles, et qu’ainsi elles n’arrivent même pas à singer Sa hauteur, l’Homme les y a aidées en faisant les neuf-dixième de cette monstruosité : il s’est réduit à l’état d’hommelette !
3.B.10.c - Avertissement à ceux qui n’ont pas encore été touchés, croient-Ils
Vous en pleurerez, même amèrement, lorsque votre propre épouse, que vous aviez cru préservée de cette contamination, monstre qu’elle aura voulu devenir, vous traînera au nom de l’obéissance à un prêtre-gourou, devant les tribunaux en vous calomniant29 : disant par ex. que vous l’auriez violée… Violer votre épouse, pensez donc, quel non-sens ! Oui, oui ! alors qu’elle doit se donner, et que vous avez même le Devoir, et donc le Pouvoir de l’y contraindre en cas de refus. On appelle cela, du reste, le Devoir conjugal !
Nous connaissons de très nombreux cas ici, et nous pouvons même vous dire que ces pauvresses ne s’arrêtent pas là, qu’elles auront ajouté, pauvres moulins répétiteurs de ce que Lucifer leur a susurré malicieusement, le Malin, depuis ses confessionnaux criminels, sesdites cellules psychologiques, sesdits centres d’aides aux femmes dites violentées, ses postes de police ou de gendarmerie transformés en centre d’accueil pour venir en d’aide aux femmes bien réellement révoltées : que vous auriez eu des comportements vicieux avec Vos enfants, même si vous ne les avez pas vus madame, réfléchissez bien…, vous vous en rappellerez maintenant… Avec Vos enfants !, tirés de Votre propre chair ; etc.
3.B.10.d - Lisons comment ce damné de Lucifer s’y prend
De plus en plus de femmes se font battre !… Elles se font battre parce qu’elles résistent… Elles résistent parce qu’elles savent que nous les soutenons ! (Présidente de la commission à la condition de la femme, attachée au ministère de l’intérieur sur Europe I début mars (2001 ?) vers 19.05.)
Décryptons ce qui vient d’être cité : Nous, les professionnels de la révolte, les fils du Révolté, après leur avoir distillé la rébellion en leur faisant miroiter le fruit défendu, à travers leurs études qui les ont si bien imbibées, la confession aussi, les lectures, et tous nos multiples canaux…, nous soutenons vos épouses dans leur révolte contre l’Autorité que nous leur faisons refuser, selon notre cri de haine multiséculaire : ni Dieu, ni maître !
Ainsi nous, les Époux, nous sommes obligés de les corriger parce qu’elles ne font plus que de nous résister, parce qu’elles sont devenues carrément ingérables, ingouvernables, parce que la révolte s’étend à vos filles, et que vos garçons sont touchés… Et alors ils, les pervers précités, n’ont plus qu’à cueillir le fruit de leur, de son adultère !
3.B.11 - Adam a engendré la femme, comme le Christ a engendré l’Église
C’est cette heureuse société des justes [L’autre monde que le monde visible, le Ciel, monde invisible], et celui qui a bien voulu eu être le chef, le sanctificateur, le père et l’époux, qui sont le grand objet et le dernier terme de tous les desseins de Dieu. Dès le commencement du monde, et avant même que le péché en eût perverti l’ordre, il a eu l’un et l’autre en vue. Saint Paul nous déclare, en termes précis, que le premier Adam était la figure du second, qui est forma futuri (Rom. 5, I4. Eph. 5, 25, etc.) ; et il nous insinue qu’Ève, tirée du côté d’Adam pendant son sommeil mystérieux, était une image naturelle de l’Église, sortie du côté de Jésus-Christ endormi sur la croix pour nous y enfanter.30
Charles Rollin célèbre professeur et écrivain français, recteur d’Université dit que : Saint Paul nous déclare, en termes précis […] Jésus-Christ endormi sur la croix pour nous y enfanter, enfanter l’Église, nous enfanter à l’Église.
Jésus-Christ nous a enfanté, nous l’Église, et pareillement l’auteur dit bien que la femme a été tirée, enfantée, par Adam pendant son sommeil.
La femme a été tirée par Dieu le Père, l’Accoucheur : … il nous insinue qu’Ève, tirée du côté d’Adam pendant son sommeil mystérieux…, et non retiré une côte à habiller ensuite de chair !
3.B.12 - Anne-Catherine Emmerich voit la femme engendrée par Adam
Je vis Adam près d’une colline, allongé près de l’eau sous un arbre, le bras gauche replié sous la joue Dieu fit tomber le sommeil sur lui et, souriant très doucement, Adam fut ravi en extase.
Alors Dieu tira Ève du côté droit d’Adam, à l’endroit où Jésus fut plus tard percé par la lance.
Je vis Ève fine et petite elle devint rapidement plus grande, jusqu’à atteindre sa taille définitive et être parfaitement belle.31
Avec les réserves habituelles, voyons ce très beau texte.
Cet endroit où Dieu introduisit sa Main est la base du sein droit d’Adam, juste sous les côtes ; et comme la lance qui perça NSJC, cette ouverture se dirigeait vers le cœur.
Nous venons de bien constater que l’expression Dieu retira une côte d’Adam qu’Il l’habilla de chair était bien malheureuse, bien inexacte, somme toute bien trompeuse…
Cette côte était une malheureuse représentation, une bien mauvaise image.
Cettedite côte que Dieu accoucheur tenait en retirant sa Main du côté d’Adam, d’auprès de son cœur, c’était ce tout petit joyau, la femme toute formée, notre mère à tous, celle qui sera ensuite renommée Ève.
3.C - L’Homme, épouse la femme, Il est son Maître
3.C.1 - Propos préliminaires
Nous avons vu qu’Adam, avant d’épouser la femme, n’avait que le pouvoir de Père sur elle, Sa fille !
Nous allons voir qu’en épousant la femme, Adam a maintenant le pouvoir d’engendrer en elle. Et pour cela en premier32, la femme doit être à son entière disposition, en toute soumission amoureuse, avec joie et empressement33.
Nous verrons aussi que la femme n’a pas été tirée de la Tête, elle ne pouvait être Chef ; pas du pied, elle n’est pas l’esclave ; mais du Sein d’Adam. La femme est le cœur au service l’Homme.
Nous verrons ensuite qu’en l’épousant, Adam n’a fait que de faire retourner la femme à sa première place, d’où elle avait été tirée, auprès de Son cœur, en Son cœur.
Nous verrons même que les époux, ce sont deux Âmes dans un même corps, dans une seule chair, dont évidemment la Tête en est le Chef : L’Époux.
3.C.2 - Adam, reconnaît la femme, sa fille, la nomme et l’épouse
2.22 Et le Seigneur Dieu forma la femme de la côte qu’il avait tirée d’Adam, et il l’amena à Adam.
2.23 Alors Adam dit : Voilà maintenant l’os de mes os, et la chair de ma chair. Celle-ci s’appellera d’un nom qui marque l’homme, parce qu’elle a été prise de l’homme.34
3.C.2.a - Dieu fait venir la femme tirée du sein d’Adam à Adam pour qu’il la reconnaisse et la nomme
Depuis ces premiers temps les accoucheuses, les sage-femmes, agissent comme Dieu : au sortir du sein de l’épouse, elles présentent l’enfant au Père pour qu’Il le reconnaisse et le nomme !
Il l’amena à Adam, remarquons bien que c’est la femme qui est emmenée à Adam et non l’inverse. C’est la femme qui est présentée par Dieu à Adam afin qu’Il puisse la reconnaître comme étant Sa fille !
Alors Adam dit :
Celle-ci cette fois est os de mes os et chair de ma chair ! Celle-ci sera appelée femme, parce qu’elle a été prise de l’Homme.
Ce n’est pas Dieu, car Il n’avait pas ce Pouvoir, qui nomme la femme : femme. C’est Adam, l’Homme qui nomme la femme engendrée par Lui, et reconnue comme étant sa fille : femme.
Il est remarquable que Dieu demanda à Adam s’Il reconnaît la femme pour sa fille, Dieu ne demande pas à la femme si elle reconnaît Adam pour Père !
En nommant la femme : femme, Adam ne fait pas que reconnaître cette femme comme étant sa fille, Il la prend, par la même Puissance, d’Autorité, pour épouse !
C’est l’Homme qui choisit35 une épouse, la femme, ne fait qu’accepter (ou décliner). L’Homme choisit, la femme est choisie !
L’épouse de tout Époux est la fille de son Époux, en effet elle a été tirée de Lui à travers Adam. Elle n’est que femme, et a trouvé sa féminité en son Époux qui lui est complet. C’est pour cela du reste, qu’il n’y a pas si longtemps, les Maris disaient à leurs femmes : ma fille, ou ma petite… !

Résumons :
Adam a accouché de la femme par l’opération de Dieu
la femme est présentée par Dieu l’Accoucheur à Adam
Adam reconnaît la femme comme étant sa fille
Adam nomme sa fille femme
Adam prend d’autorité la femme, sa fille pour épouse.
3.C.3 - Et ils seront deux dans une seule chair
2,24. C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils seront deux dans une seule chair.36
Ici, deux bons commentaires sont bien nécessaires.
3.C.3.a - L’Homme quittera son père et sa mère
En effet, fondant un foyer, avec la permission de son Père comme nous les verrons ensuite, le jeune Homme quitte la tente de Son Père, pour en fonder une nouvelle auprès de Celui-ci. Il fonde ainsi une nouvelle branche à l’Arbre patriarcal.
Là-dessus, pas de problème, et si cela devait être nécessaire, pour une raison quelconque, le Fils peut éloigner, selon ce qu’il faut : Sa tente.
Là où est le problème, c’est l’épouse, encore elle, toujours elle !
Voici, supposons que cela se passe mal entre l’Époux et la Famille dont est sortie l’épouse. L’Époux décide alors, d’Autorité, de prendre encore plus des distances, voire même de couper littéralement tout contact avec la Famille dont elle voulut sortir par son oui. Mais là, Sa petite peste Lui jette à la figure : vous n’avez pas le droit de me couper de MA famille.
Elle vous ajoute même triomphalement que du reste le Bon Dieu est bien d’accord avec elle, puisqu’Il a dit à l’Homme : l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme.
Pour elle, c’est clair, net et précis, pas d’erreur possible. Pour elle, cela veut tout simplement dire que : l’homme quittera son père et sa mère, afin de pouvoir s’approcher de la famille d’où elle est née et s’attachera à sa femme. CQFD !
Ceci est bien évidemment faux !
Pauvrette, l’on ne te demande pas de quitter ton père et ta mère, personne ne te le demande, c’est toi qui l’a voulu et c’est toi qui l’a fait par ton Mariage.
Maintenant, tu appartiens littéralement et dans tous les sens du terme qu’à ton Époux ; et, point à la ligne.
Le conseil, de quitter son Père et sa mère, s’adresse à l’Homme, pour qu’Il acquière une certaine autonomie vis-à-vis de Ses parents afin de préserver Son Mariage.
L’épouse, elle, elle doit suivre son Époux partout où il Lui plaît d’aller habiter [ajoute du 28/10/2019 :] comme le rappelle le Saint Curé d’Ars : Il les oblige à se garder une fidélité mutuelle et inviolable, à cohabiter.
Pour : Il les oblige […] à cohabiter :
Il, pour le Sacrement de Mariage, voir DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point 4.B.6 - Le Curé d’Ars parle du Mariage naturel.
Et tout de même, St Alphonse de Liguori dit que la femme pèche gravement (péché mortel) : Si elle refuse […] de suivre son mari dans l’endroit où il veut se choisir une habitation, parce que la femme est obligée d’habiter avec son mari.
Pour : femme est obligée d’habiter avec son mari :
DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I)… ; point 7.E.3 - Si elle ne suit pas son Époux, elle pêche gravement.
Donc évidemment de quitter son père et sa mère est une disposition de confort pour l’Époux, et pour l’épouse un absolu impératif sous peine de péché mortel !
3.C.3.b - Ils seront deux dans une seule chair
Ce sont, l’Époux et l’épouse, de par leur Mariage, deux Âmes, deux personnes dans une même et unique chair. Ce qui confirme donc notre découverte précédente, que le Mariage ne faisait que de faire retourner la femme-cœur dans le sien d’Adam.
Ce qui confirme aussi notre découverte précédente, que l’épouse suit forcément l’Époux, là où Il veut habiter. En effet, ce un seul corps, une seule chair, est mu par une seule et même volonté, et le siège de cette Volonté, l’Autorité, est bien dans la tête, dans le chef du Chef ! La volonté imprime un ordre au corps qui va là où la Tête, le Chef le veut. L’épouse-cœur, bien qu’il puisse influencer très doucement et très respectueusement la Tête, le Chef, se rangera de toutes les façons à l’ordre venant de la Raison, venant du Chef.
3.C.4 - Adam qui a tout pouvoir sur sa femme, la renomme Ève
3,17. Il dit ensuite à Adam : Parce que vous avez écouté la voix de votre femme, et que vous avez mangé du fruit de l’arbre dont je vous avais défendu de manger, la terre sera maudite à cause de ce que vous avez fait, et c’est à force de travail que vous en tirerez de quoi vous nourrir pendant toute votre vie.
3,20. Et Adam donna à sa femme le nom d’Eve, parce qu’elle était la mère de tous les vivants.
3,23. Le Seigneur Dieu le fit sortir ensuite du jardin délicieux, pour travailler à la culture de la terre dont il avait été tiré.37
3.C.4.a - Parce que vous avez écouté la voix de votre femme
Qui est le Il ? : Dieu !
Dieu dit ensuite à Adam, comme nous l’avons étudié avant, Dieu dit-Il à Adam et à la femme ?, ou à Adam, puis à la femme ?, non, à Adam, le Chef de la femme. Jamais Dieu ne s’adresse à une femme sous tutelle, Il respecte toujours le Chef !
Parce que vous avez écouté la voix de votre femme, et non parce qu’Adam a mangé du fruit défendu. Et donc, Saint Paul de dire et ce n’est pas Adam qui a été séduit, mais c’est la femme qui, séduite, est tombée dans la transgression38.
Et que conséquemment, ensuite donc, vous avez mangé du fruit de l’arbre dont je vous avais défendu.
Parce qu’Adam a écouté la voix de la femme, et qu’ainsi Il n’a pas discipliné la femme39, et a mangé du fruit interdit que la femme, et non le Serpent, lui donna : Le Seigneur Dieu le fit sortir ensuite du jardin délicieux…
Ce n’est pas la femme qui est chassée, bien qu’elle soit l’unique coupable, Dieu ne le pouvait pas n’ayant pas Autorité sur elle, c’est le, c’est Adam, car c’est Lui le Chef de la femme, et comme Il ne l’a pas châtiée, disciplinée, Il est pour cela uniquement : réprouvé, chassé.
La femme doit suivre Adam, non parce que chassée, mais parce que devant suivre son Époux !
Résumons :
→ Adam fut réprouvé uniquement pour ne pas avoir exercé Son Autorité, en utilisant Son Bras pour discipliner la femme !
→ La femme ne fut pas réprouvée par Dieu qui n’en avait pas le Pouvoir, mais dut suivre son Époux, parce que devant le suivre !
→ Le péché originel est la désobéissance de l’Homme à Son Dieu : ne pas avoir, par lâcheté, châtié la femme sur laquelle Il avait Autorité.
3.C.4.b - Adam donna à Sa femme le nom d’Ève
Adam étant le maître de Sa femme, après l’avoir nommée femme en la reconnaissant pour être Sa fille, et l’avoir prise ensuite pour épouse, avait le pouvoir de la renommer.
En quittant le Paradis terrestre, de par Sa Puissance, son Autorité : Adam donna à sa femme le nom d’Ève.
3.C.4.c - Reprenons, résumons notre dernier propos
Dieu dit à Adam de ne pas manger du Fruit de l’arbre défendu.
→ Dieu ne dit pas à Adam de transmettre l’interdiction, bien qu’Il comprit la femme dedans.
→ Dieu n’a pas dit à Adam : Toi seul, tu ne devras pas manger de ce Fruit.
→ Dieu ne dit pas l’interdit à la femme, car Il n’en avait pas le Pouvoir, n’étant pas le Chef de la femme et des descendants d’Adam.
→ La femme a été tentée parce qu’elle s’est éloignée d’Adam, voulant échapper à sa surveillance, à son Autorité : Ce fut ainsi qu’il attaqua Ève autrefois, lorsqu’il la vit seule et séparée d’Adam40.
→ La femme, en mangeant le fruit, n’a donc pas désobéi à Dieu qui ne lui avait rien interdit, mais à Adam qui le lui avait interdit.
→ Il ne pouvait y avoir de faute originelle par une femme…
→ Le péché mortel41 de la femme est sa désobéissance à l’Autorité d’Adam à qui elle devait obéir aveuglément et en toutes choses.
→ Adam, en mangeant le Fruit défendu, ne fut pas séduit42 par le démon, mais céda lâchement aux instances d’une femme !
→ Adam ne commit donc pas la faute originelle, parce qu’Il avait transgressé l’ordre que Dieu au sujet du Fruit défendu.
→ Adam, ne fut puni que parce qu’il n’avait pas discipliné43 la femme confiée à Son Autorité, et qu’ainsi Il avait désobéi à Son Dieu.
→ La faute originelle est donc la désobéissance d’Adam : non d’avoir mangé le Fruit, mais de n’avoir pas discipliné la femme.
→ La faute originelle est donc que la femme ne fut point corrigée par Adam parce qu’elle Lui avait désobéi !
→ La faute originelle est donc que par lâcheté Adam n’avait pas corrigé, la femme !
Ainsi, nous commençons à toucher au gigantesque mensonge de ladite femme battue.
En effet, Lucifer est le contre-pied de Dieu :
→ Dieu a puni Adam parce qu’Il n’avait pas corrigé (discipliné, battu) la femme alors que c’était nécessaire.
→ Le monde, asservit à Satan vous punit parce que vous corrigez (battez) votre femme si nécessaire.
3.C.4.d - Mais, il existe bien des Maris dits violents
Cette partie est surtout destinée à nos contempteurs…
Dans cette étude nous aborderons plus loin le problème de l’Homme qui serait violent, problème plus que marginal toutefois et n’obérant jamais, au grand jamais, l’Autorité de l’Époux. Nous verrons que Dieu est Juste et veille à Tout.
Dieu voit tout, même les choses les plus cachées :
4,5. C’est pourquoi ne jugez point avant le temps, jusqu’à ce que vienne le Seigneur, qui mettra en lumière les choses cachées dans les ténèbres, et qui manifestera les desseins des cœurs ; et alors chacun recevra de Dieu la louange qui lui sera due.44
Qu’il soit rappelé à la femme vraiment innocente ce que NSJC a dit :
21,18. Mais pas un cheveu de votre tête ne périra.
21,19. C’est par votre patience que vous sauverez vos vies.45
3.C.4.e - Et c’est la femme qui se plaint du mal entré en ce monde
Ne nous faites pas dire que le mal n’existe pas dans l’humanité ! Oui, il existe bel et bien, et c’est la femme, qui après avoir corrompu son propre cœur, voulut corrompre celui d’Adam. Le malheur est entré dans le monde par la femme. C’est elle qui rendit Adam, pécheur, et pécheur violent.
Comme nous l’avons vu précédemment, la femme n’a pas de Puissance, elle ne peut engendrer. Par contre, il est assez piquant que nous l’entendions pas revendiquer le seul engendrement qu’elle réalisa : cette vallée de larmes, pour les enfants d’Ève !
Lisons : Salut, ô Reine, Mère de miséricorde, notre vie, notre consolation, notre espoir, salut ! Enfants d’Ève, de cette terre d’exil nous crions vers vous ; vers vous nous soupirons, gémissant et pleurant dans cette vallée de larmes. Ô vous, notre Avocate, tournez vers nous vos regards compatissants. Et, après cet exil, obtenez-nous de contempler Jésus, le fruit béni de votre sein, ô clémente, ô miséricordieuse, ô douce Vierge Marie ! (Salve Regina)
Alors, après cela, de parler d’Homme violent, et de femme battue, devient carrément cocasse, surréaliste. Surtout, lorsque nous étudierons plus loin que ladite violence de l’Homme est une défense dérisoire devant la violence insidieuse et lancinante de l’épouse qui de volonté, dans sa révolte, veut renverser la maison qu’elle a l’honneur d’habiter, et ce de ses propres mains : une femme insensée la [sa Maison] renverse de ses propres mains46.
3.D - L’Homme, engendre Son enfant, Il est son Maître
3.D.1 - Propos préliminaires
3.D.1.a - Tout ce chapitre est très important
En effet, par exemple, quel Époux n’a pas reçu en pleine figure, de son épouse : c’est mon (mes) enfant(s) ! Quel Époux n’a pas eu son épouse, qui en cas dedit différent, ce qui est déjà une révolte, car les femmes doivent être soumises à leur Mari en toutes choses, lui a jeté : j’ai aussi mon mot à dire, au sujet de…, car notre enfant, c’est l’enfant de nous deux !
Et combien de divorces, ou de séparations toutes aussi interdites comme nous le verrons ensuite, et quoiqu’en disent des prêtres-gourous, corrompus et camouflés sous des vêtements de brebis, ainsi que les Hommes déjà bien conditionnés, combien ont vu la femme utiliser, manipuler sesdits enfants ; et ce, il va sans dire, pour les protéger de leur Père !
Que d’exemples si déchirants, nous avons ici, et combien en connaissez-vous vous-même, toujours le même dramatique refrain, ou plutôt même triste rengaine bien lancinante.
3.D.1.b - Ci-dessus, nous avons écrit en cas dedit différent
L’importance des mots !, faisons très très attention à eux !, ne scions pas nous-même la branche sur laquelle est posée notre Autorité de Droit divin !
Vous, Chefs, comment pouvez-Vous avoir undit différent avec Votre épouse ?
En effet :
– à Vous, elle doit être soumise, en toutes choses (Saint Paul) ;
– à Vous, elles sont tenues qu’elles sont obligées […] de leur être soumises et de leur obéir avec joie et empressement (Concile de Trente) ;
– vue que l’épouse craigne son mari (Eph., v. 32.) ;
– ce avec non point une crainte pleine de terreur, mais pleine de respect ; non point une obéissance servile, mais une obéissance amoureuse ?
Pour : non point une obéissance servile :
L’importance des mots, servile est mis ici dans son sens péjoratif, comme voulant dire : obéissance rampante, obséquieuse, flagorneuse, avec une âme d’esclave, fausse, etc.
Ne confondez pas avec la définition visible dans ces quelques extraits de citations (vous trouverez dans ce document les textes en entiers) :
Elle [l’épouse] se montre sa servante assidue et dévouée. Saint Astère.
J’ai honte de voir des femmes assez simples pour offrir la guerre là où elles devraient demander la paix à genoux, et pour prétendre au pouvoir, à la suprématie et au gouvernement, là où elles sont tenues de servir, d’aimer et d’obéir. Shakespeare, La mégère apprivoisée.
Et tout en s’occupant, il aura toujours son regard et son cœur à vous et à votre amoureux service. Il abandonnera toute autres maisons, toutes autres femmes, tous autres services et intérieurs. L. de la Brière, la jeune Mariée.
Ainsi, l’auteur, l’abbé Joseph Hoppenot, aurait pu, aurait dû écrire : non point une obéissance servile, mais une obéissance de servante amoureuse.
Voir : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I)… ; point 7.D.8, Une soumission pleine de crainte et de respect, amoureuse.
Vous, Chefs, comment pouvez-Vous avoir undit différent avec Votre épouse ? Alors que Vous devez assujettir votre épouse (Gen 3, 16), car, maris, vous avez été investis de l’autorité. Dans vos foyers, chacun de vous est le chef, avec tous les devoirs et toutes les responsabilités que comporte ce titre. N’hésitez donc point à exercer cette autorité ; ne vous soustrayez point à ces devoirs, ne fuyez point ces responsabilités. La barre de la nef domestique a été confiée à vos mains : que l’indolence, l’insouciance, l’égoïsme et les passe-temps ne vous fasse pas abandonner ce poste (Pie XII).
Comment peuvent-elles, ces pauvres petites, avoir undit différent avec leur Époux, alors que Pie XII dit, ou plutôt rappelle : Épouses et mères chrétiennes, que jamais ne vienne à vous saisir la soif d’usurper le sceptre familial !
Plus loin, Pie XII ajoute gravement : Ne vous contentez pas d’accepter et presque de subir l’autorité de votre époux à qui Dieu vous a soumises par les dispositions de la nature et de la grâce. Dans votre sincère soumission, vous devez aimer l’autorité de votre mari, l’aimer avec l’amour respectueux que vous portez à l’autorité même de Notre-Seigneur, de qui descend tout pouvoir de chef.47
Ceci dit, direz-Vous encore, chers Chefs de Famille, qu’un différent est possible entre Vous et Votre épouse ?
Dans le même registre, ne dites pas non plus J’ai un différent avec Mon fils, ou pire avec Ma fille. Vous pouvez avoir un différent avec votre voisin, mais non avec Votre épouse que Vous ne savez pas ou plus tenir !
Confirmons maintenant le fait que l’enfant est Votre enfant, à Vous, Chef, Époux et Père, et non point celui des époux…
3.D.1.c - Confirmons encore, aucun mépris pour la femme, l’épouse
Précisons ce qui est bien sous-jacent dans tout ce document, aucun mépris pour la femme, bien au-contraire !
→ Quel Époux n’est pas si fier de présenter l’épouse qui Lui a donné de si beaux enfants ?
→ Quel époux n’est pas ému au plus profond de Lui-même en les lui donnant ?
→ Comment l’Époux ne répète-t-il pas si souvent à Ses enfants, qu’ils doivent aimer respectueusement leur mère qui les porta neuf mois, qui les a nourris plusieurs mois de son généreux lait maternel, qui les a tenus sur ses genoux, en les pressant contre son sein, pour leur apprendre leurs premiers mots : pour les chrétiens, Jésus, Marie, etc. ; et pour tous, Papa, maman, etc.
Non, aucun mépris pour la femme !,
→ au sens premier, entier, les enfants sont les enfants de l’Époux uniquement,
→ au sens second, mais de façon ordonnée, ils le sont des deux époux.
3.D.2 - Je fléchis les genoux devant le Père
Je fléchis les genoux devant le Père de Notre Seigneur Jésus-Christ, duquel toute paternité dans les Cieux et sur la terre tire son nom.48
Ceci vient quelque peu répéter ce que nous avions dû aborder ; Voir : DP-3.A.3, Adam est engendré, formé par Le Sei-gneur Dieu.
Duquel toute paternité…, et la maternité ?
La maternité n’existe pas en tant qu’action, Mission ou Puissance, la maternité est passive, pas de puissance. La maternité est la sou-mission de l’épouse envers son Époux, elle doit être sou-mise, mise en-dessous.
Pour : La maternité est la sou-mission de l’épouse :
Depuis quand la subordination est-elle une marque dégradante ?
Les entreprises dépendent du client ! Elles sont subordonnées ! Considèrent-elles cette dépendance-subordination comme infamante ? Lorsqu’elles répondent à un appel d’offre, elles remettent un document que l’on appelle une soumission !
-Soumission : Déclaration écrite par laquelle une entreprise s’engage à respecter le cahier des charges d’une adjudication au prix fixé par elle-même. © Larousse 1996.
Est-ce que les entreprises qui soumissionnent se sentent haïes, méprisées ? Non, elles sont honorées de faire soumission ! Et elles ne désirent qu’une chose : que leur soumission soit acceptée ! Et ceci s’appelle, entre un Homme et femme : le mariage !
La maternité est un état d’attente. Attente d’être fécondée, attente de la fructification, attente du temps de la restitution de ce fruit dans les douleurs, c’est sa sou-mission d’épouse.
Ce n’est pas elle qui vient chercher la Semence, elle doit La désirer et attendre qu’Elle lui soit donnée en étant sou-mise.
La Paternité est active, l’Époux, le Père génère, c’est Sa Mission, Il porte en lui la Vie, Il est à la suite de Dieu le Père, la Vie. C’est l’Époux, qui par un acte d’Autorité, de volonté, dépose cette Vie dans les entrailles de son épouse qui L’attend.
Saint Thomas d’Aquin dit que dans l’acte conjugal, c’est l’Homme qui a l’action la plus noble49 car c’est Lui qui donne la Vie.
Dieu qui donne la Vie a cédé cette Puissance à l’Homme lorsqu’Il souffla sur son visage un souffle de vie, et c’est pour cela que Saint Paul dit : Je fléchis les genoux devant le Père de Notre-Seigneur Jésus-Christ, de qui toute paternité, au ciel et sur la terre, tire son nom.50
3.D.3 - À Abraham, Dieu dit qu’Il va avoir un fils et devra le nommer
17,19. Dieu dit encore à Abraham : Sara votre femme vous enfantera un fils que vous nommerez Isaac, et Je ferai un pacte avec lui, et avec sa race après lui, afin que Mon alliance avec eux soit éternelle.
21,3. Abraham donna le nom d’Isaac à son fils qui lui était né de Sara ;51
3.D.3.a - Au chapitre 17, verset 19
Dieu dit à qui ?, parle-t-il à Abraham et à Sara ?
Non, Dieu ne dit qu’à Abraham, car c’est une affaire entre Dieu et Abraham le Semeur, et qui ne regarde aucunement Sara.
Dieu dit encore, cela veut dire que Dieu lui a parlé souvent, mais jamais, au grand jamais à Sara !
Dieu dit à Abraham : Sara votre femme vous enfantera un fils…, le vous veut-il dire vous et elle ? Non, le vous de Dieu est adressé qu’à Adam, en effet Dieu dit : Sara votre femme ! C’est un vous de déférence, le votre le prouve.
Idem, ci-dessus, Dieu dit : que vous nommerez Isaac, le vous ne considère qu’Abraham. En effet Isaac n’appartient qu’à vous, Abraham, et il n’appartient qu’à vous, Abraham, de le nommer !
Isaac est le fils qu’Abraham a donné de porter à Sara. Lorsque Sara livre le Fruit de son jardin, elle le rend à Abraham qui le reconnaît et le nomme !
Je ferai un pacte avec lui, Isaac donc, et sa race après lui, donc les descendants Mâles d’Isaac !
Qui est l’héritier du Père, d’Abraham en l’occurrence : l’Aîné, et ici, Isaac. Qui sont les héritiers dans sa race, sa descendance : un fils, fils d’un fils, etc…, un des descendants Mâles d’Isaac.
3.D.3.b - À Sara, ne lui revient que
→ le devoir de se donner pour recevoir cette semence afin de concevoir ;
→ d’être féconde en faisant tomber la semence du semeur dans une bonne terre ;
→ d’éviter les épines (péchés) qui pourraient étouffer le fruit et les rocailles (chocs) qui pourraient abîmer son (celui qu’elle porte, et non venant d’elle ou à elle) fruit ;
→ de le faire fructifier, par une nourriture choisie, spirituelle et matérielle ;
→ puis de le rendre au centuple, dans les douleurs (punition de la femme) au Père de ce fruit : son Époux.
3.D.3.c - Au chapitre 21, verset 3
Dieu ne peut se tromper, ni tromper. Ce Dieu, qui est infiniment Bon et qui ne peut nullement mépriser la femme, dit bien :
[Fillion] Abraham donna le nom d’Isaac à son fils qui lui était né de Sara ;
[Crampon] Abraham donna au fils qui lui était né, que Sara lui avait enfanté, le nom d’Isaac
Le qui lui était né et le que Sara lui avait enfanté confirment bien que cet enfant est bien (source, origine, semence) non de Sara mais bien d’Abraham, et que ce fils avait été enfanté par elle, la fontaine scellée d’Abraham, et non pour elle, mais pour Abraham : Sara lui avait enfanté.
Puis Abraham reconnu son fils, que Sara lui tendait, en le nommant d’Autorité : Isaac.
3.D.4 - Abraham offre Son fils en holocauste
22,1. Après cela, Dieu tenta Abraham, et lui dit : Abraham, Abraham. Abraham lui répondit : Me voici.
22,2. Dieu ajouta : Prenez Isaac, votre fils unique qui vous est si cher, et allez en la terre de vision, et là vous Me l’offrirez en holocauste sur une des montagnes que Je vous montrerai.52
3.D.4.a - Dieu dit : Abraham, Abraham
Dieu dit-Il : Abraham et Sara ? Non !, Dieu dit : Abraham, Abraham !
Une chose qui appartient à deux personnes, ne vous appartient donc pas en propre ! Vous ne pouvez disposer de cette chose sans en demander la permission à la personne à qui elle appartient aussi ! De fait appartenir à deux personnes est un non-sens.
De fait, en appartenant à deux personnes, un enfant n’appartient à personne ! Il est impossible d’appartenir à plusieurs personnes, ceci défit l’entendement ! En appartenant à Abraham et à Sara, Isaac n’appartiendrait ni à l’un, ni à l’autre ; ainsi, il est orphelin de Père et de mère, il n’aurait pas de généalogie, ni d’héritage, il n’aurait pas de nom !
De plus, comment Dieu peut-Il demander à Abraham seul de décider d’offrir Isaac qui ne lui appartiendrait pas en propre, puisque Isaac appartiendrait aussi à Sara ? Le Bon Dieu qui est la Justice même demanderait à Abraham de faire une injustice : Lui offrir ce qui ne Lui appartient pas ?, ou qu’à moitié.
Non, Dieu dit prenez votre fils unique qui vous est si cher. Comme Dieu ne s’adresse qu’à Abraham, le votre et le vous sont la confirmation par Dieu que cet enfant n’appartient qu’à son Père.
Puis Dieu continu en disant et là vous Me l’offrirez en holocauste.
Pour : et là vous Me l’offrirez en holocauste :
Retrait ajouté le 29-10-2019
-Holocauste : Sacrifice religieux, pratiqué notamment par les Hébreux aux temps bibliques, et au cours duquel la victime (uniquement animale chez les Hébreux) était entièrement consumée par le feu.
Cette définition est quelque peu limitée, en effet, ce n’était pas toujours un animal, de fait, parmi les Hébreux il y eut un holocauste humain : NSJC.
Et justement, l’holocauste demandé par Dieu à Abraham est la préfiguration de l’Holocauste offert par Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit pour notre rachat…
Ce qui n’est pas non plus précisé c’est que c’est toujours un Mâle. Si l’on nous dit qu’un holocauste est fait avec une femelle, ceci est un mensonge.
Dieu, étant Dieu, Il pouvait demander cet Holocauste d’Isaac, et Dieu ne le demanda que pour éprouver, tester nous dirions maintenant, l’obéissance et l’esprit de sacrifice d’Abraham : Dieu tenta Abraham. Une fois cette soumission éprouvée, Dieu envoya un Ange arrêter la main d’Abraham.
3.D.5 - Zacharie engendre un fils qu’Il nomme Jean
1,11. Et un Ange du Seigneur lui apparut, se tenant debout à droit de l’autel de l’encens.
1,12. Zacharie fut troublé en le voyant, et la frayeur le saisit.
1,13. Mais l’Ange lui dit : Ne crains point, Zacharie, car ta prière a été exaucée, et ta femme Élisabeth t’enfantera un fils, auquel tu donneras le nom de Jean.53
3.D.5.a - Ta femme T’enfantera un fils auquel que Tu donnera le nom de Jean
Ta prière […] Ta femme […] t’enfantera […] tu donneras.
L’Ange du Seigneur apparut, et dit-Il à Zacharie et à Élisabeth ?, non : qu’à Zacharie.
L’Ange du Seigneur dit-Il : ta prière et celle d’Élisabeth ?, non, uniquement la tienne qui est regardée, et a été exaucée. Celle d’Élisabeth n’a pas à être considérée ici.
L’Ange du Seigneur dit : ta femme. Le ta, veut dire dont tu es le Propriétaire, le Maître.
L’Ange du Seigneur dit-Il : ta femme enfantera, pour toi et elle ?, non, t’enfantera, enfantera pour toi, car c’est ton fils et non le sein
L’Ange du Seigneur dit-Il : un fils, auquel vous donnerez ?, non, Tu donneras, Toi, le Chef, le Maître, Zacharie, en le reconnaissant comme tien, le nom de Jean.
Le Père, Zacharie ici, par cette nomination, reconnaît Son fils qu’Il a donné à porter à Sa femme.
L’on dit bien re-connaît. En effet le Père le connaissait bien, puisqu’il vient de Lui. L’Époux l’a déposé en son épouse, et une fois le Fruit mûr, Il le reçoit dans Ses bras, le re-connaît et en re-prend possession en le nommant !
Dieu confirme bien, que Jean est bien le fils que Zacharie a donné de porter à Élisabeth. Lorsque la fontaine scellée, est décelée pour livrer le Fruit qu’Élisabeth portait en son jardin fermé, elle le tend, le rend à Zacharie qui le reconnaît et le nomme !
3.D.6 - Saint Joseph, Père putatif, nomme Son fils Jésus
7-… Elle enfantera un fils, « lui dit-il, » à qui vous donnerez le nom de Jésus. « Car bien que cet enfant soit conçu du saint-Esprit, ne croyez pas néanmoins que vous soyez dispensé d’en prendre soin, et de le servir en toutes choses. Quoique vous soyez étranger à sa naissance, et que Marie soit toujours demeurée parfaitement vierge, je vous donne néanmoins à l’égard de cet enfant la qualité de père en tout ce qui ne blessera point celle de vierge, et je vous laisse le pouvoir de le nommer. Ce sera vous qui lui donnerez son nom ; et quoiqu’il ne soit pas votre fils, vous, ne laisserez pas d’avoir pour lui l’affection et le soin d’un père. C’est pour cette raison que je vous permets de le nommer vous-même, afin de vous unir d’abord très étroitement avec cet enfant. »…54
3.D.6.a - Un cas extraordinaire qui confirme en tous points ce qui précède
Elle enfantera un fils à qui vous donnerez le nom de Jésus.
À Abraham et Zacharie, Dieu a dit t’enfantera, soit enfantera pour toi, à toi.
L’ange a dit à Saint Joseph, de Marie : Elle enfantera un fils à qui vous donnerez le nom de Jésus. Ce qui veut dire que ce fils ne vient pas de Lui, tout en étant bien Son fils, en effet l’Ange n’a pas dit : Elle t’enfantera, mais : Elle enfantera !
L’ange confirme en disant : Car bien que cet enfant soit conçu du saint-Esprit,… quoique vous soyez étranger à sa naissance… je vous donne néanmoins à l’égard de cet enfant la qualité de père…, et je vous laisse le pouvoir de le nommer. Ce sera vous qui lui donnerez son nom… c’est pour cette raison que je vous permets de le nommer vous-même.
Voyons en premier ceci : je vous donne néanmoins à l’égard de cet enfant la qualité de père […] c’est pour cette raison que je vous permets de le nommer vous-même. Parce qu’Il est Père, Il peut nommer ! Voyez-vous, même l’Ange confirme bien que c’est parce que l’on est Père, et uniquement pour cela, et que ce n’est que Lui, à qui il appartient de nommer l’Enfant. Pourquoi ne revient-il qu’à Lui de le nommer ?, parce que l’Enfant n’appartient qu’à Lui !
Il est aussi remarquable que l’Ange ne s’adresse pas à la TSVM, mais à Saint Joseph l’Autorité, pour nommer l’Enfant dont Il n’est pour rien dans la génération (Opération du Très Saint-Esprit).
Ce passage prouve l’exclusivité de la Paternité, même si elle n’est que putative comme dans ce cas là !
L’Autorité du Père du Ciel devait être déposée en une personne, sur terre, pour s’occuper de l’Enfant Jésus. Or, même dans ce cas extraordinaire, le Bon Dieu n’a pas évoqué unedite suppléance quelconque pour en investir très exceptionnellement une femme, fut-elle La TSVM ! Non, Il se choisit, de nécessaire nécessité, un Homme, Saint Joseph.
Et pour marquer encore une fois que Saint Joseph n’est que le Père putatif de l’Enfant, mais a bien toute Autorité sur Lui, l’Ange dit à Saint Joseph : je vous permets. Alors qu’à Abraham et à Zacharie il avait été dit : vous nommerez ou vous donnerez !
3.D.7 - Des aberrations incroyables, inouïes, en la Très-Sainte Famille
3.D.7.a - Généalogie de NSJC, ou, à qui appartient l’enfant
Redéfinissons le verbe appartenir :
-Appartenir : v. impers. Être du devoir de qqn : Il ne vous appartient pas de prendre des mesures. (© Larousse 1996).
L’enfant n’appartient qu’à l’Époux, et à Lui seul il revient de l’élever comme vu précédemment. L’épouse doit Lui être une aide dans la mesure où elle reste parfaitement dans Son Autorité de Droit divin !
-Appartenir : Être la propriété de qqn : Ce livre m’appartient. (© Larousse 1996).
Et maintenant, lisons ensemble le propre du 27 juillet. Dans le rituel monastique, c’est Saints Joachim et Anne. Dans ce rituel, l’évangile est le même que celui du 16 août, la St Joachim.
Relisons-le bien avant de poursuivre, voici la fin sur laquelle nous allons travailler :
1,15. Eliud engendra Eléazar ; Eléazar engendra Mathan ; Mathan engendra Jacob ;
1,16. Jacob engendra Joseph, l’époux de Marie, de laquelle est né Jésus, qui est appelé Christ.55
Développons, raisonnons :
→ Notre Seigneur Jésus-Christ (NSJC) est le fruit déposé par l’Opération du Saint-Esprit en le Sein de la TSVM.
→ Saint Joseph n’est carrément pour rien dans ce dépôt d’une vie dans le Sein de la TSVM, son Mariage est Virginal.
→ Saint Joseph n’est que le Père putatif, rappelons-le.
-Putatif : Qu’on suppose légal, légitime, malgré l’absence d’un fondement juridique réel. (© Larousse 1996)
→ L’on pourrait donc dire que NSJC n’a qu’une généalogie, selon lesdits canons actuels, celle de sa Mère la TSVM !
→ Or, lors de la lecture de la généalogie de NSJC, et alors que de surcroît l’on fête les parents de la TSVM, Saints Joachim et Anne, l’on suit celle de Saint Joseph qui n’est pour rien dans l’éclosion de ce Fruit sacré !
→ Il faut donc que la Paternité soit si importante, si exclusive, si unique en sa cause, si indispensable pour que dans ce cas incroyable et apparemment aberrant l’on suive la généalogie du Mâle, du Père, de Saint Joseph !
3.D.7.b - De plus, voyons de plus près le texte : de laquelle est né Jésus
→ Il n’est pas dit que c’est un Fils pour Joseph, comme déjà développé auparavant.
→ Il est dit encore moins, assurément, que c’est un Fils pour Elle !
→ Il est écrit de laquelle, uniquement pour marquer que c’est la TSVM qui fut la Terre féconde et gracieusement couverte par l’Ombre de la vertu du Très-Haut, pendant que l’Esprit-Saint survenait en elle :
1,35. L’Ange Lui répondit : L’Esprit-Saint surviendra en Vous [TSVM], et la vertu du Très-Haut Vous couvrira de Son ombre ; c’est pourquoi le fruit saint qui naîtra de Vous sera appelé le Fils de Dieu.56
Remarquons bien que pour être couverte par la vertu du Très-Haut afin que l’Esprit-Saint puisse survenir en Elle, comme nous venons de le lire, il fallait que la TSVM fut soumise !
→ Pour la TSVM, s’agissant d’une Opération divine qui préserva sa Virginité de toute éternité, il Lui suffisait d’être sou-mise que de volonté et de cœur afin d’être couverte (Vous couvrira) et pénétrée (surviendra en Vous) pour recevoir ce Fruit qui naîtra de Vous !
→ Pour l’épouse, s’agissant d’une opération naturelle lui enlevant (primo-pénétration) sa virginité, il lui faut être sou-mise, de volonté et de cœur, mais aussi physiquement afin d’être couverte et pénétrée pour recevoir ce Fruit qui naîtra d’elle !
3.D.7.c - La TSVM était, comme toute femme, totalement incapable de se gouverner
L’évangile de la fête de Saints Joachim et Anne amène une autre réflexion, La TSVM était, et est de Toute Éternité dans le Plan divin, une Femme Toute Revêtue de Toute la Grâce divine et de la Toute-Puissance de ce Juste Dieu d’Amour ! Et ce, comme nulle autre personne57 au monde, sauf NSJC qui est Vrai Dieu et Vrai Homme.
Or, malgré l’immensité inabordable de la TSVM, le Bon Dieu, dans son Éternel Amour, a voulu qu’Elle ait besoin d’un chef, Saint Joseph, qui ne lui arrivait même pas à la cheville si l’on peut s’exprimer si cavalièrement de ce très grand Saint !
Il faut donc que le Chef soit si important et si nécessaire, pour que de Disposition divine, la TSVM, femme, en ait eu besoin ! En effet, la TSVM était, de cette même Disposition divine, totalement incapable de se diriger, de se gouverner, de s’orienter !
3.D.7.d - La TSVM dénuée de toute Puissance est pourtant Toute Puissante
Au terme Puissance58, nous accordons ici, non point une Puissance effective, mais d’influence, comme l’épouse l’a du reste sur le cœur de son Époux.
Voici la puissance de la TSVM comme Instrument de la Puissance de Dieu :
3,14. Alors le Seigneur Dieu dit au serpent : Parce que tu as fait cela, tu es maudit entre tous les animaux et toutes les bêtes de la terre : tu ramperas sur le ventre, et tu mangeras la terre tous les jours de ta vie.
3,15. Je mettrai une inimitié entre toi et la femme, entre ta race et la sienne. Elle te brisera la tête, et tu tâcheras de la mordre par le talon.59
C’est ce que la TSVM redit à Fatima : À la fin mon Cœur Immaculé triomphera.
Mais aussi, voici la puissance de la TSVM comme Canal de la Puissance de Dieu :
Selon saint Bernard, Dieu a comblé Marie de toutes les grâces, afin que tous les biens destinés aux hommes leur arrivent par elle comme un canal céleste : « Pareil à un aqueduc plein jusqu’au bord, elle donne à tous sa plénitude ». Le saint fait en outre une réflexion bien remarquable ! Si, dit-il, avant la naissance de la bienheureuse Vierge, on ne voyait pas dans le monde ce courant de grâces qui s’épanchent aujourd’hui sur tous les hommes, c’est qu’alors cet Aqueduc si désirable y manquait. Marie a été donnée au monde afin que, par ce canal de grâces, les dons célestes descendent continuellement jusqu’à nous.60
Ce Canal qui fonctionne en descente vers l’humanité, fonctionne aussi en monté, des humains vers Jésus, Lui-même unique Canal pour aller au Père :
Personne, a dit Jésus, ne peut venir à moi si d’abord mon Père qui m’a envoyé, ne l’attire par sa grâce. Or, selon Richard, il dit pareillement : « Personne ne peut venir à moi si ma Mère ne l’attire par ses prières »61
Ainsi, nos ennemis ne pourront dire que nous méprisons la femme…
3.D.7.e - La TSVM étant totalement incapable de se gouverner, devait être confiée
19,26. Ayant donc vu Sa Mère, et, auprès d’Elle, le disciple qu’Il aimait, Jésus dit à Sa Mère : Femme, voilà Votre fils.
19,27. Puis Il dit au disciple : Voilà ta Mère. Et, à partir de cette heure, le disciple La prit chez lui.62
De son adorable Croix, NSJC, ayant le souci de Sa Mère, donne la TSVM comme mère à Saint Jean, afin que celui-ci La prit chez lui, chez Saint Jean, et non l’inverse. Ainsi Saint Jean est devenu le protecteur de la TSVM, son Chef ! La TSVM est passée sous l’Autorité de Saint Jean ! Nous avons bien lu, La prit chez lui, dans Sa maison !
Remarquons bien que NSJC ne demande pas si cette disposition plaît à la TSVM ; non, NSJC agit d’Autorité, étant son Chef : Il dispose de la TSVM !
3.D.7.f - Reprenons, suivons les Maîtres successifs de la TSVM
→ Sous l’Autorité de son père Saint Joaquim, en la Maison de saint Joaquim, à sa mort la TSVM passe…
→ Sous l’Autorité de saint Joseph de par son Mariage virginal, en la maison de Saint Joseph Son Époux, à sa mort Elle passe…
→ Sous l’Autorité de NSJC, en Sa Maison qu’Il hérita de Son Père putatif, voyant sa dernière heure arrivée, d’Autorité, étant Son Chef, Il confie Sa Mère à Saint Jean, Elle passe…
→ Sous l’Autorité de Saint Jean qui est maintenant son Chef (La prit chez lui), en la Maison de Saint Jean !
3.D.7.g - La TSVM, pour aller chez Saint Jean, devait nécessairement obéir
Remarquons bien que Saint Jean :
→ ne dit pas : Et, à partir de cette heure, Elle alla, d’elle-même, de par sa volonté, chez Lui.
→ mais dit : Et, à partir de cette heure, le disciple La prit chez lui.
En effet, même là, la TSVM, ne pouvait d’Elle-même aller chez Saint Jean, car pour ceci, il eût fallu que la TSVM eut une autonomie, une Volonté. Or, comme toute femme, de Disposition divine, la TSVM n’avait pas de Volonté, mais une soumission en toutes choses, et ainsi, il fallait que d’Autorité le disciple, Saint Jean, La prit chez Lui, afin qu’Elle puisse de soumissions, Le suivre !
3.D.7.h - Puisque nous parlons de la TSVM
Dans le Je vous salue Marie, l’on dit Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Voulez-vous remarquer :
→ que la TSVM n’est pas bénie entre tous les humains, Hommes et femmes, parmi l’humanité !
→ mais, que la TSVM est bénie entre toutes les femmes, uniquement !
3.E - Annexes diverses
3.E.1 - Modifications apportées à ce document
Depuis sa publication, sur le site et en PDF, nous avons apporté ces modifications :
1. De nombreuses fautes ont été corrigées.
2. Nous avons ramené des notes de bas de page dans le corps du texte, mais en retraits, ce qui facilite la lecture.
3. Nous avons aussi fait ces ajoutes :
→ Point 3.A.3
retrait : Pour : encore plus parfaite de la Puissance divine :
→ Point 3.C.3.b
à partir de : ajoute du 28/10/2019 jusqu’à la fin du point.
→ Point 3.D.4.a
retrait : Pour : et là vous Me l’offrirez en holocauste :
2Genèse…, « Ancien Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page Livres & sources.
3Genèse…, « La sainte Bible selon la Vulgate – Traduction de l’abbé J. B. Glaire. Édition 1947. », réf. page 711
4Saint Paul Ep 3, 14, « Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page Livres & sources.
5Prière du Notre Père enseignée par NSJC : C’est donc ainsi que vous prierez : Notre Père, qui êtes aux Cieux, que Votre nom soit sanctifié ; que Votre règne arrive ; que Votre volonté soit faite sur la terre comme au Ciel.
Évangile selon saint Matthieu ~ Chapitre 6, 9-10… que vous trouverez à la page Livres & sources
6Voir : DP-18.C.6, « L’esprit familial… - Mgr Delassus »
7Genèse…, « Ancien Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page Livres & sources.
8Homélie XIV, « Œuvres complètes – 881 - Saint Jean Chrysostome », réf. page 712.
9Homélie XIV, « Œuvres complètes – 881 - Saint Jean Chrysostome », réf. page 712.
10Genèse, « Ancien Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page Livres & sources.
12Porte, passage… Voir : DP-3.B.4, Nous allons parler de fontaine…
13Cf. Saint Thomas d’Aquin.
14Treizième homélie, « Œuvres complètes – 881 - Saint Jean Chrysostome », réf. page 712.
15Psaume 127, 3-4. Ancien Testament, réf. page Livres & sources.
16Voir : 7.D.3, L’épouse ne peut aucunement sortir sans permission.
18Bremond, Hist. sent. relig., t. 3, 1921, p. 495. http://www.cnrtl.fr/lexicographie/fontaine
194, 12. « Cantique des cantiques. - Traduction catholique de Fillion », Ancien Testament que vous trouverez en la page Livres & sources.
20Coppée, Bonne souffr., 1898, p. 175. http://www.cnrtl.fr/lexicographie/giron
26Tableau de gauche : www.answers.com/topic/eve-bible.
Tableau de droite :
S-1 La plupart des manuscrits de l’Évangile de Jean disent « le sang et l’eau », ce qui n’enlève pas du symbolique des deux éléments, attesté par de nombreux Pères.
29Nous connaissons de très nombreux cas si dramatiques, jusque dans les ‘meilleures’ familles…
30Tome I, page 232 « Traité des études – 1845 - Rollin », réf. page 715.
31Vous en trouverez un plus large extrait : XI.6.i.a - Adam engendre sa fille Ève, puis l’épouse. « Révélations d’Anne-Catherine Emmerich - 1824 », réf. page 714.
32Voir : DP-4.H, Les trois fins du Mariage.
33Voir : DP-3.D.1.b, Ci-dessus, nous avons écrit en cas de ‘différent’.
35Voir : DP-4.I, Autour de la célébration du Mariage.
38Première Lettre de Saint Paul à Timothée, chapitre 2, 14 ; voir plus loin DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point 7.B.3, Saint Paul : dit la révolte, la transgression de la femme !
39Voir : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point DP-7.B, La femme, son insoumission, origine de tous nos maux…
40Voir : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point DP-7.B.1, Les démons n’attaquent que les femmes affranchies de l’Homme !
41Voir : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point DP-7.E, La femme, comme insoumise, ce qu’elle encoure…
42Voir : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point DP-7.B.3, Saint Paul : dit la révolte, la transgression de la femme !
43Voir : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)…; point DP-6.C.6, Saint Bernard : Adam n’avait pas faim et soif de Justice…
44Première Épître de Saint Paul aux Corinthiens, « Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page Livres & sources.
45Évangile selon Saint Luc, « Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page Livres & sources.
46Prov., XIV, I.
47Entre-autres, Pie XII, Discours aux jeunes époux, 30 juillet 1941. http://www.clerus.org/bibliaclerusonline/fr/bw1.htm
48Épître de Saint Paul aux Éphésiens 3, 14. « Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 711.
49Voir : DP-4.H.5, 3ème fin - peut-on refuser l’acte conjugal ?
50Saint Paul Ep 3, 14, « Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 711.
51Genèse - « Ancien Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 711.
52Genèse, « Ancien Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 711.
53Évangile selon saint Luc, « Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 711.
55Évangile selon Saint Mathieu.« Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 711.
56Évangile selon Saint Luc, « Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 711.
57Et après cela l’on pourra encore nous jeter à la figure que nous considérerions la femme comme une sous-espèce ?
58‘Puissance’, Voir : 1.D.2, Définition contextuelle de mots importants.
59Genèse, « Ancien Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 711.
60Chapitre V, « Les Gloires de Marie - 1787 - Saint Alphonse de Liguori », réf. page 713.
61Chapitre V, « Les Gloires de Marie - 1787 - Saint Alphonse de Liguori », réf. page 713.
62Évangile selon Saint Jean, « Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 711.

2 commentaires:

  1. Nous venons de déposer un commentaire sur le site Contre-info.com à la page www.contre-info.com/pour-les-juifs-hassidiques-les-femmes-doivent-sasseoir-a-larriere-du-bus/

    Nous le recopions ici pour mémoire et information :

    Sieur Ofmar,

    Certes, en considérant ce qu’a écrit Eiffel, de vouloir défendre la Vérité est mieux si l’on écrit sans fautes... ; sauf, que vous pouviez faire remarquer ceci charitablement..., et non en versant dans l’insulte, même avec quelqu’un qui raisonnerait selon vous faussement, en lui parlant ainsi : « Avec ton inculture crasse, que tu étales impudemment, tu dessers gravement toute espèce de cause dont tu voudrais t’emparer. »

    Nous, en toute Charité, nous voulons vous faire remarquer une énorme faute que vous faites, et elle, bien réellement gravissime de par ses conséquences !

    Vous dites « On n’engendre pas la femme! c’est elle qui engendre! On peut la féconder, à la rigueur. »

    ======================

    1 → « On n’engendre pas la femme! »

    Rien de plus faux !!!
    Et Adam qui engendra Ève !?

    Veuillez chercher ce point «  L’Homme, engendre la femme, Il est son Maître » en cette page http://restaurationdelafamille.blogspot.com/2008/04/le-mariage-son-origine-sa-mission.html

    ======================

    2 → « c’est elle qui engendre! »

    Rien de plus faux !!!, encore...

    Lisez notamment la généalogie de NSJC pour le moins, St Matt. I :
    1. Livre de la généalogie de Jésus-Christ, fils de David, fils d’Abraham.
    2. Abraham engendra Isaac ; Isaac engendra Jacob ; Jacob engendra Juda et ses frères ;
    …/...
    15. Eliud engendra Eléazar ; Eléazar engendra Mathan ; Mathan engendra Jacob ;
    16. Jacob engendra Joseph, l’époux de Marie, de laquelle est né Jésus, qui est appelé Christ.

    L’Homme engendre Son enfant à Lui ; elle, la femme, enfant de son Époux, ne fait que porter le Fruit de son Époux et pour son Époux !

    Veuillez chercher ce point en cette même page dont le lien précède : « L’Homme, engendre Son enfant, Il est son Maître »

    Sieur Ofmar, nous voulons bien répondre à vos demandes légitimes (questions, précisions, etc.), ici, en étant informé de vos demandes, ou en notre site...

    Sieur Ofmar, bien à vous, que le Bon Dieu vous bénisse, vous et tous les vôtres.

    Idem pour Sieur Eiffel, et tous les Hommes de ce site, écrivains ou commentateurs...

    Pour la Vérité,
    QJSIOJC

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  2. Quant-au fait que l'enfant n'appartient qu'au Père, ce dans le sens le plus strict du terme...
    Voici ce que Notre Seigneur Jésus-Christ dit :

    Mariage veut dire procréation et l’acte signifie et doit être fécondation. Sans cela, c’est de l’immoralité. On ne doit pas faire de la couche nuptiale un lupanar, et elle devient telle si elle est souillée par la passion et si elle n’est pas consacrée par des maternités. La terre ne repousse pas la semence. Elle l’accueille et en fait une plante. La semence ne quitte pas la glèbe après qu’on l’y a déposée, mais elle produit de suite une racine et s’y insère pour croître et former l’épi. La plante naît du mariage entre la terre et la semence. L’homme c’est la semence, la femme c’est la terre, l’épi c’est l’enfant. Se refuser à faire l’épi et perdre vicieusement sa force, c’est une faute. C’est une prostitution, commise sur le lit nuptial, mais en rien différente d’une autre, aggravée même par la désobéissance au commandement qui dit : “Soyez une seule chair et multipliez-vous dans vos enfants”.

    Source : L'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
    de Maria Valtorta - Tome II, Les discours de la Belle Eau : "Tu ne commettras pas d’impureté." L’affront de cinq notables ; page 324.

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